Les plus grands défis pour les PME en 2025
Un article d’opinion publié sur LinkedIn met en relief les cinq principaux défis que les petites et moyennes entreprises (PME) doivent relever pour assurer leur réussite en 2025, à savoir :
- La rétention des talents et le bien-être : Apparemment, les conséquences de ce qu’on appelle la « grande démission » se feraient encore sentir. Cela veut dire que les PME doivent aller au-delà de l’offre de salaires compétitifs pour retenir des travailleurs qui privilégient désormais la flexibilité, le soutien en matière de santé mentale et les environnements de travail axés sur les objectifs. Il est donc prévisible qu’il y ait un accent accru sur le bien-être global et l’évolution professionnelle des employés et la mise en place de plateformes d’évaluation du bien-être pour surveiller et améliorer leur engagement.
- L’adaptation aux technologies émergentes : Les PME devront trouver un équilibre entre, d’un côté, l’adoption impérative de l’IA, de l’automatisation et de l’informatique quantique et, d’un autre, le coût et la complexité de la mise en œuvre. Puisque, selon McKinsey, les entreprises qui exploitent efficacement la technologie ont 2,3 fois plus de chances de surpasser leurs concurrents, les PME devront se concentrer sur des solutions technologiques accessibles qui correspondent aux objectifs de l’entreprise.
- La durabilité et la conformité aux critères ESG : Alors que les PME subissent des pressions de la part de leurs clients pour agir de manière responsable, il est prévisible qu’elles doivent se conformer aux normes environnementales, sociales et de gouvernance (ESG). De plus, cela pourrait faciliter l’établissement de nouveaux partenariats pour les PME qui respectent ces valeurs. La réalisation d’audits carbone, la réduction des déchets et le soutien aux fournisseurs locaux sont des pistes pour s’engager dans la durabilité.
- La résilience financière et l’optimisation des coûts : Étant donné les pressions inflationnaires, les perturbations de la chaîne d’approvisionnement et l’évolution des demandes des consommateurs, les PME sont confrontées à un paysage financier imprévisible. En fait, selon une enquête de Goldman Sachs, 89 % des PME ont connu des difficultés financières après la pandémie, et elles éprouvent encore des difficultés à accéder à un crédit abordable. L’adoption d’outils financiers numériques pour suivre les dépenses et optimiser les budgets pourrait atténuer ces contraintes. De plus, la diversification des sources de revenus et l’exploration d’options de financement alternatives comme le financement participatif ou les solutions offertes par les technologies financières sont des atouts.
- La construction d’une marque fiable : Pour se différencier sur un marché saturé où les clients ont une multitude de choix, les PME doivent proposer une offre de valeur cohérente et de l’authenticité. La recherche montrerait que 81 % des consommateurs doivent faire confiance à une marque avant de faire un achat. Cela met en relief la pertinence d’exploiter les données afin de proposer des expériences client personnalisées qui vont générer des recommandations de bouche à oreille, essentielles à la croissance. L’utilisation des réseaux sociaux et la présentation de témoignages peuvent aider à renforcer la crédibilité.
Un article d’opinion publié sur LinkedIn met en relief les cinq principaux défis que les petites et moyennes entreprises (PME) doivent relever pour assurer leur réussite en 2025, à savoir :
- La rétention des talents et le bien-être : Apparemment, les conséquences de ce qu’on appelle la « grande démission » se feraient encore sentir. Cela veut dire que les PME doivent aller au-delà de l’offre de salaires compétitifs pour retenir des travailleurs qui privilégient désormais la flexibilité, le soutien en matière de santé mentale et les environnements de travail axés sur les objectifs. Il est donc prévisible qu’il y ait un accent accru sur le bien-être global et l’évolution professionnelle des employés et la mise en place de plateformes d’évaluation du bien-être pour surveiller et améliorer leur engagement.
- L’adaptation aux technologies émergentes : Les PME devront trouver un équilibre entre, d’un côté, l’adoption impérative de l’IA, de l’automatisation et de l’informatique quantique et, d’un autre, le coût et la complexité de la mise en œuvre. Puisque, selon McKinsey, les entreprises qui exploitent efficacement la technologie ont 2,3 fois plus de chances de surpasser leurs concurrents, les PME devront se concentrer sur des solutions technologiques accessibles qui correspondent aux objectifs de l’entreprise.
- La durabilité et la conformité aux critères ESG : Alors que les PME subissent des pressions de la part de leurs clients pour agir de manière responsable, il est prévisible qu’elles doivent se conformer aux normes environnementales, sociales et de gouvernance (ESG). De plus, cela pourrait faciliter l’établissement de nouveaux partenariats pour les PME qui respectent ces valeurs. La réalisation d’audits carbone, la réduction des déchets et le soutien aux fournisseurs locaux sont des pistes pour s’engager dans la durabilité.
- La résilience financière et l’optimisation des coûts : Étant donné les pressions inflationnaires, les perturbations de la chaîne d’approvisionnement et l’évolution des demandes des consommateurs, les PME sont confrontées à un paysage financier imprévisible. En fait, selon une enquête de Goldman Sachs, 89 % des PME ont connu des difficultés financières après la pandémie, et elles éprouvent encore des difficultés à accéder à un crédit abordable. L’adoption d’outils financiers numériques pour suivre les dépenses et optimiser les budgets pourrait atténuer ces contraintes. De plus, la diversification des sources de revenus et l’exploration d’options de financement alternatives comme le financement participatif ou les solutions offertes par les technologies financières sont des atouts.
- La construction d’une marque fiable : Pour se différencier sur un marché saturé où les clients ont une multitude de choix, les PME doivent proposer une offre de valeur cohérente et de l’authenticité. La recherche montrerait que 81 % des consommateurs doivent faire confiance à une marque avant de faire un achat. Cela met en relief la pertinence d’exploiter les données afin de proposer des expériences client personnalisées qui vont générer des recommandations de bouche à oreille, essentielles à la croissance. L’utilisation des réseaux sociaux et la présentation de témoignages peuvent aider à renforcer la crédibilité.