Les États-Unis annoncent la création de sept grands pôles territoriaux pour encourager la production d’hydrogène vert
Forbes signale que les États-Unis encourageront l’utilisation de l’hydrogène par la création de sept pôles territoriaux un peu partout dans le pays. L’objectif est de réduire les émissions de l’industrie et des transports liées au réchauffement climatique en plus de créer de nouveaux emplois.
Il est prévu que ces pôles régionaux, distribués sur 16 États, recevront 7 milliards de dollars mis de côté dans la loi bipartite sur les infrastructures de 2021 pour l’exécution des projets qui ont été approuvés par le gouvernement fédéral. De plus, ces fonds seront majorés par l’addition d’environ 43 milliards de dollars d’investissements de la part des entreprises désireuses de développer des projets d’hydrogène pour les raffineries, les ports, les poids lourds, la production d’engrais, etc. Il s’agit apparemment des plus gros investissements dans la fabrication propre de l’histoire des États-Unis.
Forbes signale qu’à l’heure actuelle, l’hydrogène est déjà largement utilisé aux États-Unis dans une multitude d’industries, notamment le raffinage du pétrole, la production de produits chimiques et d’engrais et la transformation des aliments. Mais il s’agit principalement d’hydrogène gris, qui est produit à partir du gaz naturel à l’aide de procédés qui génèrent du dioxyde de carbone.
C’est précisément la situation que cherche à modifier la mise en place des susdits pôles, à savoir, le déplacement de la production d’hydrogène vers des méthodes plus propres, comme l’utilisation d’électrolyseurs, qui extraient l’hydrogène de l’eau, idéalement avec des énergies renouvelables, pour créer un combustible « vert ».
Il est à noter que les projets basés sur les combustibles fossiles qui sont capables de prouver qu’ils capturent et maintiennent hors de l’atmosphère le carbone de leurs sous-produits feront également partie des nouveaux pôles, aux côtés de l’hydrogène produit à partir de l’énergie nucléaire.
Forbes ajoute que l’on estime que la production combinée d’hydrogène propre de tous ces pôles devrait dépasser 3 millions de tonnes par an. Cela pourrait éliminer environ 25 millions de tonnes de pollution par le carbone par an, aux dires des responsables gouvernementaux. C’est l’équivalent des émissions annuelles de carbone de 5,5 millions de véhicules à essence.
Les pôles de la Californie et du Texas recevront les montants les plus imposants, soit 1,2 milliard de dollars US chacun. Cela s’explique par le succès de la Californie à mettre des voitures et des camions à hydrogène sur les routes et, dans le cas du Texas, par l’utilisation massive d’hydrogène dans ses raffineries de pétrole.
Enfin, Forbes note que des centaines de milliers de nouveaux emplois devraient être créés grâce aux projets, notamment la construction de nouveaux pipelines pour transporter le carburant. Environ les deux tiers des investissements totaux du projet seront destinés à la production d’hydrogène par électrolyse.
Forbes signale que les États-Unis encourageront l’utilisation de l’hydrogène par la création de sept pôles territoriaux un peu partout dans le pays. L’objectif est de réduire les émissions de l’industrie et des transports liées au réchauffement climatique en plus de créer de nouveaux emplois.
Il est prévu que ces pôles régionaux, distribués sur 16 États, recevront 7 milliards de dollars mis de côté dans la loi bipartite sur les infrastructures de 2021 pour l’exécution des projets qui ont été approuvés par le gouvernement fédéral. De plus, ces fonds seront majorés par l’addition d’environ 43 milliards de dollars d’investissements de la part des entreprises désireuses de développer des projets d’hydrogène pour les raffineries, les ports, les poids lourds, la production d’engrais, etc. Il s’agit apparemment des plus gros investissements dans la fabrication propre de l’histoire des États-Unis.
Forbes signale qu’à l’heure actuelle, l’hydrogène est déjà largement utilisé aux États-Unis dans une multitude d’industries, notamment le raffinage du pétrole, la production de produits chimiques et d’engrais et la transformation des aliments. Mais il s’agit principalement d’hydrogène gris, qui est produit à partir du gaz naturel à l’aide de procédés qui génèrent du dioxyde de carbone.
C’est précisément la situation que cherche à modifier la mise en place des susdits pôles, à savoir, le déplacement de la production d’hydrogène vers des méthodes plus propres, comme l’utilisation d’électrolyseurs, qui extraient l’hydrogène de l’eau, idéalement avec des énergies renouvelables, pour créer un combustible « vert ».
Il est à noter que les projets basés sur les combustibles fossiles qui sont capables de prouver qu’ils capturent et maintiennent hors de l’atmosphère le carbone de leurs sous-produits feront également partie des nouveaux pôles, aux côtés de l’hydrogène produit à partir de l’énergie nucléaire.
Forbes ajoute que l’on estime que la production combinée d’hydrogène propre de tous ces pôles devrait dépasser 3 millions de tonnes par an. Cela pourrait éliminer environ 25 millions de tonnes de pollution par le carbone par an, aux dires des responsables gouvernementaux. C’est l’équivalent des émissions annuelles de carbone de 5,5 millions de véhicules à essence.
Les pôles de la Californie et du Texas recevront les montants les plus imposants, soit 1,2 milliard de dollars US chacun. Cela s’explique par le succès de la Californie à mettre des voitures et des camions à hydrogène sur les routes et, dans le cas du Texas, par l’utilisation massive d’hydrogène dans ses raffineries de pétrole.
Enfin, Forbes note que des centaines de milliers de nouveaux emplois devraient être créés grâce aux projets, notamment la construction de nouveaux pipelines pour transporter le carburant. Environ les deux tiers des investissements totaux du projet seront destinés à la production d’hydrogène par électrolyse.