Les progiciels de gestion intégrés pourraient s'avérer un outil pratique pour retracer les émissions de carbone des entreprises
Un article d'IndustryWeek indique que les progiciels de gestion intégrés (PGI) pourraient constituer un outil pratique pour permettre aux entreprises de démarrer le retraçage de leur empreinte carbone. Alors que les organisations adoptent les principes du développement durable en tant qu'initiatives commerciales stratégiques et établissent des objectifs pour atteindre la neutralité carbone d'ici 2050, nombre de fabricants se demandent par où commencer.
Il faudrait d'abord comprendre que, selon l'Agence de protection de l'environnement des États-Unis (EPA), il y aurait 18 facteurs qui composent l'empreinte carbone des entreprises, notamment les achats d'énergie, les matières premières, les fournitures et la logistique. Ainsi, selon IndustryWeek, la première étape du calcul de l'empreinte carbone consiste à identifier les principaux contributeurs. L'empreinte carbone et les dépenses d'achat étant souvent étroitement liées, les principales catégories de dépenses d'achat sont souvent celles qui contribuent le plus à l'empreinte carbone. Selon les experts, un objectif général est de définir, suivre et réduire l'empreinte carbone à partir de 80 % des dépenses liées au carbone.
Puisque dans un environnement de fabrication, les processus de production d'un produit fini comportent une empreinte carbone, le suivi des opérations – c'est-à-dire des matières premières, du temps machine et de la main‑d'œuvre – grâce à un PGI pourrait offrir une piste prometteuse. Qui plus est, les fabricants pourraient réduire considérablement leurs coûts en limitant leurs dépenses en matériaux, en énergie et en main‑d'œuvre, tout en prenant de l'avance dans le respect des nouvelles réglementations gouvernementales visant à réduire les gaz à effet de serre.
Dans le détail, l'article d'IndustryWeek propose aux fabricants de créer des articles d'inventaire carbone dans le fichier correspondant du PGI. Le coût de chaque article devrait représenter l'émission de carbone de cet article par unité de mesure. Ainsi, une livre de plastique peut avoir une empreinte carbone de 2 livres d'équivalent CO2. Le coût moyen aux États-Unis pour un kilowatt d'électricité est de 0,85 livre d'équivalent CO2, et le transport terrestre coûte 0,36 livre de carbone par tonne-mile.
Pour estimer le contenu énergétique d'un article, la façon la plus simple est de prendre le coût énergétique total de l'opération (en équivalent CO2) et de diviser cette empreinte totale par le nombre total d'heures de fonctionnement du centre de travail afin d'obtenir une moyenne d'équivalent CO2 par heure de fonctionnement. L'imputation des coûts énergétiques aux heures de production inclut également les coûts d'éclairage, de chauffage, de climatisation et d'équipements auxiliaires, entre autres.
Une autre méthode consiste à calculer le coût énergétique total de l'opération puis à diviser la valeur moyenne en facteurs d'équivalent CO2 selon l'efficacité du poste de travail. Par exemple, les équipements à forte consommation se voient attribuer 150 % de l'énergie moyenne, tandis que les centres de travail efficaces se voient attribuer 75 %. Cela permettrait de récompenser l'efficacité énergétique des centres de travail.
Un article d'IndustryWeek indique que les progiciels de gestion intégrés (PGI) pourraient constituer un outil pratique pour permettre aux entreprises de démarrer le retraçage de leur empreinte carbone. Alors que les organisations adoptent les principes du développement durable en tant qu'initiatives commerciales stratégiques et établissent des objectifs pour atteindre la neutralité carbone d'ici 2050, nombre de fabricants se demandent par où commencer.
Il faudrait d'abord comprendre que, selon l'Agence de protection de l'environnement des États-Unis (EPA), il y aurait 18 facteurs qui composent l'empreinte carbone des entreprises, notamment les achats d'énergie, les matières premières, les fournitures et la logistique. Ainsi, selon IndustryWeek, la première étape du calcul de l'empreinte carbone consiste à identifier les principaux contributeurs. L'empreinte carbone et les dépenses d'achat étant souvent étroitement liées, les principales catégories de dépenses d'achat sont souvent celles qui contribuent le plus à l'empreinte carbone. Selon les experts, un objectif général est de définir, suivre et réduire l'empreinte carbone à partir de 80 % des dépenses liées au carbone.
Puisque dans un environnement de fabrication, les processus de production d'un produit fini comportent une empreinte carbone, le suivi des opérations – c'est-à-dire des matières premières, du temps machine et de la main‑d'œuvre – grâce à un PGI pourrait offrir une piste prometteuse. Qui plus est, les fabricants pourraient réduire considérablement leurs coûts en limitant leurs dépenses en matériaux, en énergie et en main‑d'œuvre, tout en prenant de l'avance dans le respect des nouvelles réglementations gouvernementales visant à réduire les gaz à effet de serre.
Dans le détail, l'article d'IndustryWeek propose aux fabricants de créer des articles d'inventaire carbone dans le fichier correspondant du PGI. Le coût de chaque article devrait représenter l'émission de carbone de cet article par unité de mesure. Ainsi, une livre de plastique peut avoir une empreinte carbone de 2 livres d'équivalent CO2. Le coût moyen aux États-Unis pour un kilowatt d'électricité est de 0,85 livre d'équivalent CO2, et le transport terrestre coûte 0,36 livre de carbone par tonne-mile.
Pour estimer le contenu énergétique d'un article, la façon la plus simple est de prendre le coût énergétique total de l'opération (en équivalent CO2) et de diviser cette empreinte totale par le nombre total d'heures de fonctionnement du centre de travail afin d'obtenir une moyenne d'équivalent CO2 par heure de fonctionnement. L'imputation des coûts énergétiques aux heures de production inclut également les coûts d'éclairage, de chauffage, de climatisation et d'équipements auxiliaires, entre autres.
Une autre méthode consiste à calculer le coût énergétique total de l'opération puis à diviser la valeur moyenne en facteurs d'équivalent CO2 selon l'efficacité du poste de travail. Par exemple, les équipements à forte consommation se voient attribuer 150 % de l'énergie moyenne, tandis que les centres de travail efficaces se voient attribuer 75 %. Cela permettrait de récompenser l'efficacité énergétique des centres de travail.