Les nouveaux réacteurs avancés aux États-Unis émergent comme un élément crucial dans l’atteinte de la carboneutralité
Un article de CarbonCredits souligne l’appel d’offres de 2,7 milliards de dollars américains lancé par le département de l’Énergie des États-Unis (DOE) dans le but d’encourager l’achat d’uranium faiblement enrichi auprès de sources américaines. L’objectif est de renforcer la capacité nationale d’enrichissement de l’uranium de manière sûre et responsable. Les propositions sont attendues d’ici le 26 août 2024 et les contrats issus de cette initiative dureront jusqu’à 10 ans.
L’article précise que le 13 mai de cette année, le président Biden a signé une loi interdisant les importations d’uranium russe dans le but de réduire la dépendance des États-Unis à l’égard de la Russie en matière d’énergie nucléaire. Bref, le gouvernement américain serait engagé dans la croissance du nucléaire à long terme, mais cette croissance devra être assurée par un approvisionnement fiable en combustible nucléaire commercial.
Aux dires de la secrétaire américaine à l’Énergie, Jennifer Granholm, la relance de la capacité d’enrichissement de l’uranium est essentielle pour le renforcement de la sécurité nationale et l’expansion de l’industrie nucléaire des États-Unis. D’ailleurs, il est à noter qu’en décembre dernier, les États-Unis, le Canada, la France, le Japon et le Royaume-Uni ont promis 4,2 milliards de dollars pour accroître la capacité d’enrichissement et de conversion de l’uranium.
En lien avec ces développements, on note le rôle de la durabilité dans l’essor des réacteurs nucléaires avancés aux États-Unis, dans le sillage du rapport Pathways to Advanced Nuclear Commercial Liftoff du DOE, qui vise à faire progresser les technologies pour atteindre la carboneutralité d’ici 2050. Un élément crucial est le programme de démonstration de réacteurs avancés du DOE, qui vise à accélérer cette étape grâce à des partenariats à coûts partagés avec l’industrie américaine.
Ainsi donc, l’Office of Clean Energy Demonstrations – qui a été créé en décembre 2021 pour aider à développer les technologies émergentes nécessaires pour atteindre la carboneutralité d’ici 2050 – a accordé son soutien à deux technologies de réacteur avancées : la TerraPower Natrium et les réacteurs X-energy Xe-100. L’article note que la place de l’énergie nucléaire, qui est déjà la plus grande source d’énergie propre des États-Unis, pourrait encore augmenter. En effet, selon le DOE, la capacité nucléaire nationale des États-Unis pourrait passer d’environ 100 GW en 2023 à environ 300 GW d’ici 2050, grâce au déploiement de technologies nucléaires avancées.
Ces technologies nucléaires innovantes devraient offrir une production d’électricité flexible, notamment pour des applications industrielles comme le dessalement et la production d’hydrogène. De plus, on dit que ces réacteurs nucléaires avancés fourniraient de l’énergie dans le respect des principes du développement durable, car ils ne produisent presque aucun GES, peuvent utiliser efficacement le carburant et sont sécuritaires. Enfin, ces innovations contribueraient à améliorer considérablement la sécurité et les performances des réacteurs existants. Bref, les nouvelles technologies faciliteront l’accès à l’énergie propre et créeront de nouvelles occasions d’affaires.
Un article de CarbonCredits souligne l’appel d’offres de 2,7 milliards de dollars américains lancé par le département de l’Énergie des États-Unis (DOE) dans le but d’encourager l’achat d’uranium faiblement enrichi auprès de sources américaines. L’objectif est de renforcer la capacité nationale d’enrichissement de l’uranium de manière sûre et responsable. Les propositions sont attendues d’ici le 26 août 2024 et les contrats issus de cette initiative dureront jusqu’à 10 ans.
L’article précise que le 13 mai de cette année, le président Biden a signé une loi interdisant les importations d’uranium russe dans le but de réduire la dépendance des États-Unis à l’égard de la Russie en matière d’énergie nucléaire. Bref, le gouvernement américain serait engagé dans la croissance du nucléaire à long terme, mais cette croissance devra être assurée par un approvisionnement fiable en combustible nucléaire commercial.
Aux dires de la secrétaire américaine à l’Énergie, Jennifer Granholm, la relance de la capacité d’enrichissement de l’uranium est essentielle pour le renforcement de la sécurité nationale et l’expansion de l’industrie nucléaire des États-Unis. D’ailleurs, il est à noter qu’en décembre dernier, les États-Unis, le Canada, la France, le Japon et le Royaume-Uni ont promis 4,2 milliards de dollars pour accroître la capacité d’enrichissement et de conversion de l’uranium.
En lien avec ces développements, on note le rôle de la durabilité dans l’essor des réacteurs nucléaires avancés aux États-Unis, dans le sillage du rapport Pathways to Advanced Nuclear Commercial Liftoff du DOE, qui vise à faire progresser les technologies pour atteindre la carboneutralité d’ici 2050. Un élément crucial est le programme de démonstration de réacteurs avancés du DOE, qui vise à accélérer cette étape grâce à des partenariats à coûts partagés avec l’industrie américaine.
Ainsi donc, l’Office of Clean Energy Demonstrations – qui a été créé en décembre 2021 pour aider à développer les technologies émergentes nécessaires pour atteindre la carboneutralité d’ici 2050 – a accordé son soutien à deux technologies de réacteur avancées : la TerraPower Natrium et les réacteurs X-energy Xe-100. L’article note que la place de l’énergie nucléaire, qui est déjà la plus grande source d’énergie propre des États-Unis, pourrait encore augmenter. En effet, selon le DOE, la capacité nucléaire nationale des États-Unis pourrait passer d’environ 100 GW en 2023 à environ 300 GW d’ici 2050, grâce au déploiement de technologies nucléaires avancées.
Ces technologies nucléaires innovantes devraient offrir une production d’électricité flexible, notamment pour des applications industrielles comme le dessalement et la production d’hydrogène. De plus, on dit que ces réacteurs nucléaires avancés fourniraient de l’énergie dans le respect des principes du développement durable, car ils ne produisent presque aucun GES, peuvent utiliser efficacement le carburant et sont sécuritaires. Enfin, ces innovations contribueraient à améliorer considérablement la sécurité et les performances des réacteurs existants. Bref, les nouvelles technologies faciliteront l’accès à l’énergie propre et créeront de nouvelles occasions d’affaires.