Malgré ses avantages, le paradigme de la programmation schématisée pour la conception de logiciels pourrait complexifier l’informatique des organisations
ZDNet commente le lot de complexités associées aux plateformes visuelles de développement de logiciels qui utilisent peu de codage (programmation schématisée) et même aucun codage. Il s’agit d’un type d’environnement qui permet aux concepteurs de logiciels d’entreprise (dans le premier cas) et aux concepteurs citoyens (dans le second cas) de créer rapidement une variété d’applications de complexité variable.
Les défenseurs de ce paradigme de développement de logiciels affirment qu’il permet de réduire la charge de travail des professionnels de la technologie, qui sont souvent débordés. La recherche consultée par ZDnet mentionne que pour les deux tiers des concepteurs, ce type de programmationreprésente une solution de contournement sans laquelle ils ne pourraient pas répondre aux multiples et exigeantes demandes qui leur sont adressées.
En effet, grâce à cette approche, les utilisateurs professionnels pourraient concevoir de petites applications liées à leur champ d’expertise, ce qui leur permettrait d’automatiser les flux de travail. De plus, des applications axées sur les données leur permettraient d’améliorer la visibilité des opérations commerciales grâce à la création de nouveaux rapports et analyses.
La relative autonomie des professionnels dans la création de petits logiciels standardisés permettrait aux informaticiens de se soucier de thématiques plus stratégiques. De plus, on note que ce paradigme permettrait aux entreprises de limiter l’embauche de nouveaux informaticiens, ce qui est un avantage non négligeable à un moment où les budgets sont serrés et le talent, difficile à trouver.
En revanche, et malgré les avantages signalés, ce type de développement de logiciels amènerait son lot d’irritants. Il s’agit essentiellement de la gestion d’une nouvelle complexité découlant de la prolifération sans contrôle d’applications à faible code bon marché. Dans ce scénario, les entreprises se verront forcées à investir beaucoup de temps dans la mise en place de nouvelles charges de travail pour éduquer leur personnel et éviter que l’organisation soit étouffée par ces logiciels.
Dans ce contexte, on prévoit qu’un des rôles les plus importants que les informaticiens devront assumer est celui d’agir comme gardiens des environnements de conception de logiciels recourant à la programmation schématisée. Apparemment, ce rôle professionnel – qui semble en plein essor – devrait connaître des évolutions, car personne ne peut anticiper le fonctionnement de ce travail d’encadrement.
Plus précisément, il s’agira de définir des relations appropriées entre ces nouveaux concepteurs – qui peuvent être en mesure de créer des applications très pertinentes – et les processus informatiques plus critiques comme la vérification de la sécurité. Éventuellement, les experts anticipent que, selon le type d’application, les utilisateurs professionnels devront se familiariser avec de nouveaux concepts que les informaticiens utilisent au quotidien : les structures de données, les algorithmes et la complexité – autrement dit, les fondamentaux de l’informatique.
ZDNet commente le lot de complexités associées aux plateformes visuelles de développement de logiciels qui utilisent peu de codage (programmation schématisée) et même aucun codage. Il s’agit d’un type d’environnement qui permet aux concepteurs de logiciels d’entreprise (dans le premier cas) et aux concepteurs citoyens (dans le second cas) de créer rapidement une variété d’applications de complexité variable.
Les défenseurs de ce paradigme de développement de logiciels affirment qu’il permet de réduire la charge de travail des professionnels de la technologie, qui sont souvent débordés. La recherche consultée par ZDnet mentionne que pour les deux tiers des concepteurs, ce type de programmationreprésente une solution de contournement sans laquelle ils ne pourraient pas répondre aux multiples et exigeantes demandes qui leur sont adressées.
En effet, grâce à cette approche, les utilisateurs professionnels pourraient concevoir de petites applications liées à leur champ d’expertise, ce qui leur permettrait d’automatiser les flux de travail. De plus, des applications axées sur les données leur permettraient d’améliorer la visibilité des opérations commerciales grâce à la création de nouveaux rapports et analyses.
La relative autonomie des professionnels dans la création de petits logiciels standardisés permettrait aux informaticiens de se soucier de thématiques plus stratégiques. De plus, on note que ce paradigme permettrait aux entreprises de limiter l’embauche de nouveaux informaticiens, ce qui est un avantage non négligeable à un moment où les budgets sont serrés et le talent, difficile à trouver.
En revanche, et malgré les avantages signalés, ce type de développement de logiciels amènerait son lot d’irritants. Il s’agit essentiellement de la gestion d’une nouvelle complexité découlant de la prolifération sans contrôle d’applications à faible code bon marché. Dans ce scénario, les entreprises se verront forcées à investir beaucoup de temps dans la mise en place de nouvelles charges de travail pour éduquer leur personnel et éviter que l’organisation soit étouffée par ces logiciels.
Dans ce contexte, on prévoit qu’un des rôles les plus importants que les informaticiens devront assumer est celui d’agir comme gardiens des environnements de conception de logiciels recourant à la programmation schématisée. Apparemment, ce rôle professionnel – qui semble en plein essor – devrait connaître des évolutions, car personne ne peut anticiper le fonctionnement de ce travail d’encadrement.
Plus précisément, il s’agira de définir des relations appropriées entre ces nouveaux concepteurs – qui peuvent être en mesure de créer des applications très pertinentes – et les processus informatiques plus critiques comme la vérification de la sécurité. Éventuellement, les experts anticipent que, selon le type d’application, les utilisateurs professionnels devront se familiariser avec de nouveaux concepts que les informaticiens utilisent au quotidien : les structures de données, les algorithmes et la complexité – autrement dit, les fondamentaux de l’informatique.