L’intelligence artificielle pour améliorer l’efficacité des campagnes de dons
Déjà en 2020, la Commission européenne, commentant le potentiel des technologies disruptives pour l’économie sociale et solidaire (ESS), signalait que les nouvelles plateformes numériques pouvaient encourager de nouvelles formes de financement et de collecte de ressources – comme le financement participatif et l’externalisation ouverte (crowdsourcing). Plus précisément, ces plateformes pourraient être utilisées avantageusement pour, dans un premier temps, mobiliser les acteurs locaux autour de projets sociaux communaux, puis pour les aider à étendre leur portée et à s’engager avec d’autres organisations, même à l’international, pour obtenir du financement et des ressources.
D’ailleurs, étant donné les valeurs qui animent les organisations de l’économie sociale, les nouvelles plateformes pourraient être utilisées pour permettre aux utilisateurs – qu’ils soient travailleurs, associés ou clients – de fonctionner de manière équitable et durable, de favoriser le développement du capital social et de promouvoir la création de valeur sociale dans les communautés. Pour l’accélérateur de l’économie sociale et solidaire SOGA, les organisations ont déjà saisi la chance de développer des outils d’intelligence artificielle (IA) pour améliorer l’efficacité des campagnes de financement. Concrètement, ces nouvelles technologies permettraient de mieux identifier les meilleurs profils de donateurs potentiels. Grâce à cela, les organisations pourraient optimiser leurs ressources et les efforts de ciblage.
En effet, Convergent Non Profit spécifie que l’IA peut analyser des caractéristiques et des tendances particulières au sein d’un vaste bassin de données de donateurs afin de déceler les plans d’action les plus pertinents en plus de prédire les tendances futures. Il serait ainsi possible d’anticiper la probabilité de dons futurs, de déterminer les montants à demander, puis d’élaborer les messages les plus efficaces. Bref, les nouvelles technologies disruptives peuvent simplifier le processus de prospection des meilleurs donateurs.
Selon Convergent Non Profit, les professionnels de la collecte de fonds sont guidés par le principe selon lequel 90 % des revenus d’une organisation à but non lucratif proviennent de 10 % des donateurs. Dans ce contexte, l’IA peut aider à cibler les signaux philanthropiques les plus prometteurs dans une base de données pour identifier les principaux donateurs. Cela permettrait aux organisations de regrouper les donateurs dans des arbres de décision avec des stratégies et une communication adaptées à chacun d’entre eux. La prise de décision améliorée fondée sur la disponibilité des données remplacerait ainsi la prise de décision manuelle basée sur l’expérience personnelle. Les gains d’efficacité pour l’organisation seraient majeurs.
En outre, les outils d’IA peuvent automatiser la production de communications et aider l’organisation à prendre de meilleures décisions en matière de sensibilisation du public. Grâce à l’analyse de l’historique des données, les organisations pourraient définir les messages les plus appropriés et les stratégies de diffusion les plus efficaces, que ce soit par courriel, par courrier ou par téléphone, en organisant des réunions sur place, des événements, etc.
Enfin, les outils de création de contenu les plus récents, comme ChatGPT, peuvent dégager les professionnels des tâches de rédaction routinières pour qu’ils puissent consacrer davantage de leur temps à entrer en contact avec des donateurs potentiels. De plus, les outils d’intelligence artificielle générative pourraient stimuler la créativité des employés et augmenter l’efficacité de leurs messages. En effet, l’IA peut guider les rédacteurs dans l’élaboration des messages les plus susceptibles de toucher leur cible, qu’il s’agisse de la mission organisationnelle et de l’orientation de la vision, des histoires de réussites ou des suggestions innovantes de leurs pairs.
Déjà en 2020, la Commission européenne, commentant le potentiel des technologies disruptives pour l’économie sociale et solidaire (ESS), signalait que les nouvelles plateformes numériques pouvaient encourager de nouvelles formes de financement et de collecte de ressources – comme le financement participatif et l’externalisation ouverte (crowdsourcing). Plus précisément, ces plateformes pourraient être utilisées avantageusement pour, dans un premier temps, mobiliser les acteurs locaux autour de projets sociaux communaux, puis pour les aider à étendre leur portée et à s’engager avec d’autres organisations, même à l’international, pour obtenir du financement et des ressources.
D’ailleurs, étant donné les valeurs qui animent les organisations de l’économie sociale, les nouvelles plateformes pourraient être utilisées pour permettre aux utilisateurs – qu’ils soient travailleurs, associés ou clients – de fonctionner de manière équitable et durable, de favoriser le développement du capital social et de promouvoir la création de valeur sociale dans les communautés. Pour l’accélérateur de l’économie sociale et solidaire SOGA, les organisations ont déjà saisi la chance de développer des outils d’intelligence artificielle (IA) pour améliorer l’efficacité des campagnes de financement. Concrètement, ces nouvelles technologies permettraient de mieux identifier les meilleurs profils de donateurs potentiels. Grâce à cela, les organisations pourraient optimiser leurs ressources et les efforts de ciblage.
En effet, Convergent Non Profit spécifie que l’IA peut analyser des caractéristiques et des tendances particulières au sein d’un vaste bassin de données de donateurs afin de déceler les plans d’action les plus pertinents en plus de prédire les tendances futures. Il serait ainsi possible d’anticiper la probabilité de dons futurs, de déterminer les montants à demander, puis d’élaborer les messages les plus efficaces. Bref, les nouvelles technologies disruptives peuvent simplifier le processus de prospection des meilleurs donateurs.
Selon Convergent Non Profit, les professionnels de la collecte de fonds sont guidés par le principe selon lequel 90 % des revenus d’une organisation à but non lucratif proviennent de 10 % des donateurs. Dans ce contexte, l’IA peut aider à cibler les signaux philanthropiques les plus prometteurs dans une base de données pour identifier les principaux donateurs. Cela permettrait aux organisations de regrouper les donateurs dans des arbres de décision avec des stratégies et une communication adaptées à chacun d’entre eux. La prise de décision améliorée fondée sur la disponibilité des données remplacerait ainsi la prise de décision manuelle basée sur l’expérience personnelle. Les gains d’efficacité pour l’organisation seraient majeurs.
En outre, les outils d’IA peuvent automatiser la production de communications et aider l’organisation à prendre de meilleures décisions en matière de sensibilisation du public. Grâce à l’analyse de l’historique des données, les organisations pourraient définir les messages les plus appropriés et les stratégies de diffusion les plus efficaces, que ce soit par courriel, par courrier ou par téléphone, en organisant des réunions sur place, des événements, etc.
Enfin, les outils de création de contenu les plus récents, comme ChatGPT, peuvent dégager les professionnels des tâches de rédaction routinières pour qu’ils puissent consacrer davantage de leur temps à entrer en contact avec des donateurs potentiels. De plus, les outils d’intelligence artificielle générative pourraient stimuler la créativité des employés et augmenter l’efficacité de leurs messages. En effet, l’IA peut guider les rédacteurs dans l’élaboration des messages les plus susceptibles de toucher leur cible, qu’il s’agisse de la mission organisationnelle et de l’orientation de la vision, des histoires de réussites ou des suggestions innovantes de leurs pairs.