Limiter les passagers dans les aéroports pour éviter le chaos
Selon un article publié par Reuters, les aéroports comptent maintenir ou mettre en place des mesures pour limiter le nombre de passagers et ainsi maîtriser l'achalandage pendant l'été 2023. En effet, l'année 2022 a été marquée par des retards de vols, des bagages qui n'arrivaient pas à destination en même temps que les passagers… Après la restriction des voyages pendant la pandémie de COVID-19, de nombreuses personnes ont sauté sur l'occasion pour prendre leurs premières vacances en deux ans, et les aéroports et les compagnies aériennes se sont trouvés débordés. La principale raison est qu'il y avait un manque de personnel. Un grand nombre de travailleurs de l'industrie ont été licenciés pendant la pandémie et n'avaient pas été remplacés. Par conséquent, des files d'attente se sont créées aux points de contrôle de sécurité, à l'enregistrement et au contrôle des passeports, tandis que les bagages s'empilaient sans personne pour les gérer.
Pour l'été 2023, l'industrie se dit prête, mais il semblerait que le nombre de voyageurs est prévu à la hausse par rapport à 2022. Il pourrait même atteindre les niveaux prépandémiques, alors que tous les problèmes détectés en 2022 n'ont pas encore été réglés. On estime que les retards et les annulations seront à nouveau au rendez-vous. Malgré une planification et des embauches importantes cette année, certains aéroports et compagnies aériennes sont toujours aux prises avec des pénuries de personnel, y compris les bagagistes. Il y a également des conflits de travail, qui se traduisent souvent par des grèves, notamment en Grande-Bretagne, en France et en Allemagne. Cela amène les compagnies aériennes à réduire les vols malgré la forte demande. Par ailleurs, à cause de la guerre en Ukraine, seulement 80 % de l'espace aérien européen est accessible, ce qui signifie que le ciel sera plus encombré, car les vols évitent les régions où l'accès est restreint. Cela pourrait signifier une augmentation du prix des billets pour les voyageurs, car le coût lié au fait d'éviter l'espace aérien fermé continue de croître pour les compagnies aériennes, et le temps de vol est plus long sur certains trajets.
Au Canada, l'aéroport international Pearson de Toronto a fixé des limites au nombre de vols commerciaux pouvant arriver ou partir pendant les heures de pointe du printemps et de l'été. L'aéroport de Schiphol, à Amsterdam, compte prolonger la limite de passagers jusqu'en mai 2023 pendant les heures de pointe du matin, de 6 h à 13 h. En effet, les compagnies devront réduire leur capacité de 5 %, ce qui équivaut à 5 000 passagers en moins par jour. L'aéroport d'Heathrow, en Grande-Bretagne, a également demandé aux compagnies aériennes de cesser d'ajouter des vols supplémentaires à leurs horaires pendant la haute saison pour éviter le chaos cet été.
Selon un article publié par Reuters, les aéroports comptent maintenir ou mettre en place des mesures pour limiter le nombre de passagers et ainsi maîtriser l'achalandage pendant l'été 2023. En effet, l'année 2022 a été marquée par des retards de vols, des bagages qui n'arrivaient pas à destination en même temps que les passagers… Après la restriction des voyages pendant la pandémie de COVID-19, de nombreuses personnes ont sauté sur l'occasion pour prendre leurs premières vacances en deux ans, et les aéroports et les compagnies aériennes se sont trouvés débordés. La principale raison est qu'il y avait un manque de personnel. Un grand nombre de travailleurs de l'industrie ont été licenciés pendant la pandémie et n'avaient pas été remplacés. Par conséquent, des files d'attente se sont créées aux points de contrôle de sécurité, à l'enregistrement et au contrôle des passeports, tandis que les bagages s'empilaient sans personne pour les gérer.
Pour l'été 2023, l'industrie se dit prête, mais il semblerait que le nombre de voyageurs est prévu à la hausse par rapport à 2022. Il pourrait même atteindre les niveaux prépandémiques, alors que tous les problèmes détectés en 2022 n'ont pas encore été réglés. On estime que les retards et les annulations seront à nouveau au rendez-vous. Malgré une planification et des embauches importantes cette année, certains aéroports et compagnies aériennes sont toujours aux prises avec des pénuries de personnel, y compris les bagagistes. Il y a également des conflits de travail, qui se traduisent souvent par des grèves, notamment en Grande-Bretagne, en France et en Allemagne. Cela amène les compagnies aériennes à réduire les vols malgré la forte demande. Par ailleurs, à cause de la guerre en Ukraine, seulement 80 % de l'espace aérien européen est accessible, ce qui signifie que le ciel sera plus encombré, car les vols évitent les régions où l'accès est restreint. Cela pourrait signifier une augmentation du prix des billets pour les voyageurs, car le coût lié au fait d'éviter l'espace aérien fermé continue de croître pour les compagnies aériennes, et le temps de vol est plus long sur certains trajets.
Au Canada, l'aéroport international Pearson de Toronto a fixé des limites au nombre de vols commerciaux pouvant arriver ou partir pendant les heures de pointe du printemps et de l'été. L'aéroport de Schiphol, à Amsterdam, compte prolonger la limite de passagers jusqu'en mai 2023 pendant les heures de pointe du matin, de 6 h à 13 h. En effet, les compagnies devront réduire leur capacité de 5 %, ce qui équivaut à 5 000 passagers en moins par jour. L'aéroport d'Heathrow, en Grande-Bretagne, a également demandé aux compagnies aériennes de cesser d'ajouter des vols supplémentaires à leurs horaires pendant la haute saison pour éviter le chaos cet été.