Les gouvernements font face au dur défi d’attirer et de retenir les meilleurs talents technologiques pour accomplir leur transformation numérique
MarshMcLennan et Brink soulignent les conclusions d’un rapport de la Banque mondiale (Tech Savvy) qui met en relief le défi, pour les gouvernements, de s’approvisionner en meilleures compétences numériques. La très célèbre approche de transformation numérique pangouvernementale (whole-of-government) nécessite, en effet, des compétences étoffées et un environnement propice pour réussir la conception de services numériques efficaces, sécuritaires et centrés sur l’utilisateur.
De plus, des compétences en leadership sont nécessaires pour mettre en place une approche coordonnée ainsi qu’une culture organisationnelle capable de promouvoir les valeurs qui combleront l’écart d’empathie qui serait perceptible entre les fournisseurs de services publics et les utilisateurs. Apparemment, ce sont les valeurs qui encourageront une plus grande confiance, et puis l’adoption de la part du public.
Dans le détail, MarshMcLennan et Brink proposent trois domaines d’intérêt qui offriraient aux projets numériques gouvernementaux la chance de renforcer les capacités et les compétences internes qui sont incontournables pour la transformation numérique.
- Apparemment, les pratiques d’embauche désuètes empêchent le gouvernement de concurrencer efficacement le secteur privé dans ses efforts pour attirer les meilleurs talents technologiques. Le fossé numérique grandissant avec le secteur privé et la pénurie d’informaticiens pourraient entraver la capacité du secteur public à fournir des services efficacement, à contrôler l’évolution de l’économie numérique et à protéger les infrastructures critiques des cyberattaques. Il s’avère donc pertinent de repenser les modèles de dotation en personnel en augmentant l’agilité et la flexibilité pour que les gouvernements puissent dénicher des talents dans un bassin bien plus étendu.
- Les gouvernements devraient avoir un rôle proactif dans la création d’un réservoir de compétences au vu de la pénurie chronique de talents numériques et du vieillissement de la main-d’œuvre du secteur public. Il s’avère pertinent, dit-on, de faire des efforts à grande échelle pour former les fonctionnaires et pour constituer un vivier de talents des futures générations de fonctionnaires aptes à l’ère numérique. Mentionnons à ce sujet la Government Digital Service Academy du Royaume-Uni, qui, entre 2014 et 2019, a formé 10 000 fonctionnaires et employés des administrations locales.
- Il faut relever le défi de retenir les talents dans le secteur public afin d’éviter les conséquences négatives associées à un roulement trop élevé de personnel, notamment les coûts en matière de recrutement, de formation et de perte de productivité. Il s’agirait d’un véritable enjeu, si l’on considère les résultats d’une enquête réalisée en 2015 par le National Audit Service du Royaume-Uni, qui a révélé que la plupart des spécialistes technologiques restaient en poste moins de deux ans.
MarshMcLennan et Brink soulignent les conclusions d’un rapport de la Banque mondiale (Tech Savvy) qui met en relief le défi, pour les gouvernements, de s’approvisionner en meilleures compétences numériques. La très célèbre approche de transformation numérique pangouvernementale (whole-of-government) nécessite, en effet, des compétences étoffées et un environnement propice pour réussir la conception de services numériques efficaces, sécuritaires et centrés sur l’utilisateur.
De plus, des compétences en leadership sont nécessaires pour mettre en place une approche coordonnée ainsi qu’une culture organisationnelle capable de promouvoir les valeurs qui combleront l’écart d’empathie qui serait perceptible entre les fournisseurs de services publics et les utilisateurs. Apparemment, ce sont les valeurs qui encourageront une plus grande confiance, et puis l’adoption de la part du public.
Dans le détail, MarshMcLennan et Brink proposent trois domaines d’intérêt qui offriraient aux projets numériques gouvernementaux la chance de renforcer les capacités et les compétences internes qui sont incontournables pour la transformation numérique.
- Apparemment, les pratiques d’embauche désuètes empêchent le gouvernement de concurrencer efficacement le secteur privé dans ses efforts pour attirer les meilleurs talents technologiques. Le fossé numérique grandissant avec le secteur privé et la pénurie d’informaticiens pourraient entraver la capacité du secteur public à fournir des services efficacement, à contrôler l’évolution de l’économie numérique et à protéger les infrastructures critiques des cyberattaques. Il s’avère donc pertinent de repenser les modèles de dotation en personnel en augmentant l’agilité et la flexibilité pour que les gouvernements puissent dénicher des talents dans un bassin bien plus étendu.
- Les gouvernements devraient avoir un rôle proactif dans la création d’un réservoir de compétences au vu de la pénurie chronique de talents numériques et du vieillissement de la main-d’œuvre du secteur public. Il s’avère pertinent, dit-on, de faire des efforts à grande échelle pour former les fonctionnaires et pour constituer un vivier de talents des futures générations de fonctionnaires aptes à l’ère numérique. Mentionnons à ce sujet la Government Digital Service Academy du Royaume-Uni, qui, entre 2014 et 2019, a formé 10 000 fonctionnaires et employés des administrations locales.
- Il faut relever le défi de retenir les talents dans le secteur public afin d’éviter les conséquences négatives associées à un roulement trop élevé de personnel, notamment les coûts en matière de recrutement, de formation et de perte de productivité. Il s’agirait d’un véritable enjeu, si l’on considère les résultats d’une enquête réalisée en 2015 par le National Audit Service du Royaume-Uni, qui a révélé que la plupart des spécialistes technologiques restaient en poste moins de deux ans.