Libérer la promesse de l’entrepreneuriat social
Un thème spécial – libérer la promesse de l’entrepreneuriat social – se dégage du rapport sur l’Indice mondial de l’innovation 2024 dévoilé par l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle, une agence des Nations Unies. Le rapport pose la question suivante : que faudra-t-il pour que l’entrepreneuriat social catalyse l’innovation transformatrice et l’impact sociétal?
En voici les grandes lignes :
- Le thème spécial met l’accent sur l’essor et l’importance de l’entrepreneuriat social en tant que phénomène mondial visant à résoudre des problèmes sociaux et environnementaux cruciaux par le biais de modèles d’affaires innovants. Les entrepreneurs sociaux visent à développer et à financer des solutions qui répondent aux défis sociétaux tout en générant des revenus dans les limites d’une économie de marché.
- Cette approche a pris de l’ampleur parmi les jeunes inventeurs et innovateurs qui cherchent à aligner leur travail sur un changement social positif, en particulier dans des domaines négligés par les entreprises traditionnelles et les gouvernements.
- Les estimations actuelles suggèrent qu’il existe environ 11 millions d’entreprises sociales et jusqu’à 30 millions d’entrepreneurs sociaux dans le monde, contribuant à hauteur d’environ 2 000 milliards de dollars US au PIB mondial.
- Les entreprises sociales s’attaquent à divers enjeux, notamment la pauvreté, la viabilité environnementale et l’injustice sociale.
- Malgré l’incidence positive des entreprises issues de l’entrepreneuriat social, les politiques et modèles d’innovation traditionnels ont largement ignoré ces initiatives communautaires.
- L’entrepreneuriat social fonctionne selon des définitions et des cadres juridiques divers, reflétant les histoires régionales et les environnements politiques dans lesquels il évolue. Les entreprises sociales sont souvent confrontées à des exigences concurrentes entre impact social et réussite financière, bénéficiaires et investisseurs, changement systémique à long terme et survie à court terme.
- Les entreprises sociales adoptent des modèles d’affaires :
- axés sur le client, qui fournissent des services essentiels aux populations mal desservies;
- axés sur les employés, qui embauchent et forment des personnes marginalisées;
- axés sur les produits et services, qui développent des produits durables;
- axés sur l’écosystème, qui mobilisent diverses parties prenantes afin d’opérer un changement systémique.
- L’innovation dans l’entrepreneuriat social implique souvent des innovations de processus et de produits adaptées aux contextes locaux, mettant l’accent sur la collaboration et les stratégies de code source libre.
- Le rapport identifie plusieurs obstacles à l’entrepreneuriat social, notamment des cadres juridiques limités, des problèmes de financement et une mesure de performance inadéquate.
- Les recommandations politiques incluent le développement d’environnements juridiques et réglementaires favorables, l’investissement dans des programmes d’éducation et de formation, la promotion de la collecte de données, l’aide aux entrepreneurs sociaux pour atteindre les communautés mal desservies, l’incubation de réseaux d’entreprises sociales et la création d’incitations à l’investissement privé. La collaboration entre les secteurs public et privé est essentielle pour surmonter ces obstacles et libérer tout le potentiel de l’entrepreneuriat social.
Un thème spécial – libérer la promesse de l’entrepreneuriat social – se dégage du rapport sur l’Indice mondial de l’innovation 2024 dévoilé par l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle, une agence des Nations Unies. Le rapport pose la question suivante : que faudra-t-il pour que l’entrepreneuriat social catalyse l’innovation transformatrice et l’impact sociétal?
En voici les grandes lignes :
- Le thème spécial met l’accent sur l’essor et l’importance de l’entrepreneuriat social en tant que phénomène mondial visant à résoudre des problèmes sociaux et environnementaux cruciaux par le biais de modèles d’affaires innovants. Les entrepreneurs sociaux visent à développer et à financer des solutions qui répondent aux défis sociétaux tout en générant des revenus dans les limites d’une économie de marché.
- Cette approche a pris de l’ampleur parmi les jeunes inventeurs et innovateurs qui cherchent à aligner leur travail sur un changement social positif, en particulier dans des domaines négligés par les entreprises traditionnelles et les gouvernements.
- Les estimations actuelles suggèrent qu’il existe environ 11 millions d’entreprises sociales et jusqu’à 30 millions d’entrepreneurs sociaux dans le monde, contribuant à hauteur d’environ 2 000 milliards de dollars US au PIB mondial.
- Les entreprises sociales s’attaquent à divers enjeux, notamment la pauvreté, la viabilité environnementale et l’injustice sociale.
- Malgré l’incidence positive des entreprises issues de l’entrepreneuriat social, les politiques et modèles d’innovation traditionnels ont largement ignoré ces initiatives communautaires.
- L’entrepreneuriat social fonctionne selon des définitions et des cadres juridiques divers, reflétant les histoires régionales et les environnements politiques dans lesquels il évolue. Les entreprises sociales sont souvent confrontées à des exigences concurrentes entre impact social et réussite financière, bénéficiaires et investisseurs, changement systémique à long terme et survie à court terme.
- Les entreprises sociales adoptent des modèles d’affaires :
- axés sur le client, qui fournissent des services essentiels aux populations mal desservies;
- axés sur les employés, qui embauchent et forment des personnes marginalisées;
- axés sur les produits et services, qui développent des produits durables;
- axés sur l’écosystème, qui mobilisent diverses parties prenantes afin d’opérer un changement systémique.
- L’innovation dans l’entrepreneuriat social implique souvent des innovations de processus et de produits adaptées aux contextes locaux, mettant l’accent sur la collaboration et les stratégies de code source libre.
- Le rapport identifie plusieurs obstacles à l’entrepreneuriat social, notamment des cadres juridiques limités, des problèmes de financement et une mesure de performance inadéquate.
- Les recommandations politiques incluent le développement d’environnements juridiques et réglementaires favorables, l’investissement dans des programmes d’éducation et de formation, la promotion de la collecte de données, l’aide aux entrepreneurs sociaux pour atteindre les communautés mal desservies, l’incubation de réseaux d’entreprises sociales et la création d’incitations à l’investissement privé. La collaboration entre les secteurs public et privé est essentielle pour surmonter ces obstacles et libérer tout le potentiel de l’entrepreneuriat social.