Les progrès de la stratégie d’exportation britannique Made in UK, Sold to the World
Selon la Confederation of British industry (CBI), moins de 10 % des entreprises britanniques exportent actuellement, alors que l’exportation offre de nombreuses possibilités aux entreprises pour être compétitives et se développer.
Selon la CBI, les entreprises qui font du commerce international deviennent plus productives, plus innovantes et diversifient leur profil de risque – et l’exportation peut être un moteur de croissance important. Il serait donc impératif pour le Royaume-Uni de mettre en place un environnement propice aux entreprises pour qu’elles puissent saisir les occasions à l’échelle mondiale.
Apparemment, le gouvernement britannique serait en train de réussir à bâtir un tel environnement. Une soumission écrite (2023) du ministère des Affaires et du Commerce du Royaume-Uni signale qu’en 2021, le gouvernement britannique a lancé la stratégie d’exportation Made in UK, Sold to the World avec l’objectif d’aider à accroître les exportations des entreprises pour atteindre 1 000 milliards de livres sterling par an d’ici 2030. Elle propose 12 mesures pragmatiques dans le but d’éliminer les obstacles connus à l’exportation.
Dans le détail, la stratégie fournit un soutien ciblé aux petites et moyennes entreprises (PME). Celui-ci comprend des subventions pour renforcer les capacités d’exportation; l’accès au financement du commerce et l’expansion des réseaux des entreprises pour leur permettre d’accéder à de nouveaux marchés, mais aussi d’apprendre de leurs pairs.
Parmi les progrès soulignés dans la soumission écrite, on peut retenir ce qui suit :
- La création de l’Export Support Service (ESS), afin d’aider les exportateurs britanniques à s’adapter aux nouvelles conditions d’échange avec l’Union européenne (UE). Ce service couvre tous les marchés mondiaux et il a géré plus de 14 300 demandes commerciales.
- La création de la UK Export Academy pour aider les entrepreneurs britanniques à développer les connaissances et l’expertise nécessaires pour s’internationaliser. Jusqu’à présent, celle-ci a reçu plus de 17 000 nouvelles inscriptions d’entreprises britanniques.
- L’ouverture de « pôles commerciaux » dans chacune des neuf régions dirigées par des délégués commerciaux britanniques dans le monde afin de soutenir le réseau d’entreprises à l’étranger.
- L’établissement d’un réseau de près de 400 exportateurs et entrepreneurs chevronnés à travers tout le Royaume-Uni, qui partagent leur expertise pour soutenir et inspirer la prochaine génération d’exportateurs britanniques.
- La participation du UK Export Finance (UKEF), l’agence britannique de crédit à l’exportation, qui aide les entreprises britanniques à obtenir le financement nécessaire pour remporter des contrats d’exportation, exécuter des commandes et être payées pour leurs exportations.
- La réalisation de campagnes qui présentent des produits et services britanniques de pointe, en s’appuyant sur une bibliothèque d’études de cas localisées pour inciter davantage de PME à se lancer dans l’exportation.
Selon la Confederation of British industry (CBI), moins de 10 % des entreprises britanniques exportent actuellement, alors que l’exportation offre de nombreuses possibilités aux entreprises pour être compétitives et se développer.
Selon la CBI, les entreprises qui font du commerce international deviennent plus productives, plus innovantes et diversifient leur profil de risque – et l’exportation peut être un moteur de croissance important. Il serait donc impératif pour le Royaume-Uni de mettre en place un environnement propice aux entreprises pour qu’elles puissent saisir les occasions à l’échelle mondiale.
Apparemment, le gouvernement britannique serait en train de réussir à bâtir un tel environnement. Une soumission écrite (2023) du ministère des Affaires et du Commerce du Royaume-Uni signale qu’en 2021, le gouvernement britannique a lancé la stratégie d’exportation Made in UK, Sold to the World avec l’objectif d’aider à accroître les exportations des entreprises pour atteindre 1 000 milliards de livres sterling par an d’ici 2030. Elle propose 12 mesures pragmatiques dans le but d’éliminer les obstacles connus à l’exportation.
Dans le détail, la stratégie fournit un soutien ciblé aux petites et moyennes entreprises (PME). Celui-ci comprend des subventions pour renforcer les capacités d’exportation; l’accès au financement du commerce et l’expansion des réseaux des entreprises pour leur permettre d’accéder à de nouveaux marchés, mais aussi d’apprendre de leurs pairs.
Parmi les progrès soulignés dans la soumission écrite, on peut retenir ce qui suit :
- La création de l’Export Support Service (ESS), afin d’aider les exportateurs britanniques à s’adapter aux nouvelles conditions d’échange avec l’Union européenne (UE). Ce service couvre tous les marchés mondiaux et il a géré plus de 14 300 demandes commerciales.
- La création de la UK Export Academy pour aider les entrepreneurs britanniques à développer les connaissances et l’expertise nécessaires pour s’internationaliser. Jusqu’à présent, celle-ci a reçu plus de 17 000 nouvelles inscriptions d’entreprises britanniques.
- L’ouverture de « pôles commerciaux » dans chacune des neuf régions dirigées par des délégués commerciaux britanniques dans le monde afin de soutenir le réseau d’entreprises à l’étranger.
- L’établissement d’un réseau de près de 400 exportateurs et entrepreneurs chevronnés à travers tout le Royaume-Uni, qui partagent leur expertise pour soutenir et inspirer la prochaine génération d’exportateurs britanniques.
- La participation du UK Export Finance (UKEF), l’agence britannique de crédit à l’exportation, qui aide les entreprises britanniques à obtenir le financement nécessaire pour remporter des contrats d’exportation, exécuter des commandes et être payées pour leurs exportations.
- La réalisation de campagnes qui présentent des produits et services britanniques de pointe, en s’appuyant sur une bibliothèque d’études de cas localisées pour inciter davantage de PME à se lancer dans l’exportation.