L’intelligence artificielle générative attire l’attention des entreprises, mais il y a des risques éthiques
L'intelligence artificielle (IA) générative représente, selon McKinsey, des algorithmes qui peuvent être utilisés pour créer de nouveaux contenus, notamment de l'audio, du code, des images, du texte, des simulations et des vidéos. ZDNet spécifie que contrairement à d'autres formes d'IA, qui sont utilisées, par exemple, pour l'analyse de données ou pour le contrôle d'une voiture autonome, cette technologie propose des logiciels – tels que ChatGPT et DALL-E d'OpenAI – capables de créer en quelques seconds le contenu le plus varié : du code informatique, des essais, des courriels, des légendes pour les médias sociaux, des images, des poèmes, etc.
De son côté, CIODive mentionne que près de 3 dirigeants d'entreprises sur 5 pensent que l'IA générative est une technologie potentiellement révolutionnaire, tandis que seulement un tiers pense qu'elle est surestimée. En fait, il semblerait que pour la plupart des entreprises, la mise en œuvre de cette technologie est une question à moyen et long terme. Apparemment, les deux tiers des dirigeants ont l'intention de privilégier l'utilisation commerciale de l'IA générative au cours des 18 prochains mois. Notons que pour un tiers des dirigeants, cette technologie est une priorité absolue.
Il y aurait cependant des réticences à cause des implications éthiques. Faisant référence à un rapport de la société de conseil Omdia, CIODive met en relief la pertinence de concevoir un cadre d'utilisation pour les employés afin de protéger la confidentialité des données de l'entreprise. D'ailleurs, hormis les risques associés à une exposition indue des données, il est également question de la précision du contenu proposé par l'IA générative.
Par exemple, CIODive signale que la plupart des cadres s'inquiètent de l'exactitude des résultats offerts par l'IA générative et des répercussions des biais sur les résultats, notamment la désinformation ou les discours haineux. ZDNet précise que les prédictions offertes par l'IA générative sont, certes, basées sur des données, mais qu'il n'y a aucune garantie que la prédiction en question sera correcte. En effet, on ne serait pas en mesure d'établir l'exactitude du contenu proposé par l'IA ni de savoir comment les algorithmes traitent les informations pour les générer. À ce qu'il paraît, il y a des exemples d'agents conversationnels qui fournissent des informations incorrectes ou simplement inventent des choses pour combler les aspects lacunaires du contenu.
Malgré les risques, CIODive note que les grandes entreprises ont commencé à expérimenter des cas d'utilisation de l'IA générative, en particulier dans le domaine du marketing. Selon Gartner, cette tendance devrait se poursuivre. D'ici 2025, ce cabinet d'analystes prévoit que l'IA générative créera 30 % du contenu marketing, contre moins de 2 % en 2022.
L'intelligence artificielle (IA) générative représente, selon McKinsey, des algorithmes qui peuvent être utilisés pour créer de nouveaux contenus, notamment de l'audio, du code, des images, du texte, des simulations et des vidéos. ZDNet spécifie que contrairement à d'autres formes d'IA, qui sont utilisées, par exemple, pour l'analyse de données ou pour le contrôle d'une voiture autonome, cette technologie propose des logiciels – tels que ChatGPT et DALL-E d'OpenAI – capables de créer en quelques seconds le contenu le plus varié : du code informatique, des essais, des courriels, des légendes pour les médias sociaux, des images, des poèmes, etc.
De son côté, CIODive mentionne que près de 3 dirigeants d'entreprises sur 5 pensent que l'IA générative est une technologie potentiellement révolutionnaire, tandis que seulement un tiers pense qu'elle est surestimée. En fait, il semblerait que pour la plupart des entreprises, la mise en œuvre de cette technologie est une question à moyen et long terme. Apparemment, les deux tiers des dirigeants ont l'intention de privilégier l'utilisation commerciale de l'IA générative au cours des 18 prochains mois. Notons que pour un tiers des dirigeants, cette technologie est une priorité absolue.
Il y aurait cependant des réticences à cause des implications éthiques. Faisant référence à un rapport de la société de conseil Omdia, CIODive met en relief la pertinence de concevoir un cadre d'utilisation pour les employés afin de protéger la confidentialité des données de l'entreprise. D'ailleurs, hormis les risques associés à une exposition indue des données, il est également question de la précision du contenu proposé par l'IA générative.
Par exemple, CIODive signale que la plupart des cadres s'inquiètent de l'exactitude des résultats offerts par l'IA générative et des répercussions des biais sur les résultats, notamment la désinformation ou les discours haineux. ZDNet précise que les prédictions offertes par l'IA générative sont, certes, basées sur des données, mais qu'il n'y a aucune garantie que la prédiction en question sera correcte. En effet, on ne serait pas en mesure d'établir l'exactitude du contenu proposé par l'IA ni de savoir comment les algorithmes traitent les informations pour les générer. À ce qu'il paraît, il y a des exemples d'agents conversationnels qui fournissent des informations incorrectes ou simplement inventent des choses pour combler les aspects lacunaires du contenu.
Malgré les risques, CIODive note que les grandes entreprises ont commencé à expérimenter des cas d'utilisation de l'IA générative, en particulier dans le domaine du marketing. Selon Gartner, cette tendance devrait se poursuivre. D'ici 2025, ce cabinet d'analystes prévoit que l'IA générative créera 30 % du contenu marketing, contre moins de 2 % en 2022.