Un article (mars 2024) créé par la communauté LinkedIn cible les moteurs des tendances mondiales en matière de commerce et d’investissement, à savoir :

1. Les technologies et l’innovation : 
   Les percées des technologies disruptives – comme l’Internet, les appareils mobiles, l’infonuagique et l’intelligence artificielle – permettent un échange transfrontalier d’informations, de biens et de services plus rapide, moins coûteux et plus fiable. Ces technologies créent également de nouvelles occasions de différenciation des produits, de segmentation du marché et de création de valeur, ainsi que de nouveaux défis en matière de réglementation, de concurrence et de sécurité.
2. La libéralisation et l’intégration des marchés :
   Le processus de réduction ou d’élimination des obstacles au commerce et à l’investissement – tels que les droits de douane, les contingents, les subventions, les règlements et les restrictions – peut accroître l’efficacité, la diversité et la compétitivité des marchés, ainsi que favoriser la coopération et la coordination entre les pays. Il est possible d’y parvenir par le biais d’accords bilatéraux ou multilatéraux, tels que les accords de libre-échange, les unions douanières ou les blocs économiques régionaux.
3. Le développement économique et la croissance : 
   L’augmentation du revenu, de la production et du niveau de vie des pays, des régions ou des groupes peut influer sur la demande et l’offre de biens et de services, ainsi que sur la disponibilité et le coût des ressources, telles que la main-d’œuvre, le capital et les ressources naturelles. Les effets sont également perceptibles sur les préférences, les valeurs et les comportements des consommateurs, des producteurs et des investisseurs, ainsi que sur les politiques et les institutions.
4. La culture et la diversité : 
   La variété des croyances, des normes, des valeurs, des langues, des religions et des coutumes peut influer sur les goûts, les préférences et les attentes des clients, ainsi que sur les stratégies, les pratiques et l’éthique des entreprises. Il y aurait également de nouvelles possibilités d’apprentissage, d’innovation et d’adaptation, ainsi que des défis pour la communication, la négociation et la résolution de conflits.
5. La durabilité et la responsabilité : 
   L’engagement des entreprises, des gouvernements et des sociétés à prendre en considération les répercussions économiques, sociales et environnementales de leurs activités peut influer sur la demande et l’offre de biens et de services, ainsi que sur la réputation et le rendement des entreprises. Cet engagement peut créer des incitations à l’innovation, à la collaboration et à la réglementation, ainsi que des pressions en faveur de la responsabilisation, de la transparence et de la conformité.
6. L’incertitude et les risques : 
   Les catastrophes naturelles, l’instabilité politique, les crises économiques, les conflits sociaux ou les perturbations technologiques peuvent affecter la confiance, les attentes et les comportements des entreprises, des gouvernements et des sociétés, ainsi que les occasions favorables et les défis pour le commerce et l’investissement.