L’IA générative dans le classement Fortune 500 et la transformation des modèles d’affaires
Fortune commente l’influence de l’impact commercial de l’intelligence artificielle générative dans l’élaboration de la dernière liste Fortune 500, qui classe les plus grandes entreprises américaines selon leur chiffre d’affaires. On note, par exemple, que le fabricant de puces Nvidia a grimpé de 87 places dans ce classement, alors que ses revenus ont doublé. Il s’agit d’une ascension fulgurante qui est comparable à la valorisation de Microsoft, dont les perspectives étaient déjà très solides en raison de son lien avec OpenAI.
Cette transformation du classement Fortune 500 avait déjà attiré l’attention de Yale Insights plus tôt cette année, lorsqu’il a été constaté que les principaux PDG du classement étaient en train de réinventer leurs entreprises en s’appuyant sur l’intelligence artificielle (IA), les énergies propres et d’autres technologies émergentes. Il est à noter que, selon un de ces PDG, les applications les plus percutantes de l’IA ont souvent lieu dans les secteurs d’affaires traditionnels.
Ce processus de transformation mettrait en relief les nombreux défis commerciaux, réglementaires et techniques qui sont associés à la conception de nouveaux modèles d’affaires devant désormais s’adapter à l’IA, à la rupture numérique et aux technologies émergentes. Cependant, ce qu’il est impératif de noter est l’apparente transition d’une IA conçue comme une grande plateforme horizontale, avec de grands modèles de langage centrés sur la Silicon Valley, vers un autre type d’IA, déployée dans des secteurs verticaux de l’industrie.
Les exemples de cette transition seraient multiples. Yale Insights mentionne, par exemple, le cas du secteur de l’alimentation, où la modélisation de l’IA aurait contribué à réduire le temps de passage en caisse de 50 %. Cela serait possible grâce à l’utilisation des jumeaux numériques, qui, synchronisés avec l’achalandage des magasins, permettraient la visualisation, la simulation et l’optimisation des caisses automatiques.
Dans les secteurs de l’hôtellerie et du tourisme, les PDG soulignent la capacité de l’IA de personnaliser les recommandations de voyage et d’adapter les expériences de voyage pour mieux répondre aux besoins des clients. On note la proposition d’un nouvel outil d’IA, en vertu d’un partenariat de TripAdvisor avec OpenAI, qui est capable de filtrer plus d’un milliard d’avis générés par les utilisateurs de TripAdvisor afin de créer des itinéraires générés par l’IA.
Enfin, dans le secteur des services financiers, les PDG soulignent l’utilisation de l’IA pour rationaliser le service à la clientèle et les interactions avec les clients. Un exemple est la proposition d’un assistant bancaire à commande vocale appelé « Erica », qui a aidé les clients dans plus de 2 milliards d’interactions. Cela a demandé la conception d’un langage reconnu pour le secteur bancaire, capable de fonctionner dans un environnement très contrôlé et réglementé, et qui devait, en plus, être capable de répondre aux questions particulières des clients liées à une transaction sur l’un des 60 millions de comptes, dans le cadre de 110 systèmes et types de comptes différents.
Fortune commente l’influence de l’impact commercial de l’intelligence artificielle générative dans l’élaboration de la dernière liste Fortune 500, qui classe les plus grandes entreprises américaines selon leur chiffre d’affaires. On note, par exemple, que le fabricant de puces Nvidia a grimpé de 87 places dans ce classement, alors que ses revenus ont doublé. Il s’agit d’une ascension fulgurante qui est comparable à la valorisation de Microsoft, dont les perspectives étaient déjà très solides en raison de son lien avec OpenAI.
Cette transformation du classement Fortune 500 avait déjà attiré l’attention de Yale Insights plus tôt cette année, lorsqu’il a été constaté que les principaux PDG du classement étaient en train de réinventer leurs entreprises en s’appuyant sur l’intelligence artificielle (IA), les énergies propres et d’autres technologies émergentes. Il est à noter que, selon un de ces PDG, les applications les plus percutantes de l’IA ont souvent lieu dans les secteurs d’affaires traditionnels.
Ce processus de transformation mettrait en relief les nombreux défis commerciaux, réglementaires et techniques qui sont associés à la conception de nouveaux modèles d’affaires devant désormais s’adapter à l’IA, à la rupture numérique et aux technologies émergentes. Cependant, ce qu’il est impératif de noter est l’apparente transition d’une IA conçue comme une grande plateforme horizontale, avec de grands modèles de langage centrés sur la Silicon Valley, vers un autre type d’IA, déployée dans des secteurs verticaux de l’industrie.
Les exemples de cette transition seraient multiples. Yale Insights mentionne, par exemple, le cas du secteur de l’alimentation, où la modélisation de l’IA aurait contribué à réduire le temps de passage en caisse de 50 %. Cela serait possible grâce à l’utilisation des jumeaux numériques, qui, synchronisés avec l’achalandage des magasins, permettraient la visualisation, la simulation et l’optimisation des caisses automatiques.
Dans les secteurs de l’hôtellerie et du tourisme, les PDG soulignent la capacité de l’IA de personnaliser les recommandations de voyage et d’adapter les expériences de voyage pour mieux répondre aux besoins des clients. On note la proposition d’un nouvel outil d’IA, en vertu d’un partenariat de TripAdvisor avec OpenAI, qui est capable de filtrer plus d’un milliard d’avis générés par les utilisateurs de TripAdvisor afin de créer des itinéraires générés par l’IA.
Enfin, dans le secteur des services financiers, les PDG soulignent l’utilisation de l’IA pour rationaliser le service à la clientèle et les interactions avec les clients. Un exemple est la proposition d’un assistant bancaire à commande vocale appelé « Erica », qui a aidé les clients dans plus de 2 milliards d’interactions. Cela a demandé la conception d’un langage reconnu pour le secteur bancaire, capable de fonctionner dans un environnement très contrôlé et réglementé, et qui devait, en plus, être capable de répondre aux questions particulières des clients liées à une transaction sur l’un des 60 millions de comptes, dans le cadre de 110 systèmes et types de comptes différents.