Réduire les coûts de livraison du dernier kilomètre
Alors que les services de livraison à domicile par abonnement sont devenus omniprésents, les dépenses du dernier kilomètre peuvent représenter jusqu’à 53 % des coûts totaux de la chaîne d’approvisionnement. Entre autres raisons, il peut être difficile d’optimiser la logistique pour les petites commandes qui doivent être livrées à de nombreux endroits différents, souvent dans un court laps de temps.
Une recherche publiée sur le site de la MIT Sloan Management Review décrit comment des chercheurs ont travaillé avec un supermarché européen et ont déterminé qu’un seuil minimal de commande d’environ 68 dollars canadiens serait optimal pour garantir la rentabilité de tous les abonnements.
Les entreprises ne devraient pas craindre de fixer des seuils minimaux de commande élevés ou d’expérimenter d’autres méthodes moins restrictives pour inciter les consommateurs à passer des commandes plus importantes. Par exemple, une entreprise pourrait offrir des remises supplémentaires à mesure que la taille de la commande augmente, en faisant profiter les consommateurs des économies réalisées grâce à la livraison en gros.
Le regroupement géographique, qui consiste à livrer des colis à peu près au même moment à un groupe de consommateurs vivant à proximité les uns des autres, est l’un des moyens les plus efficaces de réduire les dépenses du dernier kilomètre. Les entreprises peuvent encourager les voisins à harmoniser leurs commandes en proposant des créneaux de livraison ou des jours de livraison fixes pour une zone, plutôt que de promettre de livrer dès que possible. Ce regroupement réduit les coûts de livraison.
Trop d’entreprises essaient d’optimiser les commandes au fur et à mesure qu’elles arrivent plutôt que d’utiliser des incitations pour influencer le moment où les commandes arrivent. Des enquêtes et d’autres recherches ont montré que de nombreux consommateurs préféreraient attendre plus longtemps pour recevoir leur commande si cela leur permettait de payer moins cher pour la livraison.
Les livraisons récurrentes réduisent considérablement les coûts pour les détaillants. Dans le cadre d’une étude en cours avec une chaîne de supermarchés régionale, les chercheurs ont utilisé des dates de livraison programmées, des regroupements et des expéditions fractionnées pour optimiser le transport des marchandises des fournisseurs aux centres de distribution, réduisant ainsi les coûts de transport d’environ 43 %. Les abonnements qui impliquent des livraisons récurrentes sont particulièrement adaptés à ce type de système, offrant d’immenses économies. Les entreprises devraient répercuter ces économies sur les consommateurs et leur faire comprendre qu’ils seront récompensés lorsqu’ils accepteront des livraisons plus sporadiques effectuées selon le calendrier de l’entreprise.
Certaines entreprises ont réduit leurs coûts de livraison du dernier kilomètre en imposant des seuils minimaux de commande et en en mettant en œuvre des regroupements géographiques et des planifications anticipées (une forme de regroupement basée sur le temps), et peuvent encore trouver des moyens d’utiliser ces stratégies pour réduire davantage les coûts. Mais que se passerait-il si ces principes pouvaient être combinés dans un nouveau type de modèle d’abonnement?
Ce modèle d’abonnement de nouvelle génération utiliserait l’analyse des données et la surveillance de l’Internet des objets pour fournir des livraisons récurrentes de produits couramment utilisés, groupées et personnalisées par quartier. Les recherches suggèrent que la combinaison d’une variété limitée de produits avec le regroupement de commandes réduit considérablement les coûts de prélèvement, d’emballage et d’expédition par rapport au réapprovisionnement automatique classique.
Alors que les services de livraison à domicile par abonnement sont devenus omniprésents, les dépenses du dernier kilomètre peuvent représenter jusqu’à 53 % des coûts totaux de la chaîne d’approvisionnement. Entre autres raisons, il peut être difficile d’optimiser la logistique pour les petites commandes qui doivent être livrées à de nombreux endroits différents, souvent dans un court laps de temps.
Une recherche publiée sur le site de la MIT Sloan Management Review décrit comment des chercheurs ont travaillé avec un supermarché européen et ont déterminé qu’un seuil minimal de commande d’environ 68 dollars canadiens serait optimal pour garantir la rentabilité de tous les abonnements.
Les entreprises ne devraient pas craindre de fixer des seuils minimaux de commande élevés ou d’expérimenter d’autres méthodes moins restrictives pour inciter les consommateurs à passer des commandes plus importantes. Par exemple, une entreprise pourrait offrir des remises supplémentaires à mesure que la taille de la commande augmente, en faisant profiter les consommateurs des économies réalisées grâce à la livraison en gros.
Le regroupement géographique, qui consiste à livrer des colis à peu près au même moment à un groupe de consommateurs vivant à proximité les uns des autres, est l’un des moyens les plus efficaces de réduire les dépenses du dernier kilomètre. Les entreprises peuvent encourager les voisins à harmoniser leurs commandes en proposant des créneaux de livraison ou des jours de livraison fixes pour une zone, plutôt que de promettre de livrer dès que possible. Ce regroupement réduit les coûts de livraison.
Trop d’entreprises essaient d’optimiser les commandes au fur et à mesure qu’elles arrivent plutôt que d’utiliser des incitations pour influencer le moment où les commandes arrivent. Des enquêtes et d’autres recherches ont montré que de nombreux consommateurs préféreraient attendre plus longtemps pour recevoir leur commande si cela leur permettait de payer moins cher pour la livraison.
Les livraisons récurrentes réduisent considérablement les coûts pour les détaillants. Dans le cadre d’une étude en cours avec une chaîne de supermarchés régionale, les chercheurs ont utilisé des dates de livraison programmées, des regroupements et des expéditions fractionnées pour optimiser le transport des marchandises des fournisseurs aux centres de distribution, réduisant ainsi les coûts de transport d’environ 43 %. Les abonnements qui impliquent des livraisons récurrentes sont particulièrement adaptés à ce type de système, offrant d’immenses économies. Les entreprises devraient répercuter ces économies sur les consommateurs et leur faire comprendre qu’ils seront récompensés lorsqu’ils accepteront des livraisons plus sporadiques effectuées selon le calendrier de l’entreprise.
Certaines entreprises ont réduit leurs coûts de livraison du dernier kilomètre en imposant des seuils minimaux de commande et en en mettant en œuvre des regroupements géographiques et des planifications anticipées (une forme de regroupement basée sur le temps), et peuvent encore trouver des moyens d’utiliser ces stratégies pour réduire davantage les coûts. Mais que se passerait-il si ces principes pouvaient être combinés dans un nouveau type de modèle d’abonnement?
Ce modèle d’abonnement de nouvelle génération utiliserait l’analyse des données et la surveillance de l’Internet des objets pour fournir des livraisons récurrentes de produits couramment utilisés, groupées et personnalisées par quartier. Les recherches suggèrent que la combinaison d’une variété limitée de produits avec le regroupement de commandes réduit considérablement les coûts de prélèvement, d’emballage et d’expédition par rapport au réapprovisionnement automatique classique.