L’intégration de nouveaux modèles numériques et d’analyses avancées pour régénérer les entreprises et l’environnement d’affaires
Selon MH&L – qui explique une nouvelle étude de Kearney, Regenerate: For a future that works for everyone–, l’intégration de nouveaux modèles numériques et d’analyses avancées, tout en veillant à assurer des chaînes d’approvisionnement plus durables, est désormais essentielle. Selon le rapport de Kearney, qui a interrogé 800 dirigeants d’entreprise du monde entier, plus de la moitié (56 %) de ceux-ci déclarent que les transformations actuelles de leur entreprise ne fonctionnent pas.
C’est pourquoi le rapport propose le concept d’« entreprise régénératrice », qui succède à l’approche centrée sur la résilience adoptée pendant la COVID. Ainsi donc, au lieu d’optimiser l’efficacité, la prochaine génération d’entreprises devra se régénérer en utilisant les données externes en plus d’une IA analytique et avancée pour voir ce qui se passe en dehors de l’entreprise et y donner un sens rapide et précis. Bref, il faut aller au-delà de la résilience et se demander de manière proactive où de la valeur peut être ajoutée à la société et au monde en général.
Dans cette perspective, en régénérant l’ensemble du système d’affaires – allant de la chaîne d’approvisionnement à l’expérience client en passant par la culture organisationnelle –, les entreprises et le secteur public pourraient garantir que les entreprises et l’environnement d’affaires au sens large atteignent et maintiennent leur plein potentiel.
Bien que le rapport révèle que 99 % des chefs d’entreprise mondiaux estiment qu’il est important de devenir une entreprise régénérative, il manquerait d’orientations pour mettre en branle ce nouveau paradigme commercial. Seulement 43 % ont déclaré que leur entreprise fonctionnait efficacement de manière régénérative. Il s’agit d’un écart important à combler. De même, seulement 40 % des entreprises ont déclaré mettre en œuvre efficacement une culture régénérative, et 45 % ont déclaré qu’elles exploitaient déjà une chaîne d’approvisionnement régénérative.
L’étude de Kearney révèle que certains secteurs ont pris une longueur d’avance. C’est le cas du secteur de la vente au détail, où plus de la moitié des entreprises (53 %) fonctionnent de manière régénérative et plus d’un tiers (35 %) le font de manière très efficace, en partie en s’appuyant sur la technologie pour contribuer à limiter le gaspillage d’énergie et de matériaux.
Un autre secteur dynamique est celui de l’énergie, qui adopte également une approche régénérative de la durabilité. Notons que 46 % des dirigeants de ce secteur déclarent qu’ils opèrent déjà efficacement de manière régénérative. Parallèlement aux changements apportés à la chaîne d’approvisionnement, les chefs de file de ce secteur estiment que la plus grande chance de régénération réside dans des changements systématiques de leur modèle d’affaires, notamment en tirant parti d’une vision responsable et approfondie des analyses avancées.
Selon MH&L – qui explique une nouvelle étude de Kearney, Regenerate: For a future that works for everyone–, l’intégration de nouveaux modèles numériques et d’analyses avancées, tout en veillant à assurer des chaînes d’approvisionnement plus durables, est désormais essentielle. Selon le rapport de Kearney, qui a interrogé 800 dirigeants d’entreprise du monde entier, plus de la moitié (56 %) de ceux-ci déclarent que les transformations actuelles de leur entreprise ne fonctionnent pas.
C’est pourquoi le rapport propose le concept d’« entreprise régénératrice », qui succède à l’approche centrée sur la résilience adoptée pendant la COVID. Ainsi donc, au lieu d’optimiser l’efficacité, la prochaine génération d’entreprises devra se régénérer en utilisant les données externes en plus d’une IA analytique et avancée pour voir ce qui se passe en dehors de l’entreprise et y donner un sens rapide et précis. Bref, il faut aller au-delà de la résilience et se demander de manière proactive où de la valeur peut être ajoutée à la société et au monde en général.
Dans cette perspective, en régénérant l’ensemble du système d’affaires – allant de la chaîne d’approvisionnement à l’expérience client en passant par la culture organisationnelle –, les entreprises et le secteur public pourraient garantir que les entreprises et l’environnement d’affaires au sens large atteignent et maintiennent leur plein potentiel.
Bien que le rapport révèle que 99 % des chefs d’entreprise mondiaux estiment qu’il est important de devenir une entreprise régénérative, il manquerait d’orientations pour mettre en branle ce nouveau paradigme commercial. Seulement 43 % ont déclaré que leur entreprise fonctionnait efficacement de manière régénérative. Il s’agit d’un écart important à combler. De même, seulement 40 % des entreprises ont déclaré mettre en œuvre efficacement une culture régénérative, et 45 % ont déclaré qu’elles exploitaient déjà une chaîne d’approvisionnement régénérative.
L’étude de Kearney révèle que certains secteurs ont pris une longueur d’avance. C’est le cas du secteur de la vente au détail, où plus de la moitié des entreprises (53 %) fonctionnent de manière régénérative et plus d’un tiers (35 %) le font de manière très efficace, en partie en s’appuyant sur la technologie pour contribuer à limiter le gaspillage d’énergie et de matériaux.
Un autre secteur dynamique est celui de l’énergie, qui adopte également une approche régénérative de la durabilité. Notons que 46 % des dirigeants de ce secteur déclarent qu’ils opèrent déjà efficacement de manière régénérative. Parallèlement aux changements apportés à la chaîne d’approvisionnement, les chefs de file de ce secteur estiment que la plus grande chance de régénération réside dans des changements systématiques de leur modèle d’affaires, notamment en tirant parti d’une vision responsable et approfondie des analyses avancées.