L’intégration des initiatives de transformation numérique et des méthodologies allégées ajoute de la valeur à l’automatisation des usines
Un article de engineering.com analyse les approches qui fusionnent les technologies de transformation numérique (DX) et les objectifs de gestion allégée (lean) dans l’industrie manufacturière. C’est ce que l’on appelle la gestion allégée numérique (digital lean).
Cette fusion n’aurait pas de quoi surprendre étant donné les similarités entre les objectifs principaux des initiatives numériques et la plupart des méthodologies de production allégée : minimiser le gaspillage et les coûts d’une opération tout en maximisant la qualité des produits convoités par les clients.
Il est à noter cependant que la gestion allégée numérique ajouterait de la valeur aux initiatives d’automatisation. D’abord, elle prémunirait les organisations contre les effets de marché provoqués par les problèmes survenus dans la chaîne d’approvisionnement et les catastrophes naturelles. Ensuite, la gestion allégée numérique pourrait aider à réduire les effets de la récente pandémie et de l’inflation mondiale des prix des matières premières. Enfin, par son adaptabilité, cette méthodologie serait efficace pour aider à adapter les opérations aux pénuries de main-d’œuvre qualifiée.
L’article note qu’une multitude de problèmes peuvent être résolus par l’intégration de la gestion allégée numérique aux approches de gestion allégée traditionnelles telles que Six Sigma. En effet, la communication de données numériques en temps réel et le contrôle des quantités, des délais, des processus, des normes et des corrections des conditions opérationnelles peuvent réduire massivement les problèmes de gaspillage.
Parmi ces irritants, on mentionne :
- la surproduction de produits peu demandés;
- les délais de livraison excessifs;
- la production de produits finaux défectueux;
- la circulation encombrante de matériaux ou de pièces à travers une installation de production;
- le stockage inefficace de certains articles.
Pour mieux saisir la contribution de la gestion allégée numérique, l’article signale que les approches allégées traditionnelles dites 3P (production, préparation et processus) mettent l’accent sur la conception de nouveaux processus collaboratifs entre différentes équipes non cloisonnées. Pour ce faire, on utilise soit des maquettes physiques simples (avec des fiches sur un tableau d’affichage), soit des représentations tridimensionnelles d’un environnement automatisé (avec des blocs de carton sur une table).
En revanche, les approches 3P de la gestion allégée numérique sont en mesure de connecter soit les équipements déjà sur place dans une installation en pleine activité, soit le jumeau numérique d’une future installation aux systèmes d’Internet industriel des objets (IIdO) d’agrégation de données.
Par la suite, les systèmes 3P numériques accèdent à ces modèles – et aux analyses de données qu’ils prennent en charge – pour concevoir des opérations optimales qui auront moins de goulots d’étranglement que les conceptions actuelles ou proposées. De telles approches numériques 3P permettent aux travailleurs à distance de prendre part au travail de collaboration pour optimiser les paramètres ou les sections de machine avec lesquels ils sont les plus familiers. De toute manière, malgré la sophistication de ces systèmes, le résultat final dépendra toujours en fin compte du personnel qui dirigera l’opération. De là l’importance critique des outils efficaces d’intégration et de formation des employés.
Un article de engineering.com analyse les approches qui fusionnent les technologies de transformation numérique (DX) et les objectifs de gestion allégée (lean) dans l’industrie manufacturière. C’est ce que l’on appelle la gestion allégée numérique (digital lean).
Cette fusion n’aurait pas de quoi surprendre étant donné les similarités entre les objectifs principaux des initiatives numériques et la plupart des méthodologies de production allégée : minimiser le gaspillage et les coûts d’une opération tout en maximisant la qualité des produits convoités par les clients.
Il est à noter cependant que la gestion allégée numérique ajouterait de la valeur aux initiatives d’automatisation. D’abord, elle prémunirait les organisations contre les effets de marché provoqués par les problèmes survenus dans la chaîne d’approvisionnement et les catastrophes naturelles. Ensuite, la gestion allégée numérique pourrait aider à réduire les effets de la récente pandémie et de l’inflation mondiale des prix des matières premières. Enfin, par son adaptabilité, cette méthodologie serait efficace pour aider à adapter les opérations aux pénuries de main-d’œuvre qualifiée.
L’article note qu’une multitude de problèmes peuvent être résolus par l’intégration de la gestion allégée numérique aux approches de gestion allégée traditionnelles telles que Six Sigma. En effet, la communication de données numériques en temps réel et le contrôle des quantités, des délais, des processus, des normes et des corrections des conditions opérationnelles peuvent réduire massivement les problèmes de gaspillage.
Parmi ces irritants, on mentionne :
- la surproduction de produits peu demandés;
- les délais de livraison excessifs;
- la production de produits finaux défectueux;
- la circulation encombrante de matériaux ou de pièces à travers une installation de production;
- le stockage inefficace de certains articles.
Pour mieux saisir la contribution de la gestion allégée numérique, l’article signale que les approches allégées traditionnelles dites 3P (production, préparation et processus) mettent l’accent sur la conception de nouveaux processus collaboratifs entre différentes équipes non cloisonnées. Pour ce faire, on utilise soit des maquettes physiques simples (avec des fiches sur un tableau d’affichage), soit des représentations tridimensionnelles d’un environnement automatisé (avec des blocs de carton sur une table).
En revanche, les approches 3P de la gestion allégée numérique sont en mesure de connecter soit les équipements déjà sur place dans une installation en pleine activité, soit le jumeau numérique d’une future installation aux systèmes d’Internet industriel des objets (IIdO) d’agrégation de données.
Par la suite, les systèmes 3P numériques accèdent à ces modèles – et aux analyses de données qu’ils prennent en charge – pour concevoir des opérations optimales qui auront moins de goulots d’étranglement que les conceptions actuelles ou proposées. De telles approches numériques 3P permettent aux travailleurs à distance de prendre part au travail de collaboration pour optimiser les paramètres ou les sections de machine avec lesquels ils sont les plus familiers. De toute manière, malgré la sophistication de ces systèmes, le résultat final dépendra toujours en fin compte du personnel qui dirigera l’opération. De là l’importance critique des outils efficaces d’intégration et de formation des employés.