Rapport sur l’avenir de l’emploi 2025
Le rapport sur l’avenir de l’emploi 2025 du Forum économique mondial rassemble le point de vue de plus de 1 000 employeurs de premier plan, représentant collectivement plus de 14 millions de travailleurs dans 22 pôles d’activité et 55 économies du monde entier, pour examiner l’incidence des macro-tendances sur les emplois et les compétences et les stratégies que les employeurs prévoient de mettre en œuvre pour y répondre sur la période allant de 2025 à 2030.
L’élargissement de l’accès au numérique devrait être la tendance la plus transformatrice – avec 60 % des employeurs qui s’attendent à ce qu’elle transforme leur entreprise d’ici 2030. Cette tendance devrait avoir des effets divergents sur les emplois.
L’augmentation du coût de la vie est la deuxième tendance transformatrice globale – et la principale tendance liée aux conditions économiques –, avec la moitié des employeurs s’attendant à ce qu’elle transforme leur entreprise d’ici 2030, malgré une réduction anticipée de l’inflation mondiale. Le ralentissement économique général, dans une moindre mesure, reste également une préoccupation importante et devrait transformer 42 % des entreprises.
L’atténuation du changement climatique est la troisième tendance la plus transformatrice dans l’ensemble – et la principale tendance liée à la transition verte –, tandis que l’adaptation au changement climatique se classe au sixième rang, avec 47 % et 41 % des employeurs, respectivement, qui s’attendent à ce que ces tendances transforment leur entreprise au cours des cinq prochaines années.
Deux évolutions démographiques sont de plus en plus perçues comme transformant les économies et les marchés du travail mondiaux : le vieillissement et le déclin de la population en âge de travailler, principalement dans les économies à revenu élevé, et l’augmentation de la population en âge de travailler, principalement dans les économies à faible revenu.
La fragmentation géoéconomique et les tensions géopolitiques devraient entraîner une transformation du modèle d’affaires dans un tiers (34 %) des organisations interrogées au cours des cinq prochaines années. Plus d’un cinquième (23 %) des employeurs mondiaux identifient l’augmentation des restrictions sur le commerce et l’investissement, ainsi que les subventions et les politiques industrielles (21 %), comme des facteurs qui façonnent leurs opérations.
En moyenne, les travailleurs peuvent s’attendre à ce que deux cinquièmes (39 %) de leurs compétences existantes soient transformées ou deviennent obsolètes au cours de la période de 2025 à 2030. Cependant, cette mesure de l’« instabilité des compétences » a ralenti par rapport aux éditions précédentes du rapport, alors qu’elle était à 44 % en 2023 après un point culminant de 57 % en 2020, à la suite de la pandémie.
La pensée analytique reste la compétence de base la plus recherchée par les employeurs, sept entreprises sur 10 la considérant comme essentielle en 2025. Elle est suivie par la résilience, la flexibilité et l’agilité, ainsi que par le leadership et l’influence sociale.
L’intelligence artificielle et les mégadonnées arrivent en tête de liste des compétences qui connaissent la croissance la plus rapide, suivies de près par les réseaux et la cybersécurité ainsi que par la maîtrise des technologies.
Les déficits de compétences sont catégoriquement considérés comme le plus grand obstacle à la transformation des entreprises par les répondants à l’enquête sur l’avenir des emplois, 63 % des employeurs les identifiant comme un obstacle majeur au cours de la période de 2025 à 2030. En conséquence, 85 % des employeurs interrogés prévoient de donner la priorité à la mise à niveau des compétences de leur personnel.
Le Forum soutient activement la formation d’une main-d’œuvre adaptée aux besoins par le biais de ses deux initiatives phares en matière de capital humain : Reskilling Revolution (la révolution de la requalification) et Jobs Initiative (initiative pour l’emploi).
Le rapport sur l’avenir de l’emploi 2025 du Forum économique mondial rassemble le point de vue de plus de 1 000 employeurs de premier plan, représentant collectivement plus de 14 millions de travailleurs dans 22 pôles d’activité et 55 économies du monde entier, pour examiner l’incidence des macro-tendances sur les emplois et les compétences et les stratégies que les employeurs prévoient de mettre en œuvre pour y répondre sur la période allant de 2025 à 2030.
L’élargissement de l’accès au numérique devrait être la tendance la plus transformatrice – avec 60 % des employeurs qui s’attendent à ce qu’elle transforme leur entreprise d’ici 2030. Cette tendance devrait avoir des effets divergents sur les emplois.
L’augmentation du coût de la vie est la deuxième tendance transformatrice globale – et la principale tendance liée aux conditions économiques –, avec la moitié des employeurs s’attendant à ce qu’elle transforme leur entreprise d’ici 2030, malgré une réduction anticipée de l’inflation mondiale. Le ralentissement économique général, dans une moindre mesure, reste également une préoccupation importante et devrait transformer 42 % des entreprises.
L’atténuation du changement climatique est la troisième tendance la plus transformatrice dans l’ensemble – et la principale tendance liée à la transition verte –, tandis que l’adaptation au changement climatique se classe au sixième rang, avec 47 % et 41 % des employeurs, respectivement, qui s’attendent à ce que ces tendances transforment leur entreprise au cours des cinq prochaines années.
Deux évolutions démographiques sont de plus en plus perçues comme transformant les économies et les marchés du travail mondiaux : le vieillissement et le déclin de la population en âge de travailler, principalement dans les économies à revenu élevé, et l’augmentation de la population en âge de travailler, principalement dans les économies à faible revenu.
La fragmentation géoéconomique et les tensions géopolitiques devraient entraîner une transformation du modèle d’affaires dans un tiers (34 %) des organisations interrogées au cours des cinq prochaines années. Plus d’un cinquième (23 %) des employeurs mondiaux identifient l’augmentation des restrictions sur le commerce et l’investissement, ainsi que les subventions et les politiques industrielles (21 %), comme des facteurs qui façonnent leurs opérations.
En moyenne, les travailleurs peuvent s’attendre à ce que deux cinquièmes (39 %) de leurs compétences existantes soient transformées ou deviennent obsolètes au cours de la période de 2025 à 2030. Cependant, cette mesure de l’« instabilité des compétences » a ralenti par rapport aux éditions précédentes du rapport, alors qu’elle était à 44 % en 2023 après un point culminant de 57 % en 2020, à la suite de la pandémie.
La pensée analytique reste la compétence de base la plus recherchée par les employeurs, sept entreprises sur 10 la considérant comme essentielle en 2025. Elle est suivie par la résilience, la flexibilité et l’agilité, ainsi que par le leadership et l’influence sociale.
L’intelligence artificielle et les mégadonnées arrivent en tête de liste des compétences qui connaissent la croissance la plus rapide, suivies de près par les réseaux et la cybersécurité ainsi que par la maîtrise des technologies.
Les déficits de compétences sont catégoriquement considérés comme le plus grand obstacle à la transformation des entreprises par les répondants à l’enquête sur l’avenir des emplois, 63 % des employeurs les identifiant comme un obstacle majeur au cours de la période de 2025 à 2030. En conséquence, 85 % des employeurs interrogés prévoient de donner la priorité à la mise à niveau des compétences de leur personnel.
Le Forum soutient activement la formation d’une main-d’œuvre adaptée aux besoins par le biais de ses deux initiatives phares en matière de capital humain : Reskilling Revolution (la révolution de la requalification) et Jobs Initiative (initiative pour l’emploi).