L’expansion du marché du renseignement de sources ouvertes propulsée notamment par la cybercriminalité et le terrorisme
Selon Brink, le renseignement de sources ouvertes, ou open-source intelligence (OSINT), correspond à la collecte et à l’analyse de données accessibles au public à partir de sources illimitées et mondiales pour produire des informations exploitables. Les analystes utilisent les sources ouvertes pour retracer des activités illégales et des violations des droits de la personne ainsi que pour identifier les menaces. Malheureusement, les acteurs malveillants l’utilisent aussi pour planifier et cibler des réseaux par le piratage et le cyberterrorisme. C’est précisément cela qui pousse la croissance du marché de l’OSINT.
MarketWatch signale que le marché mondial de l’OSINT devrait connaître une forte croissance au cours de la période de prévision, entre 2023 et 2028. En effet, la taille du marché mondial de l’OSINT était évaluée à 4 219,56 millions USD en 2022, et celui-ci devrait augmenter à un taux de croissance annuel composé de 6,31 % au cours de la période de prévision, pour atteindre 6 090,65 millions USD d’ici 2028.
Pour Global Market Insights, au vu de l’augmentation de la cybercriminalité – notamment la croissance vertigineuse des rançongiciels qui ciblent les hôpitaux, les universités et les petites et grandes entreprises –, du terrorisme et d’autres activités illicites, il y a une occasion d’affaires certaine pour l’OSINT. Celui-ci offrirait, dit-on, une solution de cybersécurité et une protection des données solides. Conséquemment, son adoption devrait augmenter dans diverses entreprises au cours de la période de prévision.
BlackDot spécifie que l’OSINT aiderait les enquêteurs à identifier de façon proactive les menaces externes et émergentes qui représentent un risque pour une organisation. Il semble donc critique, par exemple, d’analyser l’information sensible qui est disponible sur le Web clandestin, où l’on constate la mise aux enchères des données personnelles volées par des cyberpirates.
Enfin, la Commission européenne précise qu’il y a six catégories de sources ouvertes qui alimentent l’OSINT, à savoir :
- Les médias publics comme les journaux imprimés, les magazines et la télévision;
- L’Internet, où l’on cible des publications et blogues, des groupes de discussion tels que des forums, et des sites Web de médias sociaux, tels que YouTube, Twitter et Instagram;
- Les données publiques des gouvernements, par exemple, les rapports publics des gouvernements, les budgets, les conférences de presse, les audiences et les discours;
- Les publications professionnelles et universitaires, notamment les informations disponibles dans des revues, des conférences, des articles savants et des thèses;
- Les données et les images commerciales, les évaluations commerciales et financières et les bases de données;
- La littérature grise, composée essentiellement des rapports techniques, des brevets, des documents commerciaux, des travaux non publiés et des bulletins d’information.
Selon Brink, le renseignement de sources ouvertes, ou open-source intelligence (OSINT), correspond à la collecte et à l’analyse de données accessibles au public à partir de sources illimitées et mondiales pour produire des informations exploitables. Les analystes utilisent les sources ouvertes pour retracer des activités illégales et des violations des droits de la personne ainsi que pour identifier les menaces. Malheureusement, les acteurs malveillants l’utilisent aussi pour planifier et cibler des réseaux par le piratage et le cyberterrorisme. C’est précisément cela qui pousse la croissance du marché de l’OSINT.
MarketWatch signale que le marché mondial de l’OSINT devrait connaître une forte croissance au cours de la période de prévision, entre 2023 et 2028. En effet, la taille du marché mondial de l’OSINT était évaluée à 4 219,56 millions USD en 2022, et celui-ci devrait augmenter à un taux de croissance annuel composé de 6,31 % au cours de la période de prévision, pour atteindre 6 090,65 millions USD d’ici 2028.
Pour Global Market Insights, au vu de l’augmentation de la cybercriminalité – notamment la croissance vertigineuse des rançongiciels qui ciblent les hôpitaux, les universités et les petites et grandes entreprises –, du terrorisme et d’autres activités illicites, il y a une occasion d’affaires certaine pour l’OSINT. Celui-ci offrirait, dit-on, une solution de cybersécurité et une protection des données solides. Conséquemment, son adoption devrait augmenter dans diverses entreprises au cours de la période de prévision.
BlackDot spécifie que l’OSINT aiderait les enquêteurs à identifier de façon proactive les menaces externes et émergentes qui représentent un risque pour une organisation. Il semble donc critique, par exemple, d’analyser l’information sensible qui est disponible sur le Web clandestin, où l’on constate la mise aux enchères des données personnelles volées par des cyberpirates.
Enfin, la Commission européenne précise qu’il y a six catégories de sources ouvertes qui alimentent l’OSINT, à savoir :
- Les médias publics comme les journaux imprimés, les magazines et la télévision;
- L’Internet, où l’on cible des publications et blogues, des groupes de discussion tels que des forums, et des sites Web de médias sociaux, tels que YouTube, Twitter et Instagram;
- Les données publiques des gouvernements, par exemple, les rapports publics des gouvernements, les budgets, les conférences de presse, les audiences et les discours;
- Les publications professionnelles et universitaires, notamment les informations disponibles dans des revues, des conférences, des articles savants et des thèses;
- Les données et les images commerciales, les évaluations commerciales et financières et les bases de données;
- La littérature grise, composée essentiellement des rapports techniques, des brevets, des documents commerciaux, des travaux non publiés et des bulletins d’information.