L’infrastructure sous-marine et l’avenir de la connectivité
Un article de PYMNTS commente les implications de l’initiative des géants de la technologie consistant à mettre en place des câbles sous-marins afin d’assurer la connectivité de l’économie numérique de l’avenir.
L’article explique qu’à l’heure actuelle, il y a déjà un réseau de câbles sous-marins actifs qui relient les continents et facilitent le transfert à haut débit de données essentielles pour toute sorte d’activités, qu’il s’agisse des services de diffusion vidéo en continu, de l’infonuagique ou des transactions financières, parmi bien d’autres.
Ce qui semble nouveau est la participation active qu’assument depuis un certain temps déjà des entreprises technologiques comme Google, Meta, Microsoft et Amazon dans la construction de ces infrastructures. En effet, historiquement, ces réseaux étaient construits et entretenus par des entreprises de télécommunications et des consortiums d’entités soutenues par le gouvernement.
En revanche, l’article constate qu’en ce moment, Google est propriétaire partiel ou exclusif d’environ 33 câbles sous-marins, Meta en possède plus d’une douzaine, Microsoft en a cinq et Amazon, quatre. Apparemment, au cours des dix dernières années, la participation de ces entreprises dans les câbles internationaux serait passée de 10 % à 71 %, selon un rapport de l’Australian Strategic Policy Institute.
Cette évolution ne serait pas surprenante, alors que les transactions numériques sont toujours plus nombreuses et que les entreprises se développent sur les marchés internationaux. Il y aurait, dit-on, une demande du marché pour des transactions plus rapides et plus fiables. De plus, le développement du commerce électronique, en particulier dans des régions comme l’Asie du Sud-Est, l’Afrique et l’Amérique latine, met encore en relief la nécessité d’une connectivité rapide et sécurisée.
Dans ce contexte, les géants du numérique verraient dans les câbles sous-marins une infrastructure robuste pour transférer des données et assurer la capacité de l’infonuagique, et même, le fondement d’une économie connectée. En effet, le système des paiements mondiaux est possible grâce aux transferts de données en temps réel qui sont assurés par les câbles sous-marins.
L’article mentionne que plus de 150 000 milliards de dollars de paiements transfrontaliers sont effectués chaque année, et ce volume devrait augmenter à mesure que le commerce numérique continue de se développer. Les câbles sous-marins offriraient l’avantage d’une faible latence, c’est-à-dire un très petit délai de communication, permettant à ces transferts de se dérouler rapidement et en toute sécurité.
C’est un atout crucial étant donné que des technologies disruptives telles que la chaîne de blocs, les monnaies numériques des banques centrales et les plateformes de paiement instantané dépendent de réseaux à faible latence et à grande capacité, puisqu’elles sont très gourmandes en données.
Un article de PYMNTS commente les implications de l’initiative des géants de la technologie consistant à mettre en place des câbles sous-marins afin d’assurer la connectivité de l’économie numérique de l’avenir.
L’article explique qu’à l’heure actuelle, il y a déjà un réseau de câbles sous-marins actifs qui relient les continents et facilitent le transfert à haut débit de données essentielles pour toute sorte d’activités, qu’il s’agisse des services de diffusion vidéo en continu, de l’infonuagique ou des transactions financières, parmi bien d’autres.
Ce qui semble nouveau est la participation active qu’assument depuis un certain temps déjà des entreprises technologiques comme Google, Meta, Microsoft et Amazon dans la construction de ces infrastructures. En effet, historiquement, ces réseaux étaient construits et entretenus par des entreprises de télécommunications et des consortiums d’entités soutenues par le gouvernement.
En revanche, l’article constate qu’en ce moment, Google est propriétaire partiel ou exclusif d’environ 33 câbles sous-marins, Meta en possède plus d’une douzaine, Microsoft en a cinq et Amazon, quatre. Apparemment, au cours des dix dernières années, la participation de ces entreprises dans les câbles internationaux serait passée de 10 % à 71 %, selon un rapport de l’Australian Strategic Policy Institute.
Cette évolution ne serait pas surprenante, alors que les transactions numériques sont toujours plus nombreuses et que les entreprises se développent sur les marchés internationaux. Il y aurait, dit-on, une demande du marché pour des transactions plus rapides et plus fiables. De plus, le développement du commerce électronique, en particulier dans des régions comme l’Asie du Sud-Est, l’Afrique et l’Amérique latine, met encore en relief la nécessité d’une connectivité rapide et sécurisée.
Dans ce contexte, les géants du numérique verraient dans les câbles sous-marins une infrastructure robuste pour transférer des données et assurer la capacité de l’infonuagique, et même, le fondement d’une économie connectée. En effet, le système des paiements mondiaux est possible grâce aux transferts de données en temps réel qui sont assurés par les câbles sous-marins.
L’article mentionne que plus de 150 000 milliards de dollars de paiements transfrontaliers sont effectués chaque année, et ce volume devrait augmenter à mesure que le commerce numérique continue de se développer. Les câbles sous-marins offriraient l’avantage d’une faible latence, c’est-à-dire un très petit délai de communication, permettant à ces transferts de se dérouler rapidement et en toute sécurité.
C’est un atout crucial étant donné que des technologies disruptives telles que la chaîne de blocs, les monnaies numériques des banques centrales et les plateformes de paiement instantané dépendent de réseaux à faible latence et à grande capacité, puisqu’elles sont très gourmandes en données.