Pourquoi les petites entreprises à forte intensité de recherche sont importantes pour l'écosystème de l'innovation aux États-Unis
Selon une étude de l'Information Technology & Innovation Foundation (ITIF), les États-Unis abritent 85 % des petites entreprises biopharmaceutiques à forte intensité de recherche dans le monde. Ces entreprises en démarrage sont essentielles au développement de médicaments et à la compétitivité des États-Unis. Selon l'ITIF, le Congrès devrait apporter des modifications ciblées à la politique fiscale pour les inciter et maintenir le leadership biopharmaceutique américain.
Parmi les 2 500 principaux investisseurs mondiaux en recherche et développement (R-D) en 2021, il y avait 260 petites entreprises fonctionnant à perte nette parce qu'elles étaient encore des jeunes pousses – et 193 d'entre elles étaient des jeunes pousses biotechnologiques ou biopharmaceutiques américaines.
Ces 193 petites entreprises biopharmaceutiques américaines à but lucratif représentaient 85 % de toutes les jeunes pousses biopharmaceutiques dans le monde – et 91 % de toutes les petites entreprises à forte intensité de recherche de tous les types de secteurs aux États-Unis –, soulignant le dynamisme du secteur biopharmaceutique américain.
Les petites entreprises biopharmaceutiques à but lucratif aux États-Unis ont investi en moyenne 712 258 dollars américains en R-D par employé en 2021, ce qui représente 18 % de l'ensemble des investissements en R-D du secteur biopharmaceutique américain.
L'étude formule notamment les recommandations suivantes :
- Le Congrès devrait adopter la loi américaine sur l'innovation et l'emploi, qui doublerait les limites de crédit pour la compensation des charges sociales des petites entreprises, augmenterait les recettes brutes des entreprises utilisant les crédits d'impôt pour la R-D et porterait la compensation des charges sociales à huit ans.
- Le Congrès devrait abroger la disposition de la Tax Cuts and Jobs Act qui oblige désormais les entreprises à amortir les dépenses de R-D plutôt que de les imputer à l'exercice.
- Le Congrès devrait également modifier les articles 469 et 382 du code pour permettre aux investisseurs passifs de profiter de leurs pertes d'exploitation nettes et de leurs crédits d'impôt à la recherche tout en reportant les pertes d'exploitation nettes même en cas de changement de propriétaire.
Selon une étude de l'Information Technology & Innovation Foundation (ITIF), les États-Unis abritent 85 % des petites entreprises biopharmaceutiques à forte intensité de recherche dans le monde. Ces entreprises en démarrage sont essentielles au développement de médicaments et à la compétitivité des États-Unis. Selon l'ITIF, le Congrès devrait apporter des modifications ciblées à la politique fiscale pour les inciter et maintenir le leadership biopharmaceutique américain.
Parmi les 2 500 principaux investisseurs mondiaux en recherche et développement (R-D) en 2021, il y avait 260 petites entreprises fonctionnant à perte nette parce qu'elles étaient encore des jeunes pousses – et 193 d'entre elles étaient des jeunes pousses biotechnologiques ou biopharmaceutiques américaines.
Ces 193 petites entreprises biopharmaceutiques américaines à but lucratif représentaient 85 % de toutes les jeunes pousses biopharmaceutiques dans le monde – et 91 % de toutes les petites entreprises à forte intensité de recherche de tous les types de secteurs aux États-Unis –, soulignant le dynamisme du secteur biopharmaceutique américain.
Les petites entreprises biopharmaceutiques à but lucratif aux États-Unis ont investi en moyenne 712 258 dollars américains en R-D par employé en 2021, ce qui représente 18 % de l'ensemble des investissements en R-D du secteur biopharmaceutique américain.
L'étude formule notamment les recommandations suivantes :
- Le Congrès devrait adopter la loi américaine sur l'innovation et l'emploi, qui doublerait les limites de crédit pour la compensation des charges sociales des petites entreprises, augmenterait les recettes brutes des entreprises utilisant les crédits d'impôt pour la R-D et porterait la compensation des charges sociales à huit ans.
- Le Congrès devrait abroger la disposition de la Tax Cuts and Jobs Act qui oblige désormais les entreprises à amortir les dépenses de R-D plutôt que de les imputer à l'exercice.
- Le Congrès devrait également modifier les articles 469 et 382 du code pour permettre aux investisseurs passifs de profiter de leurs pertes d'exploitation nettes et de leurs crédits d'impôt à la recherche tout en reportant les pertes d'exploitation nettes même en cas de changement de propriétaire.