Les technologies numériques pour intégrer la durabilité aux processus industriels
Un article d’IndustryWeek analyse les technologies qui permettraient aux fabricants d’intégrer l’économie circulaire et les pratiques de durabilité dans leurs processus d’affaires afin d’obtenir un avantage concurrentiel. Apparemment, les outils numériques ont atteint une telle maturité que l’on pense qu’ils peuvent contribuer à accroître l’efficacité et la rentabilité et à rendre la durabilité bonne pour les affaires.
D’ailleurs, l’intérêt pour les outils numériques capables de soutenir la circularité et la durabilité dans la fabrication industrielle survient alors que les fabricants consacrent des efforts pour se conformer aux exigences des régulateurs. En guise d’exemple, l’article mentionne les règles de l’Union européenne (UE) en matière d’emballage et de batteries, la taxonomie de l’UE, la directive européenne sur la durabilité et l’information des entreprises (CSRD) et d’autres exigences en matière de divulgation.
Cependant, il semble que les fabricants peuvent rater des chances précieuses s’ils approchent la circularité et la durabilité en se concentrant uniquement sur la conformité et l’image de l’entreprise. En effet, les outils numériques actuellement disponibles peuvent s’intégrer aux processus d’affaires et aux systèmes d’information traditionnels et transformer les exigences de reddition de comptes en avantage concurrentiel. En voici quelques exemples :
- Les échanges de données sur la durabilité émergents : Ceux-ci permettent de partager les données sur les émissions de portée 3 tout au long de la chaîne d’approvisionnement, de repérer les produits ou les processus présentant un potentiel de réduction des émissions de carbone et d’éviter le comptage en double des émissions.
- Les logiciels de comptabilité carbone basés sur l’IA : Ceux-ci peuventcalculer l’empreinte carbone d’un produit au niveau de l’entreprise.
- Les systèmes de responsabilité élargie des producteurs (REP) : Ceux-ci fournissent des aperçus sur le cycle de vie et sur les coûts et l’impact environnemental des choix de conception tout en rendant compte des frais liés à la REP, des taxes sur le plastique et des engagements des entreprises.
- Les « registres verts » reliant les émissions et les données financières : Grâce à ces registres, les fabricants industriels peuvent voir les liens entre les émissions et les finances, modéliser des scénarios commerciaux durables et prendre des décisions qui répondent aux objectifs à la fois financiers et environnementaux.
L’article note que ces outils numériques permettent de mieux exploiter les données que les fabricants sont déjà obligés de collecter, compiler et communiquer. Ces données ont une valeur absolument cruciale, car elles ont le potentiel :
- d’augmenter les ventes par la proposition de produits et services durables;
- de réduire les coûts en utilisant des matériaux et composants secondaires;
- d’attirer de nouveaux talents et d’améliorer la collaboration avec les fournisseurs.
Le grand défi qui entrave à l’heure actuelle la collecte de données sur la durabilité est que celle-ci est effectuée manuellement. Selon l’article, cela est appelé à changer, non seulement pour les données internes d’un fabricant industriel, mais aussi pour celles générées par les fournisseurs. Ce changement est en train d’avoir lieu précisément en raison de la disponibilité de technologies qui peuvent exploiter efficacement ces données et générer de la nouvelle valeur.
Un article d’IndustryWeek analyse les technologies qui permettraient aux fabricants d’intégrer l’économie circulaire et les pratiques de durabilité dans leurs processus d’affaires afin d’obtenir un avantage concurrentiel. Apparemment, les outils numériques ont atteint une telle maturité que l’on pense qu’ils peuvent contribuer à accroître l’efficacité et la rentabilité et à rendre la durabilité bonne pour les affaires.
D’ailleurs, l’intérêt pour les outils numériques capables de soutenir la circularité et la durabilité dans la fabrication industrielle survient alors que les fabricants consacrent des efforts pour se conformer aux exigences des régulateurs. En guise d’exemple, l’article mentionne les règles de l’Union européenne (UE) en matière d’emballage et de batteries, la taxonomie de l’UE, la directive européenne sur la durabilité et l’information des entreprises (CSRD) et d’autres exigences en matière de divulgation.
Cependant, il semble que les fabricants peuvent rater des chances précieuses s’ils approchent la circularité et la durabilité en se concentrant uniquement sur la conformité et l’image de l’entreprise. En effet, les outils numériques actuellement disponibles peuvent s’intégrer aux processus d’affaires et aux systèmes d’information traditionnels et transformer les exigences de reddition de comptes en avantage concurrentiel. En voici quelques exemples :
- Les échanges de données sur la durabilité émergents : Ceux-ci permettent de partager les données sur les émissions de portée 3 tout au long de la chaîne d’approvisionnement, de repérer les produits ou les processus présentant un potentiel de réduction des émissions de carbone et d’éviter le comptage en double des émissions.
- Les logiciels de comptabilité carbone basés sur l’IA : Ceux-ci peuventcalculer l’empreinte carbone d’un produit au niveau de l’entreprise.
- Les systèmes de responsabilité élargie des producteurs (REP) : Ceux-ci fournissent des aperçus sur le cycle de vie et sur les coûts et l’impact environnemental des choix de conception tout en rendant compte des frais liés à la REP, des taxes sur le plastique et des engagements des entreprises.
- Les « registres verts » reliant les émissions et les données financières : Grâce à ces registres, les fabricants industriels peuvent voir les liens entre les émissions et les finances, modéliser des scénarios commerciaux durables et prendre des décisions qui répondent aux objectifs à la fois financiers et environnementaux.
L’article note que ces outils numériques permettent de mieux exploiter les données que les fabricants sont déjà obligés de collecter, compiler et communiquer. Ces données ont une valeur absolument cruciale, car elles ont le potentiel :
- d’augmenter les ventes par la proposition de produits et services durables;
- de réduire les coûts en utilisant des matériaux et composants secondaires;
- d’attirer de nouveaux talents et d’améliorer la collaboration avec les fournisseurs.
Le grand défi qui entrave à l’heure actuelle la collecte de données sur la durabilité est que celle-ci est effectuée manuellement. Selon l’article, cela est appelé à changer, non seulement pour les données internes d’un fabricant industriel, mais aussi pour celles générées par les fournisseurs. Ce changement est en train d’avoir lieu précisément en raison de la disponibilité de technologies qui peuvent exploiter efficacement ces données et générer de la nouvelle valeur.