Les systèmes d’identification numériques devraient faciliter les interactions des entreprises avec les individus et les gouvernements
Forbes nous apprend la mise en place d’un programme pilote qui permettrait de voyager avec un passeport numérique, disponible sur un téléphone intelligent, au lieu d’un passeport physique. Cet essai est pour l’instant limité à la Finlande, mais l’Union européenne envisage qu’au moins 80 % des citoyens de ses 27 pays membres utiliseront une identification numérique d’ici 2030.
Le « Digital Travel Credential » (DTC) – qui est cofinancé par l’Union européenne à hauteur de 2,3 millions d’euros (2,5 millions USD) – est un objectif primordial du règlement eIDAS adopté en 2014. L’objectif est de rendre les interactions électroniques entre les entreprises et les particuliers plus sûres, plus rapides et plus efficaces.
En effet, les implications pour les entreprises suite à l’implantation d’un système numérique d’identification sont certainement à considérer. Par exemple, McKinsey (2020) mentionne que l’identification numérique peut faciliter grandement les interactions entre les consommateurs et les entreprises grâce à des avantages qui incluent des processus d’enregistrement et d’authentification rationalisés, des paiements numériques sécurisés et des contrats numériques à haut niveau d’assurance, par exemple par le biais de services notariaux numériques. D’ailleurs, cette technologie serait particulièrement utile pour les secteurs qui collectent des quantités importantes de données clients, comme les services financiers. Elle accélérerait la mise en place de solutions simplifiées fondées sur la connaissance du client.
De même, ce nouveau système d’identification numérique peut rationaliser considérablement les relations entre les gouvernements et le secteur privé dans des domaines tels que l’enregistrement des sociétés, les taxes, le soutien économique, les permis et les autorisations. De plus, les interactions en ligne peuvent représenter des économies non négligeables. Enfin, il fait noter que ce type de systèmes est en mesure de se conformer aux exigences réglementaires, car il offrirait des moyens sécurisés pour lutter contre la fraude par le biais des activités de vérification, par exemple, de l’âge des utilisateurs et de leurs antécédents.
De son côté, la Bill & Melinda Gates Foundation estime que les systèmes d’identification numériques sont un élément essentiel de l’infrastructure publique numérique et une composante clé pour réduire la pauvreté et encourager l’inclusion sociale et économique de la population. Ils font partie des trois piliers de ce que l’on appelle l’infrastructure publique numérique, les autres étant les systèmes de paiement numériques et les systèmes d’échange de données.
En connectant les gens et en facilitant les déplacements d’argent et le partage d’informations, les systèmes d’identification numériques peuvent aider les pays à revenu faible ou intermédiaire à franchir les étapes traditionnelles de développement, à sortir des millions de personnes de la pauvreté et à stimuler la croissance économique.
Forbes nous apprend la mise en place d’un programme pilote qui permettrait de voyager avec un passeport numérique, disponible sur un téléphone intelligent, au lieu d’un passeport physique. Cet essai est pour l’instant limité à la Finlande, mais l’Union européenne envisage qu’au moins 80 % des citoyens de ses 27 pays membres utiliseront une identification numérique d’ici 2030.
Le « Digital Travel Credential » (DTC) – qui est cofinancé par l’Union européenne à hauteur de 2,3 millions d’euros (2,5 millions USD) – est un objectif primordial du règlement eIDAS adopté en 2014. L’objectif est de rendre les interactions électroniques entre les entreprises et les particuliers plus sûres, plus rapides et plus efficaces.
En effet, les implications pour les entreprises suite à l’implantation d’un système numérique d’identification sont certainement à considérer. Par exemple, McKinsey (2020) mentionne que l’identification numérique peut faciliter grandement les interactions entre les consommateurs et les entreprises grâce à des avantages qui incluent des processus d’enregistrement et d’authentification rationalisés, des paiements numériques sécurisés et des contrats numériques à haut niveau d’assurance, par exemple par le biais de services notariaux numériques. D’ailleurs, cette technologie serait particulièrement utile pour les secteurs qui collectent des quantités importantes de données clients, comme les services financiers. Elle accélérerait la mise en place de solutions simplifiées fondées sur la connaissance du client.
De même, ce nouveau système d’identification numérique peut rationaliser considérablement les relations entre les gouvernements et le secteur privé dans des domaines tels que l’enregistrement des sociétés, les taxes, le soutien économique, les permis et les autorisations. De plus, les interactions en ligne peuvent représenter des économies non négligeables. Enfin, il fait noter que ce type de systèmes est en mesure de se conformer aux exigences réglementaires, car il offrirait des moyens sécurisés pour lutter contre la fraude par le biais des activités de vérification, par exemple, de l’âge des utilisateurs et de leurs antécédents.
De son côté, la Bill & Melinda Gates Foundation estime que les systèmes d’identification numériques sont un élément essentiel de l’infrastructure publique numérique et une composante clé pour réduire la pauvreté et encourager l’inclusion sociale et économique de la population. Ils font partie des trois piliers de ce que l’on appelle l’infrastructure publique numérique, les autres étant les systèmes de paiement numériques et les systèmes d’échange de données.
En connectant les gens et en facilitant les déplacements d’argent et le partage d’informations, les systèmes d’identification numériques peuvent aider les pays à revenu faible ou intermédiaire à franchir les étapes traditionnelles de développement, à sortir des millions de personnes de la pauvreté et à stimuler la croissance économique.