L’inflation, la faute aux entreprises?
Avec l’inflation qui peine à se stabiliser, certains commencent à dénoncer la responsabilité des entreprises dans la hausse des prix. En effet, on constate que de nombreuses entreprises, malgré la situation économique morose, font de gros profits. Le Fonds monétaire international a d’ailleurs confirmé que l’augmentation de l’inflation dans la zone euro était causée par les profits en hausse des entreprises. Un article publié par Les Affaires s’interroge sur la manière de tirer les prix vers le bas et demande si les entreprises sont responsables des hausses de prix.
On estime que certaines entreprises profitent de leur position dominante pour offrir des biens et des services à des prix élevés. Une des raisons qui expliquent leur emprise sur les prix est la présence de barrières à l’entrée, qui réduisent le nombre d’acteurs sur un marché donné et compromettent le jeu des prix. Le marché canadien compte de nombreuses barrières, notamment :
- Les barrières naturelles. Dans le domaine spatial par exemple, on préfère les entreprises qui ont de l’expérience et une formation particulière. De ce fait, ce sont toujours les mêmes qui évoluent sur le marché, et il est difficile pour les nouveaux de se faire de la place.
- Les barrières artificielles. On peut prendre l’exemple de la limitation du nombre d’acteurs dans le secteur des télécommunications par le gouvernement ou du vote de politiques protectionnistes pour empêcher les entreprises étrangères de s’établir dans le pays et d’ainsi concurrencer les entreprises locales.
Lorsque l’on associe ces barrières à la politique monétaire de ces dernières années, cela a une incidence sur l’inflation. La meilleure solution pour y remédier serait de faciliter une économie plus libre et flexible. En somme, l’article recommande au gouvernement de limiter les interventions qui minent la concurrence et favorisent une concentration artificielle des industries. En outre, il faut avoir un équilibre entre le cadre réglementaire et la flexibilité nécessaire pour faciliter l’émergence de nouveaux entrepreneurs et ainsi favoriser une concurrence libre et saine.
Avec l’inflation qui peine à se stabiliser, certains commencent à dénoncer la responsabilité des entreprises dans la hausse des prix. En effet, on constate que de nombreuses entreprises, malgré la situation économique morose, font de gros profits. Le Fonds monétaire international a d’ailleurs confirmé que l’augmentation de l’inflation dans la zone euro était causée par les profits en hausse des entreprises. Un article publié par Les Affaires s’interroge sur la manière de tirer les prix vers le bas et demande si les entreprises sont responsables des hausses de prix.
On estime que certaines entreprises profitent de leur position dominante pour offrir des biens et des services à des prix élevés. Une des raisons qui expliquent leur emprise sur les prix est la présence de barrières à l’entrée, qui réduisent le nombre d’acteurs sur un marché donné et compromettent le jeu des prix. Le marché canadien compte de nombreuses barrières, notamment :
- Les barrières naturelles. Dans le domaine spatial par exemple, on préfère les entreprises qui ont de l’expérience et une formation particulière. De ce fait, ce sont toujours les mêmes qui évoluent sur le marché, et il est difficile pour les nouveaux de se faire de la place.
- Les barrières artificielles. On peut prendre l’exemple de la limitation du nombre d’acteurs dans le secteur des télécommunications par le gouvernement ou du vote de politiques protectionnistes pour empêcher les entreprises étrangères de s’établir dans le pays et d’ainsi concurrencer les entreprises locales.
Lorsque l’on associe ces barrières à la politique monétaire de ces dernières années, cela a une incidence sur l’inflation. La meilleure solution pour y remédier serait de faciliter une économie plus libre et flexible. En somme, l’article recommande au gouvernement de limiter les interventions qui minent la concurrence et favorisent une concentration artificielle des industries. En outre, il faut avoir un équilibre entre le cadre réglementaire et la flexibilité nécessaire pour faciliter l’émergence de nouveaux entrepreneurs et ainsi favoriser une concurrence libre et saine.