L’IA investit le domaine juridique et propose des gains de productivité ainsi qu’un meilleur accès à la justice
Legal Dive signale que le battage médiatique suscité par l’intelligence artificielle (IA) semble avoir négligé l’utilisation de cette technologie dans le domaine juridique. Apparemment, l’IA peut y stimuler des gains tangibles en matière de productivité si elle est utilisée de façon judicieuse. Plus précisément, Intellisoft cible les trois avantages majeurs qu’apporteraient les systèmes intelligents dans le domaine juridique.
- Une plus grande productivité : En confiant des tâches à des algorithmes d’IA, il serait possible d’automatiser les tâches routinières qui sont souvent très chronophages, comme la recherche d’un cas particulier ou d’un contrat, la création de factures, etc. Il y a aussi des économies à réaliser, car sans le recours à l’IA, la recherche peut prendre plus de 24 heures, ce qui entraîne des coûts incroyablement élevés.
- Un meilleur accès à la justice : Puisque l’IA et l’apprentissage automatique permettent aux professionnels du droit de se dégager des tâches routinières, ceux-ci pourraient se consacrer à des tâches plus stratégiques à valeur ajoutée en lien avec les fonctions d’affaires essentielles de l’entreprise, en plus de passer plus de temps avec les clients.
- Une meilleure expérience centrée sur le client : La pratique juridique ne comprend pas seulement la gestion des dossiers des clients, mais également l’entretien d’une relation professionnelle pour mieux comprendre leurs besoins. Grâce aux outils d’IA et à l’automatisation des tâches routinières, les professionnels du droit auraient plus de temps à consacrer à leurs clients.
En outre, Legal Dive mentionne la démocratisation du droit, car l’accès aux technologies intelligentes permettrait aux petites équipes juridiques d’accomplir des tâches autrefois réservées aux entreprises disposant de vastes ressources. En effet, de nombreuses données juridiques restent non structurées, ce qui entrave l’analyse manuelle. Désormais, grâce à l’IA et à l’apprentissage automatique, les équipes juridiques peuvent extraire des informations pertinentes à partir d’un tas de documents et de contrats.
Cependant, pour atteindre ces objectifs, les équipes juridiques internes doivent se préparer de manière pragmatique. Il faut d’abord comprendre les limites de l’IA, car la technologie ne remplace pas l’expertise et le jugement juridiques, humains, bien au contraire. L’IA peut, certes, traiter rapidement des documents juridiques, mais la compréhension humaine nuancée reste incontournable pour aboutir à un conseil solide. D’ailleurs, il faut être toujours à l’affût du fait que les capacités de l’IA restent imprévisibles et que l’analyse des données peut produire des résultats biaisés. La formation continue est donc cruciale, car les entreprises doivent former leurs employés en permanence à mesure que leurs capacités progressent. Il faut réfléchir aussi au rôle des facultés de droit, qui devraient enseigner la pensée critique sur les applications de l’IA et ses implications éthiques.
Legal Dive signale que le battage médiatique suscité par l’intelligence artificielle (IA) semble avoir négligé l’utilisation de cette technologie dans le domaine juridique. Apparemment, l’IA peut y stimuler des gains tangibles en matière de productivité si elle est utilisée de façon judicieuse. Plus précisément, Intellisoft cible les trois avantages majeurs qu’apporteraient les systèmes intelligents dans le domaine juridique.
- Une plus grande productivité : En confiant des tâches à des algorithmes d’IA, il serait possible d’automatiser les tâches routinières qui sont souvent très chronophages, comme la recherche d’un cas particulier ou d’un contrat, la création de factures, etc. Il y a aussi des économies à réaliser, car sans le recours à l’IA, la recherche peut prendre plus de 24 heures, ce qui entraîne des coûts incroyablement élevés.
- Un meilleur accès à la justice : Puisque l’IA et l’apprentissage automatique permettent aux professionnels du droit de se dégager des tâches routinières, ceux-ci pourraient se consacrer à des tâches plus stratégiques à valeur ajoutée en lien avec les fonctions d’affaires essentielles de l’entreprise, en plus de passer plus de temps avec les clients.
- Une meilleure expérience centrée sur le client : La pratique juridique ne comprend pas seulement la gestion des dossiers des clients, mais également l’entretien d’une relation professionnelle pour mieux comprendre leurs besoins. Grâce aux outils d’IA et à l’automatisation des tâches routinières, les professionnels du droit auraient plus de temps à consacrer à leurs clients.
En outre, Legal Dive mentionne la démocratisation du droit, car l’accès aux technologies intelligentes permettrait aux petites équipes juridiques d’accomplir des tâches autrefois réservées aux entreprises disposant de vastes ressources. En effet, de nombreuses données juridiques restent non structurées, ce qui entrave l’analyse manuelle. Désormais, grâce à l’IA et à l’apprentissage automatique, les équipes juridiques peuvent extraire des informations pertinentes à partir d’un tas de documents et de contrats.
Cependant, pour atteindre ces objectifs, les équipes juridiques internes doivent se préparer de manière pragmatique. Il faut d’abord comprendre les limites de l’IA, car la technologie ne remplace pas l’expertise et le jugement juridiques, humains, bien au contraire. L’IA peut, certes, traiter rapidement des documents juridiques, mais la compréhension humaine nuancée reste incontournable pour aboutir à un conseil solide. D’ailleurs, il faut être toujours à l’affût du fait que les capacités de l’IA restent imprévisibles et que l’analyse des données peut produire des résultats biaisés. La formation continue est donc cruciale, car les entreprises doivent former leurs employés en permanence à mesure que leurs capacités progressent. Il faut réfléchir aussi au rôle des facultés de droit, qui devraient enseigner la pensée critique sur les applications de l’IA et ses implications éthiques.