L’IA peut aider à favoriser l’approvisionnement durable
L’approvisionnement social émerge comme une pratique intéressante pour les gouvernements et les autres acheteurs publics désireux de créer une plus grande valeur sociale, environnementale et éthique. Cependant, un rapport de l’Organisation de coopération et de développement économiques, Promoting Social and Solidarity Economy Ecosystems (2023), souligne que les marchés privés offrent également un potentiel majeur pour l’économie sociale. En fait, malgré le manque de données officielles, on peut supposer que la consommation intermédiaire du secteur privé dépasse celle du secteur public.
L’accès des organismes de l’économie sociale et solidaire à ces marchés se verrait favorisé par la pression que subissent les entreprises à but lucratif pour adopter des pratiques commerciales plus responsables sur le plan social et environnemental. Celles-ci sont désormais incitées à viser la création intentionnelle d’un impact social, notamment par le biais de leur pouvoir d’achat. Dans cette évolution, la technologie est appelée à jouer un rôle décisif.
Le site Procurement mentionne que l’intelligence artificielle (IA) offrirait aux entreprises la possibilité d’augmenter leur productivité grâce à l’automatisation des opérations et à une communication améliorée entre les différentes entités de la chaîne d’approvisionnement. Les entreprises pourraient mettre en place des chaînes numériques plus efficaces, diversifiées et durables, ce qui contribuerait à augmenter leurs chances d’atteindre leurs objectifs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG).
Le site GEP précise que l’IA permettrait de surmonter des difficultés associées à la qualification des fournisseurs, à la traçabilité des produits et aux stratégies de distribution et de divulgation des performances. En effet, en combinant différentes technologies – des techniques d’analyse avancée, des algorithmes intelligents, le traitement du langage naturel et des données en temps réel –, les systèmes d’IA de nouvelle génération pourraient analyser des rapports d’audit, des certifications, le ton médiatique, des notations de crédit et des données d’importation et d’expédition. Cette analyse permettrait d’attribuer une cote de risque aux fournisseurs selon leur niveau de conformité aux objectifs ESG.
De même, à l’aide de capteurs, de l’Internet des objets (IdO) et d’un suivi assuré par la chaîne de blocs, les systèmes d’IA peuvent proposer des passeports numériques qui comprennent toutes les informations d’identification d’approvisionnement éthique, en plus de retracer le parcours d’origine et la chaîne de distribution responsable de chaque produit. Ces passeports pourraient garantir la provenance des produits et la conformité aux exigences de durabilité.
De plus, grâce à la visibilité logistique assurée par les systèmes intelligents, les gestionnaires de la chaîne d’approvisionnement peuvent connaître la position des stocks en tout temps. En effet, les systèmes d’IA sont capables de commander les modes d’expédition, les itinéraires, les emplacements de stockage et les stocks de sécurité. La possibilité de moduler la vitesse de livraison, les besoins en fonds de roulement et les objectifs de durabilité permet de minimiser les kilomètres parcourus, réduisant autant les déchets que les émissions.
Enfin, l’IA simplifie grandement les tâches de production des rapports de divulgation requis pour les émissions de portée 1, 2 et 3 de tous les fournisseurs. En effet, les systèmes intelligents pourraient automatiser les tâches consistant à auditer chaque transaction pour vérifier le respect des divers seuils d’émissions de produits et des engagements pris en matière de durabilité des fournisseurs.
L’approvisionnement social émerge comme une pratique intéressante pour les gouvernements et les autres acheteurs publics désireux de créer une plus grande valeur sociale, environnementale et éthique. Cependant, un rapport de l’Organisation de coopération et de développement économiques, Promoting Social and Solidarity Economy Ecosystems (2023), souligne que les marchés privés offrent également un potentiel majeur pour l’économie sociale. En fait, malgré le manque de données officielles, on peut supposer que la consommation intermédiaire du secteur privé dépasse celle du secteur public.
L’accès des organismes de l’économie sociale et solidaire à ces marchés se verrait favorisé par la pression que subissent les entreprises à but lucratif pour adopter des pratiques commerciales plus responsables sur le plan social et environnemental. Celles-ci sont désormais incitées à viser la création intentionnelle d’un impact social, notamment par le biais de leur pouvoir d’achat. Dans cette évolution, la technologie est appelée à jouer un rôle décisif.
Le site Procurement mentionne que l’intelligence artificielle (IA) offrirait aux entreprises la possibilité d’augmenter leur productivité grâce à l’automatisation des opérations et à une communication améliorée entre les différentes entités de la chaîne d’approvisionnement. Les entreprises pourraient mettre en place des chaînes numériques plus efficaces, diversifiées et durables, ce qui contribuerait à augmenter leurs chances d’atteindre leurs objectifs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG).
Le site GEP précise que l’IA permettrait de surmonter des difficultés associées à la qualification des fournisseurs, à la traçabilité des produits et aux stratégies de distribution et de divulgation des performances. En effet, en combinant différentes technologies – des techniques d’analyse avancée, des algorithmes intelligents, le traitement du langage naturel et des données en temps réel –, les systèmes d’IA de nouvelle génération pourraient analyser des rapports d’audit, des certifications, le ton médiatique, des notations de crédit et des données d’importation et d’expédition. Cette analyse permettrait d’attribuer une cote de risque aux fournisseurs selon leur niveau de conformité aux objectifs ESG.
De même, à l’aide de capteurs, de l’Internet des objets (IdO) et d’un suivi assuré par la chaîne de blocs, les systèmes d’IA peuvent proposer des passeports numériques qui comprennent toutes les informations d’identification d’approvisionnement éthique, en plus de retracer le parcours d’origine et la chaîne de distribution responsable de chaque produit. Ces passeports pourraient garantir la provenance des produits et la conformité aux exigences de durabilité.
De plus, grâce à la visibilité logistique assurée par les systèmes intelligents, les gestionnaires de la chaîne d’approvisionnement peuvent connaître la position des stocks en tout temps. En effet, les systèmes d’IA sont capables de commander les modes d’expédition, les itinéraires, les emplacements de stockage et les stocks de sécurité. La possibilité de moduler la vitesse de livraison, les besoins en fonds de roulement et les objectifs de durabilité permet de minimiser les kilomètres parcourus, réduisant autant les déchets que les émissions.
Enfin, l’IA simplifie grandement les tâches de production des rapports de divulgation requis pour les émissions de portée 1, 2 et 3 de tous les fournisseurs. En effet, les systèmes intelligents pourraient automatiser les tâches consistant à auditer chaque transaction pour vérifier le respect des divers seuils d’émissions de produits et des engagements pris en matière de durabilité des fournisseurs.