Les programmes de formation des compétences seraient une composante essentielle des stratégies de rétention des travailleurs d’entrepôt
MH&L signale que, selon une récente enquête de Workplace Culture Report, 44 % des employés d’entrepôt resteraient chez leur employeur pendant une décennie supplémentaire s’il leur offrait un plan de carrière plus clair accompagné d’un programme de formation bien conçu. De plus, 73 % des gestionnaires ont déclaré qu’ils seraient prêts à rester dans leur entreprise pendant au moins six ans si celle-ci proposait davantage d’orientation professionnelle et de formation, tandis que 57 % seraient prêts à y rester 10 ans ou plus.
Apparemment, alors que le taux de rotation des travailleurs dans les entrepôts atteignait 49 % en 2022, une stratégie de développement de compétences contribuerait décisivement à retenir les travailleurs de première ligne ainsi que les responsables de la logistique et des entrepôts. Les résultats de cette enquête sont sans ambiguïté : 71 % des travailleurs de première ligne montrent une grande motivation pour acquérir de nouvelles compétences, tandis que pour les gestionnaires, ce pourcentage atteint 86 %.
Chose intéressante, l’enquête met en lumière ce que les travailleurs entreprennent de leur propre chef pour améliorer leurs compétences :
- 38 % lisent de manière proactive des livres et des articles;
- 28 % écoutent des balados et regardent des vidéos éducatives;
- 23 % cherchent à obtenir des certifications pour valider leur expertise;
- 20 % ont participé à des projets parallèles pour améliorer leurs compétences professionnelles;
- 19 % s’inscrivent de manière proactive à des cours en ligne liés à leur carrière;
- 16 % suivent déjà des cours sur l’intelligence artificielle (IA) ou cherchent à obtenir des certifications en cette matière de manière indépendante.
Les gestionnaires, de leur côté, ne sont pas moins actifs dans leur développement professionnel, car selon l’enquête :
- 37 % lisent de manière proactive des livres et des articles;
- 29 % ont participé à des projets parallèles pour perfectionner leurs compétences professionnelles;
- 29 % ont essayé de nouveaux logiciels ou outils technologiques;
- 26 % s’inscrivent de manière proactive à des cours et des ateliers en ligne liés à leur carrière;
- 18 % regardent des conférences TED pour apprendre et s’inspirer.
Selon les responsables de Kahoot! – la plateforme de technologie éducative qui a mené l’enquête –, il est impératif que les entreprises investissent dans l’évolution des carrières de leurs employés de première ligne, qui sont une composante essentielle des opérations de l’industrie. En revanche, négliger les activités d’apprentissage pourrait avoir des conséquences négatives pour la chaîne d’approvisionnement et bien au-delà, pour l’économie au sens large.
Enfin, selon cette enquête, une meilleure orientation professionnelle et une meilleure formation aux employés de première ligne permettraient de rentabiliser le capital investi sur une décennie en raison d’une rotation du personnel plus faible et d’une meilleure rétention. En revanche, l’absence de chances d’avancement pour les employés peut provoquer leur désengagement et accélérer leur départ.
MH&L signale que, selon une récente enquête de Workplace Culture Report, 44 % des employés d’entrepôt resteraient chez leur employeur pendant une décennie supplémentaire s’il leur offrait un plan de carrière plus clair accompagné d’un programme de formation bien conçu. De plus, 73 % des gestionnaires ont déclaré qu’ils seraient prêts à rester dans leur entreprise pendant au moins six ans si celle-ci proposait davantage d’orientation professionnelle et de formation, tandis que 57 % seraient prêts à y rester 10 ans ou plus.
Apparemment, alors que le taux de rotation des travailleurs dans les entrepôts atteignait 49 % en 2022, une stratégie de développement de compétences contribuerait décisivement à retenir les travailleurs de première ligne ainsi que les responsables de la logistique et des entrepôts. Les résultats de cette enquête sont sans ambiguïté : 71 % des travailleurs de première ligne montrent une grande motivation pour acquérir de nouvelles compétences, tandis que pour les gestionnaires, ce pourcentage atteint 86 %.
Chose intéressante, l’enquête met en lumière ce que les travailleurs entreprennent de leur propre chef pour améliorer leurs compétences :
- 38 % lisent de manière proactive des livres et des articles;
- 28 % écoutent des balados et regardent des vidéos éducatives;
- 23 % cherchent à obtenir des certifications pour valider leur expertise;
- 20 % ont participé à des projets parallèles pour améliorer leurs compétences professionnelles;
- 19 % s’inscrivent de manière proactive à des cours en ligne liés à leur carrière;
- 16 % suivent déjà des cours sur l’intelligence artificielle (IA) ou cherchent à obtenir des certifications en cette matière de manière indépendante.
Les gestionnaires, de leur côté, ne sont pas moins actifs dans leur développement professionnel, car selon l’enquête :
- 37 % lisent de manière proactive des livres et des articles;
- 29 % ont participé à des projets parallèles pour perfectionner leurs compétences professionnelles;
- 29 % ont essayé de nouveaux logiciels ou outils technologiques;
- 26 % s’inscrivent de manière proactive à des cours et des ateliers en ligne liés à leur carrière;
- 18 % regardent des conférences TED pour apprendre et s’inspirer.
Selon les responsables de Kahoot! – la plateforme de technologie éducative qui a mené l’enquête –, il est impératif que les entreprises investissent dans l’évolution des carrières de leurs employés de première ligne, qui sont une composante essentielle des opérations de l’industrie. En revanche, négliger les activités d’apprentissage pourrait avoir des conséquences négatives pour la chaîne d’approvisionnement et bien au-delà, pour l’économie au sens large.
Enfin, selon cette enquête, une meilleure orientation professionnelle et une meilleure formation aux employés de première ligne permettraient de rentabiliser le capital investi sur une décennie en raison d’une rotation du personnel plus faible et d’une meilleure rétention. En revanche, l’absence de chances d’avancement pour les employés peut provoquer leur désengagement et accélérer leur départ.