L’Initiative de relocalisation aurait créé 300 000 emplois aux États-Unis au premier semestre de 2023
American Machinist nous apprend que l’Initiative de relocalisation (RI) estime que près de 300 000 emplois auraient été créés aux États-Unis au cours du premier semestre de 2023 grâce aux politiques industrielles de relocalisation et aux investissements directs étrangers. La plupart de ces nouveaux emplois proviendraient des nouvelles usines de fabrication de batteries de véhicules électriques et de puces à semi-conducteurs.
Apparemment, après un long cycle de délocalisation de la production s’étant étalé sur plusieurs décennies, les incitations à la relocalisation, conjuguées aux appréhensions géopolitiques des entreprises, seraient en train de reconfigurer le secteur manufacturier américain. Selon la RI, si les efforts de relocalisation se combinent avec une politique industrielle capable de soutenir une plus grande compétitivité des coûts, il serait possible de fortifier rapidement les chaînes d’approvisionnement.
« Bidenomics » est le nom utilisé pour décrire l’ensemble des projets de dépenses fédérales qui engagent des investissements massifs de l’ordre de 500 milliards de dollars dans le secteur manufacturier et celui des énergies propres. Plus précisément, ce terme fait référence à la loi CHIPS de 2022, qui prévoit l’investissement de 280 milliards de dollars sur 10 ans afin d’encourager la fabrication de semi-conducteurs, la recherche et développement et le développement de la main-d’œuvre, en plus de 24 milliards de dollars supplémentaires de crédits d’impôt pour la production de puces à semi-conducteurs.
Le terme « Bidenomics » renvoie aussi à la loi de 2021 sur l’investissement dans les infrastructures et l’emploi. Cette loi a assuré 1 200 milliards de dollars d’investissements dans le secteur des transports et des infrastructures. De ce montant, 550 milliards de dollars ont été priorisés pour des investissements dans de nouveaux projets et programmes liés aux transports et aux énergies propres. Ces investissements ont fait en sorte que, selon la documentation de la RI, au cours du premier trimestre de 2023, les dépenses moyennes consacrées à la construction d’usines aux États-Unis ont correspondu à plus du double de la moyenne des 17 dernières années.
Selon American Machinist, les données publiées par la RI, indiquant qu’il est payant pour les entreprises de relocaliser leurs activités aux États-Unis, devraient encourager celles-ci à réévaluer leurs décisions d’approvisionnement. Apparemment, il y aurait encore 5 millions d’emplois manufacturiers à l’étranger, mesurés par le déficit commercial de marchandises de 1 200 milliards de dollars par an. Il y aurait donc un fort potentiel pour continuer les efforts de relocalisation. D’ailleurs, les enquêtes menées de façon indépendante par les entreprises américaines confirment la corrélation entre les investissements du gouvernement fédéral et la dynamique de relocalisation.
American Machinist nous apprend que l’Initiative de relocalisation (RI) estime que près de 300 000 emplois auraient été créés aux États-Unis au cours du premier semestre de 2023 grâce aux politiques industrielles de relocalisation et aux investissements directs étrangers. La plupart de ces nouveaux emplois proviendraient des nouvelles usines de fabrication de batteries de véhicules électriques et de puces à semi-conducteurs.
Apparemment, après un long cycle de délocalisation de la production s’étant étalé sur plusieurs décennies, les incitations à la relocalisation, conjuguées aux appréhensions géopolitiques des entreprises, seraient en train de reconfigurer le secteur manufacturier américain. Selon la RI, si les efforts de relocalisation se combinent avec une politique industrielle capable de soutenir une plus grande compétitivité des coûts, il serait possible de fortifier rapidement les chaînes d’approvisionnement.
« Bidenomics » est le nom utilisé pour décrire l’ensemble des projets de dépenses fédérales qui engagent des investissements massifs de l’ordre de 500 milliards de dollars dans le secteur manufacturier et celui des énergies propres. Plus précisément, ce terme fait référence à la loi CHIPS de 2022, qui prévoit l’investissement de 280 milliards de dollars sur 10 ans afin d’encourager la fabrication de semi-conducteurs, la recherche et développement et le développement de la main-d’œuvre, en plus de 24 milliards de dollars supplémentaires de crédits d’impôt pour la production de puces à semi-conducteurs.
Le terme « Bidenomics » renvoie aussi à la loi de 2021 sur l’investissement dans les infrastructures et l’emploi. Cette loi a assuré 1 200 milliards de dollars d’investissements dans le secteur des transports et des infrastructures. De ce montant, 550 milliards de dollars ont été priorisés pour des investissements dans de nouveaux projets et programmes liés aux transports et aux énergies propres. Ces investissements ont fait en sorte que, selon la documentation de la RI, au cours du premier trimestre de 2023, les dépenses moyennes consacrées à la construction d’usines aux États-Unis ont correspondu à plus du double de la moyenne des 17 dernières années.
Selon American Machinist, les données publiées par la RI, indiquant qu’il est payant pour les entreprises de relocaliser leurs activités aux États-Unis, devraient encourager celles-ci à réévaluer leurs décisions d’approvisionnement. Apparemment, il y aurait encore 5 millions d’emplois manufacturiers à l’étranger, mesurés par le déficit commercial de marchandises de 1 200 milliards de dollars par an. Il y aurait donc un fort potentiel pour continuer les efforts de relocalisation. D’ailleurs, les enquêtes menées de façon indépendante par les entreprises américaines confirment la corrélation entre les investissements du gouvernement fédéral et la dynamique de relocalisation.