Que représentent les quartiers d’innovation?
Sur le site de l’organisme The Global Institute on Innovation Districts, la recherche The Rise of Innovation Districts décrit une géographie émergente de l’innovation – les quartiers d’innovation. Ces derniers s’appuient sur des institutions et des entreprises d’ancrage de pointe qui stimulent la recherche et développement (R-D) et les activités avancées à forte intensité de connaissances, et se caractérisent par leur compacité physique, leur accessibilité aux transports en commun et leur solide infrastructure d’innovation. Ces centres tirent parti de la densité et de la proximité de leurs composants pour favoriser la collaboration et l’innovation.
La recherche a observé comment l’essor de ces centres est dû à une confluence de forces macroéconomiques, démographiques et culturelles. Cet essor a influencé les politiques et les pratiques au cours de la décennie qui a suivi leur apparition, définissant et façonnant efficacement le modèle dans le monde entier. Par exemple, le rapport souligne que :
- La capacité à concevoir l’innovation nécessite l’engagement d’entrepreneurs, de penseurs et d’experts divers. Cela comprend des acteurs hautement spécialisés, axés sur la recherche, qui se consacrent au développement de technologies, de produits et de services de pointe pour le marché. Ces personnes sont expertes dans la maîtrise de technologies et de processus technologiques complexes.
- Une économie de plus en plus orientée vers l’innovation ouverte a modifié à la fois l’emplacement des entreprises et la manière dont elles interagissent. L’essor des petites entreprises engagées dans la R‑D a suscité une plus grande collaboration entre des entreprises de différentes tailles pour développer et faire progresser l’innovation.
- L’innovation se nourrit de plus en plus d’une diversité d’institutions et d’individus, comme la composition économique des quartiers eux-mêmes. Cela englobe des acteurs d’horizons, de niveaux d’éducation et de domaines d’expertise différents. Une telle diversité catalyse la diversification des talents, favorisant un écosystème riche pour l’innovation.
- Les quartiers d’innovation ont également émergé compte tenu du rôle croissant de la technologie dans l’économie, nécessitant de nouveaux modèles d’échange de connaissances. Leur force réside dans leur capacité à la fois à inventer et à prototyper des technologies de rupture ainsi qu’à résoudre les défis technologiques qui émergent de l’essor accéléré dans des domaines tels que la décarbonisation. Au cours des dernières années seulement, l’essor et les progrès rapides de la technologie ont permis aux quartiers de s’approprier de nouvelles formes d’avantages concurrentiels.
En effet, la recherche a révélé que les quartiers d’innovation se distinguent fortement en raison de leur implication dans les technologies avancées ou habilitantes telles que l’informatique quantique, l’intelligence artificielle, les mégadonnées et la nanotechnologie. L’intelligence artificielle, en particulier, révolutionne l’innovation, accélérant les avancées à un rythme sans précédent. L’agglomération croissante d’entreprises riches en technologie que l’on trouve dans ces quartiers leur donne des avantages naturels pour servir de « laboratoires vivants » pour de nouvelles technologies et approches qui peuvent être étendues à des zones plus vastes.
La nature atomisée et collaborative de l’innovation du 21e siècle exige plus de diversité et de proximité que ce que les parcs scientifiques monoculturels du 20e siècle pouvaient offrir. Ces parcs, généralement situés à la périphérie des villes, n’avaient pas la densité et le dynamisme urbains nécessaires pour favoriser les interactions et les collaborations spontanées qui stimulent l’innovation aujourd’hui. Les zones urbaines, avec leurs caractéristiques inhérentes de densité, de proximité et d’accessibilité, sont propices aux changements dans la façon dont l’innovation est conçue.
Sur le site de l’organisme The Global Institute on Innovation Districts, la recherche The Rise of Innovation Districts décrit une géographie émergente de l’innovation – les quartiers d’innovation. Ces derniers s’appuient sur des institutions et des entreprises d’ancrage de pointe qui stimulent la recherche et développement (R-D) et les activités avancées à forte intensité de connaissances, et se caractérisent par leur compacité physique, leur accessibilité aux transports en commun et leur solide infrastructure d’innovation. Ces centres tirent parti de la densité et de la proximité de leurs composants pour favoriser la collaboration et l’innovation.
La recherche a observé comment l’essor de ces centres est dû à une confluence de forces macroéconomiques, démographiques et culturelles. Cet essor a influencé les politiques et les pratiques au cours de la décennie qui a suivi leur apparition, définissant et façonnant efficacement le modèle dans le monde entier. Par exemple, le rapport souligne que :
- La capacité à concevoir l’innovation nécessite l’engagement d’entrepreneurs, de penseurs et d’experts divers. Cela comprend des acteurs hautement spécialisés, axés sur la recherche, qui se consacrent au développement de technologies, de produits et de services de pointe pour le marché. Ces personnes sont expertes dans la maîtrise de technologies et de processus technologiques complexes.
- Une économie de plus en plus orientée vers l’innovation ouverte a modifié à la fois l’emplacement des entreprises et la manière dont elles interagissent. L’essor des petites entreprises engagées dans la R‑D a suscité une plus grande collaboration entre des entreprises de différentes tailles pour développer et faire progresser l’innovation.
- L’innovation se nourrit de plus en plus d’une diversité d’institutions et d’individus, comme la composition économique des quartiers eux-mêmes. Cela englobe des acteurs d’horizons, de niveaux d’éducation et de domaines d’expertise différents. Une telle diversité catalyse la diversification des talents, favorisant un écosystème riche pour l’innovation.
- Les quartiers d’innovation ont également émergé compte tenu du rôle croissant de la technologie dans l’économie, nécessitant de nouveaux modèles d’échange de connaissances. Leur force réside dans leur capacité à la fois à inventer et à prototyper des technologies de rupture ainsi qu’à résoudre les défis technologiques qui émergent de l’essor accéléré dans des domaines tels que la décarbonisation. Au cours des dernières années seulement, l’essor et les progrès rapides de la technologie ont permis aux quartiers de s’approprier de nouvelles formes d’avantages concurrentiels.
En effet, la recherche a révélé que les quartiers d’innovation se distinguent fortement en raison de leur implication dans les technologies avancées ou habilitantes telles que l’informatique quantique, l’intelligence artificielle, les mégadonnées et la nanotechnologie. L’intelligence artificielle, en particulier, révolutionne l’innovation, accélérant les avancées à un rythme sans précédent. L’agglomération croissante d’entreprises riches en technologie que l’on trouve dans ces quartiers leur donne des avantages naturels pour servir de « laboratoires vivants » pour de nouvelles technologies et approches qui peuvent être étendues à des zones plus vastes.
La nature atomisée et collaborative de l’innovation du 21e siècle exige plus de diversité et de proximité que ce que les parcs scientifiques monoculturels du 20e siècle pouvaient offrir. Ces parcs, généralement situés à la périphérie des villes, n’avaient pas la densité et le dynamisme urbains nécessaires pour favoriser les interactions et les collaborations spontanées qui stimulent l’innovation aujourd’hui. Les zones urbaines, avec leurs caractéristiques inhérentes de densité, de proximité et d’accessibilité, sont propices aux changements dans la façon dont l’innovation est conçue.