Pourquoi les fabricants ont besoin d’une approche progressive de la transformation numérique
Aussi complexe que puisse être la transformation numérique pour les fabricants, les dirigeants de ce secteur ont tendance à la considérer comme un processus unique, dont le succès ne peut être démontré que par une seule mesure : le rendement du capital investi, soutient un article de la MIT Sloan Management Review.
Une vision aussi simpliste dément ce que cela implique réellement : investir dans de nouvelles technologies opérationnelles et les maîtriser, recycler les compétences des travailleurs, maintenir les capacités en synchronisation avec les infrastructures externes des partenaires de la chaîne d’approvisionnement et permettre de nouveaux écosystèmes numériques pour les partenaires et les clients.
La transformation numérique dans le secteur de la fabrication diffère considérablement de la transformation des services informatiques ou de la mise en œuvre du commerce électronique, car elle nécessite de combiner l’intégration progressive des actifs physiques avec les technologies numériques. Pour ces raisons, entre autres, de nombreux fabricants ont du mal à adopter des technologies transformatrices et finissent par mal aligner et gaspiller leurs investissements ou mal orienter leurs rares ressources spécialisées. En conséquence, leurs investissements numériques ne parviennent généralement pas à permettre la transformation d’entreprise qu’ils recherchent.
Les études sur lesquelles les auteurs de l’article s’appuient révèlent que le parcours de transformation numérique des fabricants comporte trois étapes distinctes, chacune avec son propre ensemble de mesures appropriées. Les entreprises qui identifient correctement où elles en sont dans ce travail et appliquent ensuite les bons paramètres sont plus susceptibles de réaliser les types d’innovation qu’elles recherchent. Compte tenu des investissements considérables réalisés par les fabricants dans l’innovation et la transformation numérique, les enjeux sont extrêmement élevés.
Étape 1 : Gagner en efficacité
Cette étape de la transformation numérique implique des projets internes à l’entreprise manufacturière qui visent à réaliser des gains de productivité localisés sous forme de solutions ponctuelles. Les technologies prometteuses sont généralement testées à ce stade pour en tirer des avantages potentiels au niveau des usines ou des maillons de la chaîne de valeur. Par exemple, un fabricant de composants électroniques peut reprendre un processus précédemment effectué manuellement et l’automatiser avec des robots industriels.
Ici, les indicateurs de rendement clés ont tendance à être basés sur des mesures de rentabilité bien comprises, telles que des coûts réduits, des périodes de récupération plus rapides, une qualité et un rendement supérieurs et une augmentation des revenus.
Étape 2 : Créer de nouvelles capacités numériques
L’objectif primordial de l’étape 2 de la transformation numérique est de renforcer les capacités fonctionnelles permettant des flux de données fluides au sein et à l’extérieur de l’organisation. À ce stade, les entreprises mettent en place l’infrastructure numérique requise pour l’analyse avancée des données, l’intégration de la chaîne d’approvisionnement de bout en bout et la connectivité numérique avec les partenaires et les clients.
Étape 3 : Évoluer grâce à l’innovation numérique
La modernisation de l’infrastructure informatique et le développement de nouvelles capacités numériques permettent la croissance grâce à de nouveaux modèles d’affaires, une nécessité critique pour les fabricants.
Aussi complexe que puisse être la transformation numérique pour les fabricants, les dirigeants de ce secteur ont tendance à la considérer comme un processus unique, dont le succès ne peut être démontré que par une seule mesure : le rendement du capital investi, soutient un article de la MIT Sloan Management Review.
Une vision aussi simpliste dément ce que cela implique réellement : investir dans de nouvelles technologies opérationnelles et les maîtriser, recycler les compétences des travailleurs, maintenir les capacités en synchronisation avec les infrastructures externes des partenaires de la chaîne d’approvisionnement et permettre de nouveaux écosystèmes numériques pour les partenaires et les clients.
La transformation numérique dans le secteur de la fabrication diffère considérablement de la transformation des services informatiques ou de la mise en œuvre du commerce électronique, car elle nécessite de combiner l’intégration progressive des actifs physiques avec les technologies numériques. Pour ces raisons, entre autres, de nombreux fabricants ont du mal à adopter des technologies transformatrices et finissent par mal aligner et gaspiller leurs investissements ou mal orienter leurs rares ressources spécialisées. En conséquence, leurs investissements numériques ne parviennent généralement pas à permettre la transformation d’entreprise qu’ils recherchent.
Les études sur lesquelles les auteurs de l’article s’appuient révèlent que le parcours de transformation numérique des fabricants comporte trois étapes distinctes, chacune avec son propre ensemble de mesures appropriées. Les entreprises qui identifient correctement où elles en sont dans ce travail et appliquent ensuite les bons paramètres sont plus susceptibles de réaliser les types d’innovation qu’elles recherchent. Compte tenu des investissements considérables réalisés par les fabricants dans l’innovation et la transformation numérique, les enjeux sont extrêmement élevés.
Étape 1 : Gagner en efficacité
Cette étape de la transformation numérique implique des projets internes à l’entreprise manufacturière qui visent à réaliser des gains de productivité localisés sous forme de solutions ponctuelles. Les technologies prometteuses sont généralement testées à ce stade pour en tirer des avantages potentiels au niveau des usines ou des maillons de la chaîne de valeur. Par exemple, un fabricant de composants électroniques peut reprendre un processus précédemment effectué manuellement et l’automatiser avec des robots industriels.
Ici, les indicateurs de rendement clés ont tendance à être basés sur des mesures de rentabilité bien comprises, telles que des coûts réduits, des périodes de récupération plus rapides, une qualité et un rendement supérieurs et une augmentation des revenus.
Étape 2 : Créer de nouvelles capacités numériques
L’objectif primordial de l’étape 2 de la transformation numérique est de renforcer les capacités fonctionnelles permettant des flux de données fluides au sein et à l’extérieur de l’organisation. À ce stade, les entreprises mettent en place l’infrastructure numérique requise pour l’analyse avancée des données, l’intégration de la chaîne d’approvisionnement de bout en bout et la connectivité numérique avec les partenaires et les clients.
Étape 3 : Évoluer grâce à l’innovation numérique
La modernisation de l’infrastructure informatique et le développement de nouvelles capacités numériques permettent la croissance grâce à de nouveaux modèles d’affaires, une nécessité critique pour les fabricants.