Les pôles de compétitivité en France
Selon un article publié par Les Échos, les pôles de compétitivité en France auraient coûté 55 milliards d’euros en 20 ans. L’objectif de la création des pôles était de créer un écosystème de la croissance. Le président de l’Association française des pôles de compétitivité estime qu’ils ont atteint leur maturité et que les écosystèmes créés sont innovants et puissants.
En effet, les pôles de compétitivité regroupent des entreprises de toute taille et des centres de recherche et de formation pour stimuler des collaborations locales ou interrégionales et faire émerger des projets technologiques novateurs.
Du matériel a été acquis, permettant de couvrir tout le territoire et les grands secteurs industriels, ce qui a permis de renforcer la réindustrialisation du pays. Lorsqu’on parle des grands secteurs industriels, il s’agit notamment :
- du nucléaire;
- de l’énergie renouvelable;
- de l’automobile et de l’aéronautique;
- du numérique;
- de l’intelligence artificielle;
- de la santé;
- des cosmétiques.
Les pôles sont considérés comme des catalyseurs de projets de recherche et développement (R-D) et des capteurs de financement public-privé. Une étude menée par Les Échos rapporte que ceux-ci ont rempli leur mission de favoriser l’accès à l’innovation des petites et moyennes entreprises (PME). En effet, on compte :
- 83,2 % de PME dans les pôles;
- 9 % de grandes entreprises;
- 7,8 % d’entreprises de taille intermédiaire (ETI).
Selon l’Institut national de la statistique et des études économiques, une ETI est « une entreprise de taille intermédiaire qui a entre 250 et 4 999 salariés, et soit un chiffre d’affaires n’excédant pas 1,5 milliard d’euros, soit un total de bilan n’excédant pas 2 milliards d’euros ».
Au cours des années, les pôles de compétitivité sont progressivement devenus de puissants catalyseurs de projets collaboratifs de R-D, impliquant les PME dans au moins 50 % et jusqu’à 100 % d’entre eux. Au début, ce sont les grands groupes qui adhéraient aux pôles. Dans la phase 2 (2009-2012) et la phase 3 (2013-2018), on a assisté à une plus grande participation des PME. La phase 5 (lancée au début 2023) regroupe plus de jeunes pousses dans l’écosystème des pôles. Depuis leur création, les pôles de compétitivité ont collectivement accompagné et labellisé 28 035 projets innovants.
Selon un article publié par Les Échos, les pôles de compétitivité en France auraient coûté 55 milliards d’euros en 20 ans. L’objectif de la création des pôles était de créer un écosystème de la croissance. Le président de l’Association française des pôles de compétitivité estime qu’ils ont atteint leur maturité et que les écosystèmes créés sont innovants et puissants.
En effet, les pôles de compétitivité regroupent des entreprises de toute taille et des centres de recherche et de formation pour stimuler des collaborations locales ou interrégionales et faire émerger des projets technologiques novateurs.
Du matériel a été acquis, permettant de couvrir tout le territoire et les grands secteurs industriels, ce qui a permis de renforcer la réindustrialisation du pays. Lorsqu’on parle des grands secteurs industriels, il s’agit notamment :
- du nucléaire;
- de l’énergie renouvelable;
- de l’automobile et de l’aéronautique;
- du numérique;
- de l’intelligence artificielle;
- de la santé;
- des cosmétiques.
Les pôles sont considérés comme des catalyseurs de projets de recherche et développement (R-D) et des capteurs de financement public-privé. Une étude menée par Les Échos rapporte que ceux-ci ont rempli leur mission de favoriser l’accès à l’innovation des petites et moyennes entreprises (PME). En effet, on compte :
- 83,2 % de PME dans les pôles;
- 9 % de grandes entreprises;
- 7,8 % d’entreprises de taille intermédiaire (ETI).
Selon l’Institut national de la statistique et des études économiques, une ETI est « une entreprise de taille intermédiaire qui a entre 250 et 4 999 salariés, et soit un chiffre d’affaires n’excédant pas 1,5 milliard d’euros, soit un total de bilan n’excédant pas 2 milliards d’euros ».
Au cours des années, les pôles de compétitivité sont progressivement devenus de puissants catalyseurs de projets collaboratifs de R-D, impliquant les PME dans au moins 50 % et jusqu’à 100 % d’entre eux. Au début, ce sont les grands groupes qui adhéraient aux pôles. Dans la phase 2 (2009-2012) et la phase 3 (2013-2018), on a assisté à une plus grande participation des PME. La phase 5 (lancée au début 2023) regroupe plus de jeunes pousses dans l’écosystème des pôles. Depuis leur création, les pôles de compétitivité ont collectivement accompagné et labellisé 28 035 projets innovants.