Les laboratoires de cotravail offriraient des avantages multiples aux jeunes pousses en biotechnologie
Nature commente l’interaction positive entre les laboratoires de cotravail (coworking) et les jeunes pousses agissant dans le secteur de la biotechnologie. Apparemment, ces laboratoires offrent une plateforme de lancement exceptionnelle ainsi que des possibilités de réseautage avec une multiplicité de mentors de l’industrie.
Ce style de travail partagé aurait commencé il y a quelques années, lorsque des petites entreprises en biotechnologie ont demandé à de grands laboratoires si elles pouvaient leur louer un espace. L’émergence de ce besoin d’affaires a propulsé la création d’entreprises de location d’espaces partagés, comme BioLabs, qui a été lancée en 2009 à Cambridge.
Concrètement, ces laboratoires correspondent à des espaces en location avec des équipements et des fournitures partagés, ce qui permet aux jeunes pousses de faire des économies massives en temps et en argent. En effet, monter un laboratoire peut coûter des millions de dollars et prendre un temps précieux.
Les investisseurs signalent que les jeunes entreprises en biotechnologie ont du mal à trouver des infrastructures de grande qualité. Certes, les universités leur offrent un soutien précieux, mais cela devient souvent encombrant lorsque les entreprises atteignent une certaine taille. Nature note que par leur aide au démarrage des entreprises, les laboratoires de cotravail présentent certaines similitudes avec les incubateurs gérés par les universités. Cependant, les laboratoires donnent accès à une communauté d’innovation plus large, ce qui est un facteur de réussite crucial.
En effet, les jeunes pousses peuvent trouver dans ces laboratoires une communauté d’innovateurs et de mentors expérimentés qui peuvent faciliter la transition vers la commercialisation. Cela représente un atout de taille, car les jeunes pousses peuvent développer des compétences en affaires de grande qualité. Nature note que, étant donné les contraintes actuelles sur le financement du capital-risque en biotechnologie, l’accès à ces laboratoires pourrait représenter pour une jeune pousse la différence entre le succès et l’échec en affaires.
Un exemple intéressant est celui de Fitzsimons Innovation Community (FIC), un espace de travail collaboratif situé sur le campus médical Anschutz de l’Université du Colorado, près de Denver, qui abrite plus de 80 organisations de différentes tailles. Apparemment, cette approche permettrait aux jeunes pousses de prendre des décisions stratégiques plus rapidement afin qu’elles n’aient pas à dépenser autant de capital. Puisque les entreprises collaborent pour partager des équipements, elles ne subissent pas de ralentissement à cause d’un manque d’accès. De plus, il semblerait que ces entreprises partagent souvent des occasions d’emploi et d’affaires.
Au vu du succès de ces laboratoires, certaines grandes entreprises ont créé leurs propres espaces de travail partagé au sein ou à proximité de leurs installations de recherche et développement (R et D). C’est le cas, par exemple, de la société pharmaceutique japonaise Eisai, qui a mis en place des laboratoires de neurosciences collaboratifs sur son site de R et D à Cambridge, en partenariat avec l’entreprise BioLabs.
Nature commente l’interaction positive entre les laboratoires de cotravail (coworking) et les jeunes pousses agissant dans le secteur de la biotechnologie. Apparemment, ces laboratoires offrent une plateforme de lancement exceptionnelle ainsi que des possibilités de réseautage avec une multiplicité de mentors de l’industrie.
Ce style de travail partagé aurait commencé il y a quelques années, lorsque des petites entreprises en biotechnologie ont demandé à de grands laboratoires si elles pouvaient leur louer un espace. L’émergence de ce besoin d’affaires a propulsé la création d’entreprises de location d’espaces partagés, comme BioLabs, qui a été lancée en 2009 à Cambridge.
Concrètement, ces laboratoires correspondent à des espaces en location avec des équipements et des fournitures partagés, ce qui permet aux jeunes pousses de faire des économies massives en temps et en argent. En effet, monter un laboratoire peut coûter des millions de dollars et prendre un temps précieux.
Les investisseurs signalent que les jeunes entreprises en biotechnologie ont du mal à trouver des infrastructures de grande qualité. Certes, les universités leur offrent un soutien précieux, mais cela devient souvent encombrant lorsque les entreprises atteignent une certaine taille. Nature note que par leur aide au démarrage des entreprises, les laboratoires de cotravail présentent certaines similitudes avec les incubateurs gérés par les universités. Cependant, les laboratoires donnent accès à une communauté d’innovation plus large, ce qui est un facteur de réussite crucial.
En effet, les jeunes pousses peuvent trouver dans ces laboratoires une communauté d’innovateurs et de mentors expérimentés qui peuvent faciliter la transition vers la commercialisation. Cela représente un atout de taille, car les jeunes pousses peuvent développer des compétences en affaires de grande qualité. Nature note que, étant donné les contraintes actuelles sur le financement du capital-risque en biotechnologie, l’accès à ces laboratoires pourrait représenter pour une jeune pousse la différence entre le succès et l’échec en affaires.
Un exemple intéressant est celui de Fitzsimons Innovation Community (FIC), un espace de travail collaboratif situé sur le campus médical Anschutz de l’Université du Colorado, près de Denver, qui abrite plus de 80 organisations de différentes tailles. Apparemment, cette approche permettrait aux jeunes pousses de prendre des décisions stratégiques plus rapidement afin qu’elles n’aient pas à dépenser autant de capital. Puisque les entreprises collaborent pour partager des équipements, elles ne subissent pas de ralentissement à cause d’un manque d’accès. De plus, il semblerait que ces entreprises partagent souvent des occasions d’emploi et d’affaires.
Au vu du succès de ces laboratoires, certaines grandes entreprises ont créé leurs propres espaces de travail partagé au sein ou à proximité de leurs installations de recherche et développement (R et D). C’est le cas, par exemple, de la société pharmaceutique japonaise Eisai, qui a mis en place des laboratoires de neurosciences collaboratifs sur son site de R et D à Cambridge, en partenariat avec l’entreprise BioLabs.