Les marchés du carbone joueraient un rôle essentiel dans les efforts d’atténuation du changement climatique
CarbonCredits signale qu’environ 23 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre sont désormais soumises à des mécanismes de tarification du carbone. Selon un rapport du Carbon Market Institute (CMI), il existe actuellement 73 mécanismes nationaux et infranationaux de tarification du carbone qui auraient permis de récolter collectivement 100 milliards de dollars en 2022. Pour la même année, le marché volontaire du carbone a été évalué à 1,87 milliard de dollars.
Selon Janet Hallows, une experte du CMI, ce rapport montre le rôle que jouent les marchés du carbone dans la mobilisation des investissements vers des projets de réduction des émissions. En effet, les efforts d’atténuation du changement climatique mettent en relief la nécessité de financer la transition vers une économie à faibles émissions de carbone. Au cœur de ces marchés se trouve le principe de la tarification du carbone, visant à inciter les entités à atténuer leur empreinte carbone.
CarbonCredits signale que malgré les engagements actuels des gouvernements, le rapport du CMI prévoit une augmentation de la température qui devrait osciller entre 2,1 °C et 2,8 °C. Pour Janet Hallows, les marchés du carbone pourraient contribuer à limiter la hausse des températures à 1,5 °C. Cela dit, ces efforts devraient être accompagnés de mesures d’intégrité plus serrées et d’une coopération internationale renforcée.
Des propos semblables ont été émis, selon CarbonCredits, par le secrétaire général de l’ONU sur le changement climatique, Simon Stiell, qui a souligné le besoin que les pays responsables de 80 % des émissions s’engagent dans des initiatives ambitieuses afin de réussir une hausse des températures de seulement 1,5 °C.
De plus, Stiell aurait plaidé pour l’établissement d’un prix mondial du carbone équitable afin de stimuler les investissements dans les énergies renouvelables et de favoriser l’innovation. Même son de cloche de la part de Janet Hallows du CMI, qui souligne l’urgence de finaliser les règles du marché international du carbone lors de la COP29 de l’ONU, qui sera tenue en novembre de cette année.
Les règles d’un système de marché mondial centralisé, qui ont été énoncées dans l’Accord de Paris, sont considérées comme cruciales pour permettre aux pays de renforcer efficacement leurs engagements climatiques. Pour Janet Hallows, la définition de ces règles permettrait de libérer tout le potentiel de ce qu’on appelle les « crédits carbone à haute intégrité » – c’est-à-dire un crédit carbone de haute qualité qui représente un changement réel de la concentration atmosphérique de CO2 à long terme – et accélérer les efforts mondiaux de décarbonisation.
CarbonCredits signale qu’environ 23 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre sont désormais soumises à des mécanismes de tarification du carbone. Selon un rapport du Carbon Market Institute (CMI), il existe actuellement 73 mécanismes nationaux et infranationaux de tarification du carbone qui auraient permis de récolter collectivement 100 milliards de dollars en 2022. Pour la même année, le marché volontaire du carbone a été évalué à 1,87 milliard de dollars.
Selon Janet Hallows, une experte du CMI, ce rapport montre le rôle que jouent les marchés du carbone dans la mobilisation des investissements vers des projets de réduction des émissions. En effet, les efforts d’atténuation du changement climatique mettent en relief la nécessité de financer la transition vers une économie à faibles émissions de carbone. Au cœur de ces marchés se trouve le principe de la tarification du carbone, visant à inciter les entités à atténuer leur empreinte carbone.
CarbonCredits signale que malgré les engagements actuels des gouvernements, le rapport du CMI prévoit une augmentation de la température qui devrait osciller entre 2,1 °C et 2,8 °C. Pour Janet Hallows, les marchés du carbone pourraient contribuer à limiter la hausse des températures à 1,5 °C. Cela dit, ces efforts devraient être accompagnés de mesures d’intégrité plus serrées et d’une coopération internationale renforcée.
Des propos semblables ont été émis, selon CarbonCredits, par le secrétaire général de l’ONU sur le changement climatique, Simon Stiell, qui a souligné le besoin que les pays responsables de 80 % des émissions s’engagent dans des initiatives ambitieuses afin de réussir une hausse des températures de seulement 1,5 °C.
De plus, Stiell aurait plaidé pour l’établissement d’un prix mondial du carbone équitable afin de stimuler les investissements dans les énergies renouvelables et de favoriser l’innovation. Même son de cloche de la part de Janet Hallows du CMI, qui souligne l’urgence de finaliser les règles du marché international du carbone lors de la COP29 de l’ONU, qui sera tenue en novembre de cette année.
Les règles d’un système de marché mondial centralisé, qui ont été énoncées dans l’Accord de Paris, sont considérées comme cruciales pour permettre aux pays de renforcer efficacement leurs engagements climatiques. Pour Janet Hallows, la définition de ces règles permettrait de libérer tout le potentiel de ce qu’on appelle les « crédits carbone à haute intégrité » – c’est-à-dire un crédit carbone de haute qualité qui représente un changement réel de la concentration atmosphérique de CO2 à long terme – et accélérer les efforts mondiaux de décarbonisation.