Les jeunes pousses israéliennes cherchent à déménager suite à la réforme judiciaire, selon une enquête
Près de 70 % des entreprises en démarrage israéliennes ont pris des mesures pour se délocaliser partiellement hors d'Israël, selon l'enquête de Start-Up Nation Central, une organisation à but non lucratif israélienne, sur la réforme judiciaire prévue par le gouvernement. Les groupes d'entreprises ont également cité les changements proposés pour expliquer la baisse de 70 % des collectes de fonds technologiques au premier semestre.
Une dépêche de l'agence Reuters explique que le secteur technologique israélien est un levier de croissance, représentant 15 % de la production économique, 10 % des emplois, plus de 50 % des exportations et 25 % des recettes fiscales. Mais les investisseurs institutionnels n'ont pas joué un grand rôle dans son succès, la plupart des investissements provenant de fonds de capital-risque.
L'enquête, réalisée par des professionnels représentant 521 entreprises, indique que 68 % des jeunes pousses israéliennes « ont commencé à prendre des mesures juridiques et financières actives, comme le retrait de réserves de trésorerie, le déménagement de leur siège social hors d'Israël, la relocalisation d'employés et des licenciements ». De plus, 22 % des entreprises ont déclaré avoir des réserves de liquidités diversifiées hors d'Israël, et 37 % des investisseurs affirment que les entreprises de leurs portefeuilles ont retiré une partie de leurs réserves de liquidités et les ont transférées à l'étranger.
Selon le PDG de Start-Up Nation Central, Avi Hasson, « Les tendances telles que l'enregistrement d'une entreprise à l'étranger ou le lancement de nouvelles entreprises hors d'Israël seront difficiles à inverser ».
Près de 70 % des entreprises en démarrage israéliennes ont pris des mesures pour se délocaliser partiellement hors d'Israël, selon l'enquête de Start-Up Nation Central, une organisation à but non lucratif israélienne, sur la réforme judiciaire prévue par le gouvernement. Les groupes d'entreprises ont également cité les changements proposés pour expliquer la baisse de 70 % des collectes de fonds technologiques au premier semestre.
Une dépêche de l'agence Reuters explique que le secteur technologique israélien est un levier de croissance, représentant 15 % de la production économique, 10 % des emplois, plus de 50 % des exportations et 25 % des recettes fiscales. Mais les investisseurs institutionnels n'ont pas joué un grand rôle dans son succès, la plupart des investissements provenant de fonds de capital-risque.
L'enquête, réalisée par des professionnels représentant 521 entreprises, indique que 68 % des jeunes pousses israéliennes « ont commencé à prendre des mesures juridiques et financières actives, comme le retrait de réserves de trésorerie, le déménagement de leur siège social hors d'Israël, la relocalisation d'employés et des licenciements ». De plus, 22 % des entreprises ont déclaré avoir des réserves de liquidités diversifiées hors d'Israël, et 37 % des investisseurs affirment que les entreprises de leurs portefeuilles ont retiré une partie de leurs réserves de liquidités et les ont transférées à l'étranger.
Selon le PDG de Start-Up Nation Central, Avi Hasson, « Les tendances telles que l'enregistrement d'une entreprise à l'étranger ou le lancement de nouvelles entreprises hors d'Israël seront difficiles à inverser ».