Les grandes tendances en matière de risques que les entreprises devront gérer en 2024
Hylant, une société de courtage d’assurance privée aux États-Unis, estime qu’il y a cinq grandes tendances que les entreprises, tout particulièrement les assureurs, auraient intérêt à regarder de près en 2024 afin de développer des stratégies de gestion de risques efficaces :
- Les conditions météorologiques extrêmes
Les catastrophes naturelles représentent un défi de taille pour les compagnies d’assurance. Elles mettent à rude épreuve leurs ressources financières et leur rentabilité, car les risques environnementaux sont jugés trop élevés et les pertes, trop sévères. De plus, les assureurs doivent être à l’affût des nouvelles réglementations et des exigences que les États mettent en œuvre pour couvrir les risques d’événements environnementaux. La conformité devient donc très coûteuse, ce qui a pour conséquence l’augmentation des tarifs – une situation qui s’est vérifiée en 2023. - La justice environnementale
Le public est aujourd’hui plus sensibilisé aux menaces environnementales pouvant avoir des conséquences catastrophiques sur la qualité de vie. Cela est perceptible dans la mobilisation accrue des communautés, qui ne tolèrent plus les accidents et les événements qui mettent en danger leur santé, la valeur de leurs biens immobiliers et leurs entreprises. Les entreprises doivent donc identifier leurs vulnérabilités opérationnelles et discuter de la manière de combler les lacunes créées par les exclusions en matière de pollution dans les polices d’assurance responsabilité civile commerciale et d’assurance des biens. - Les politiques de retour au travail
Selon une enquête de Resume Builder, 90 % des entreprises prévoyaient de mettre en œuvre des politiques de retour au travail d’ici 2024. Cependant, 80 % des gestionnaires qui ont fait ce choix déclarent le regretter, selon une étude de l’entreprise de logiciels Envoy (2023). Apparemment, ils auraient agi autrement s’ils avaient mieux compris la dynamique comportementale des employés. De plus, les politiques de retour au bureau pourraient générer des problèmes d’attraction et de rétention, car des employés talentueux choisiraient les entreprises qui leur offrent des postes très flexibles. - La cybersécurité
Une étude d’IBM signale que 95 % des organisations étudiées ont subi une intrusion dans leurs données. De plus, le coût moyen de ces agressions sur les données dans le monde a augmenté de 15 % au cours des trois dernières années. Les secteurs les plus exposés aux attaques en 2023 ont été la finance et les assurances, la santé, la construction, le gouvernement, l’éducation, ainsi que l’énergie et les services publics. Les petites entreprises peuvent être plus vulnérables aux cyberattaques, car elles ne disposent pas des ressources, des protocoles ou des systèmes nécessaires pour se protéger. - La volatilité de l’économie
Dans un environnement d’affaires dominé par des taux d’intérêt plus élevés, des normes de prêt plus strictes, la pression de l’inflation et le risque de récession, le nombre d’opérations de fusion et d’acquisition a considérablement diminué en 2023 par rapport aux deux années précédentes. L’ajout d’un gestionnaire des risques d’assurance à l’équipe chargée des transactions peut aider l’entreprise à éviter les mauvaises surprises et à améliorer les rendements.
Hylant, une société de courtage d’assurance privée aux États-Unis, estime qu’il y a cinq grandes tendances que les entreprises, tout particulièrement les assureurs, auraient intérêt à regarder de près en 2024 afin de développer des stratégies de gestion de risques efficaces :
- Les conditions météorologiques extrêmes
Les catastrophes naturelles représentent un défi de taille pour les compagnies d’assurance. Elles mettent à rude épreuve leurs ressources financières et leur rentabilité, car les risques environnementaux sont jugés trop élevés et les pertes, trop sévères. De plus, les assureurs doivent être à l’affût des nouvelles réglementations et des exigences que les États mettent en œuvre pour couvrir les risques d’événements environnementaux. La conformité devient donc très coûteuse, ce qui a pour conséquence l’augmentation des tarifs – une situation qui s’est vérifiée en 2023. - La justice environnementale
Le public est aujourd’hui plus sensibilisé aux menaces environnementales pouvant avoir des conséquences catastrophiques sur la qualité de vie. Cela est perceptible dans la mobilisation accrue des communautés, qui ne tolèrent plus les accidents et les événements qui mettent en danger leur santé, la valeur de leurs biens immobiliers et leurs entreprises. Les entreprises doivent donc identifier leurs vulnérabilités opérationnelles et discuter de la manière de combler les lacunes créées par les exclusions en matière de pollution dans les polices d’assurance responsabilité civile commerciale et d’assurance des biens. - Les politiques de retour au travail
Selon une enquête de Resume Builder, 90 % des entreprises prévoyaient de mettre en œuvre des politiques de retour au travail d’ici 2024. Cependant, 80 % des gestionnaires qui ont fait ce choix déclarent le regretter, selon une étude de l’entreprise de logiciels Envoy (2023). Apparemment, ils auraient agi autrement s’ils avaient mieux compris la dynamique comportementale des employés. De plus, les politiques de retour au bureau pourraient générer des problèmes d’attraction et de rétention, car des employés talentueux choisiraient les entreprises qui leur offrent des postes très flexibles. - La cybersécurité
Une étude d’IBM signale que 95 % des organisations étudiées ont subi une intrusion dans leurs données. De plus, le coût moyen de ces agressions sur les données dans le monde a augmenté de 15 % au cours des trois dernières années. Les secteurs les plus exposés aux attaques en 2023 ont été la finance et les assurances, la santé, la construction, le gouvernement, l’éducation, ainsi que l’énergie et les services publics. Les petites entreprises peuvent être plus vulnérables aux cyberattaques, car elles ne disposent pas des ressources, des protocoles ou des systèmes nécessaires pour se protéger. - La volatilité de l’économie
Dans un environnement d’affaires dominé par des taux d’intérêt plus élevés, des normes de prêt plus strictes, la pression de l’inflation et le risque de récession, le nombre d’opérations de fusion et d’acquisition a considérablement diminué en 2023 par rapport aux deux années précédentes. L’ajout d’un gestionnaire des risques d’assurance à l’équipe chargée des transactions peut aider l’entreprise à éviter les mauvaises surprises et à améliorer les rendements.