L’industrie du camionnage aux États-Unis adopte des solutions basées sur l’infonuagique pour contrecarrer les cyberattaques
Selon CCJ, le modèle de gestion du transport en infonuagique TMS (transportation management system) serait la meilleure défense des entreprises de camionnage contre les cyberattaques. Il s’agirait, aux dires des experts, d’un outil crucial, car cette industrie touche tous les aspects de la chaîne d’approvisionnement américaine.
Faisant référence à un rapport de 2022 du gestionnaire logistique Magnus Technologies, CCJ signale qu’il faut en moyenne 192 jours aux entreprises de transport pour détecter une brèche informatique, et 60 jours supplémentaires pour la colmater. Dans un tel environnement, Magnus recommande aux entreprises de faire la transition vers un serveur infonuagique évolutif pour protéger leurs systèmes plutôt que de miser sur un serveur local.
À un moment où les entreprises de logistique et de camionnage modifient leur approche sur la meilleure façon de stocker leurs données, des experts de cette industrie mentionnent que les entreprises font face à un choix. D’un côté, elles peuvent choisir d’héberger le serveur dans leur propre centre de données, ce qui peut prendre du temps et coûter plus cher, sans mentionner l’effort associé au recrutement d’une équipe d’informaticiens spécialisée en cybersécurité.
D’un autre côté, les entreprises peuvent trouver plus intéressant d’être ajoutées au système infonuagique d’un fournisseur de technologie qui possède l’expertise nécessaire pour héberger leurs données en toute sécurité. Selon l’avis de certains experts, cette option est la meilleure, même si les entreprises ont moins de contrôle sur leurs données.
CCJ note que lorsqu’il s’agit de choisir entre l’architecture client-serveur et l’architecture TMS basée sur l’infonuagique – ou toute plate-forme logicielle –, le critère fondamental à privilégier est la fiabilité. Autrement dit, il faut déterminer qui fera un meilleur travail dans la protection des données confidentielles, entre un fournisseur basé sur l’infonuagique et l’entreprise de camionnage.
Ultimement, il ne faudrait pas oublier le fait que les entreprises de camionnage sont, certes, des spécialistes de la logistique de camionnage, mais moins de la technologie d’hébergement des données. Contrairement aux fournisseurs technologiques, ces entreprises n’ont pas l’infrastructure requise pour mettre en place, prendre en charge et entretenir un environnement sécurisé pour exécuter leurs applications.
Cette faible expertise pourrait avoir des conséquences dévastatrices pour les entreprises de camionnage à un moment où les rançongiciels émergent, dit-on, comme la plus grande menace à la sécurité de leurs données. En effet, la compromission des données confidentielles pourrait nuire à leur réputation et imposer des coûts de réparation très élevés. De plus, étant donné leur dépendance à l’informatique, une entreprise victime d’une cyberattaque serait incapable d’obtenir une nouvelle charge, de prendre des commandes auprès d’un expéditeur et de les expédier, enfin, elle ne pourrait même pas faire de facturation. Bref, ce serait la paralysie totale.
Selon CCJ, le modèle de gestion du transport en infonuagique TMS (transportation management system) serait la meilleure défense des entreprises de camionnage contre les cyberattaques. Il s’agirait, aux dires des experts, d’un outil crucial, car cette industrie touche tous les aspects de la chaîne d’approvisionnement américaine.
Faisant référence à un rapport de 2022 du gestionnaire logistique Magnus Technologies, CCJ signale qu’il faut en moyenne 192 jours aux entreprises de transport pour détecter une brèche informatique, et 60 jours supplémentaires pour la colmater. Dans un tel environnement, Magnus recommande aux entreprises de faire la transition vers un serveur infonuagique évolutif pour protéger leurs systèmes plutôt que de miser sur un serveur local.
À un moment où les entreprises de logistique et de camionnage modifient leur approche sur la meilleure façon de stocker leurs données, des experts de cette industrie mentionnent que les entreprises font face à un choix. D’un côté, elles peuvent choisir d’héberger le serveur dans leur propre centre de données, ce qui peut prendre du temps et coûter plus cher, sans mentionner l’effort associé au recrutement d’une équipe d’informaticiens spécialisée en cybersécurité.
D’un autre côté, les entreprises peuvent trouver plus intéressant d’être ajoutées au système infonuagique d’un fournisseur de technologie qui possède l’expertise nécessaire pour héberger leurs données en toute sécurité. Selon l’avis de certains experts, cette option est la meilleure, même si les entreprises ont moins de contrôle sur leurs données.
CCJ note que lorsqu’il s’agit de choisir entre l’architecture client-serveur et l’architecture TMS basée sur l’infonuagique – ou toute plate-forme logicielle –, le critère fondamental à privilégier est la fiabilité. Autrement dit, il faut déterminer qui fera un meilleur travail dans la protection des données confidentielles, entre un fournisseur basé sur l’infonuagique et l’entreprise de camionnage.
Ultimement, il ne faudrait pas oublier le fait que les entreprises de camionnage sont, certes, des spécialistes de la logistique de camionnage, mais moins de la technologie d’hébergement des données. Contrairement aux fournisseurs technologiques, ces entreprises n’ont pas l’infrastructure requise pour mettre en place, prendre en charge et entretenir un environnement sécurisé pour exécuter leurs applications.
Cette faible expertise pourrait avoir des conséquences dévastatrices pour les entreprises de camionnage à un moment où les rançongiciels émergent, dit-on, comme la plus grande menace à la sécurité de leurs données. En effet, la compromission des données confidentielles pourrait nuire à leur réputation et imposer des coûts de réparation très élevés. De plus, étant donné leur dépendance à l’informatique, une entreprise victime d’une cyberattaque serait incapable d’obtenir une nouvelle charge, de prendre des commandes auprès d’un expéditeur et de les expédier, enfin, elle ne pourrait même pas faire de facturation. Bref, ce serait la paralysie totale.