Les entreprises ne seraient pas suffisamment préparées pour faire face aux risques associés à l’informatique quantique
ZDNet commente les résultats d’une enquête menée par le Ponemon Institute, selon laquelle quelque 61 % des répondants estiment que leur organisation ne serait pas prête à gérer les risques en matière de cybersécurité liés à l’informatique quantique. Plus inquiétant encore, 74 % des entreprises interrogées craignent que leurs données ne soient déjà ciblées en vue d’être décryptées lorsque les cybercriminels seront technologiquement outillés pour ce faire.
Dans le cadre de cette enquête, commandée par DigiCert, 1 426 professionnels de l’informatique et de la cybersécurité qui ont une bonne connaissance de l’approche de leur entreprise en matière de cryptographie post-quantique ont été interrogés. Parmi eux, 605 venaient des États-Unis, 428 de la région EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique), et 393 de la région Asie-Pacifique.
Dans le détail, l’enquête du Ponemon Institute révèle qu’environ 30 % des répondants ont déjà réservé un budget pour préparer leur organisation à l’ère de l’informatique quantique. Un peu plus de la moitié, soit 52 %, seraient déjà en train de faire l’inventaire des caractéristiques des différents types de clés cryptographiques utilisées actuellement.
De plus, ZDNet signale qu’environ 59 % de répondants pensent que leurs gestionnaires sont assez conscients des enjeux que soulève l’informatique quantique pour la sécurité de l’informatique de l’organisation. En revanche, 23 % considèrent que leur équipe de direction n’est pas consciente des risques qu’entraîne cette technologie.
Pour ce qui est des échéanciers, quelque 41 % estiment que leur organisation doit se préparer à l’ère de l’informatique quantique d’ici cinq ans, tandis que 29 % déclarent qu’il leur reste entre cinq et sept ans. Parmi les retardataires, 12 % déclarent que leur organisation sera prête dans huit à dix ans, et 9 % estiment que cela prendra plus d’une décennie.
ZDNet souligne qu’environ 10 % des répondants pensent que leur organisation ne sera pas prête à temps pour faire face aux défis d’un avenir quantique. De plus, 25 % d’entre elles ne disposent pas d’une stratégie centralisée de gestion de la cryptographie, contre 39 % qui disposent d’une stratégie de gestion de la cryptographie à l’échelle de l’entreprise. Enfin, 36 % des répondants indiquent que leur organisation privilégie une stratégie limitée qui gère des cas d’utilisation particuliers.
D’un point de vue régional, 44 % des personnes interrogées aux États-Unis et 39 % en Asie-Pacifique ainsi qu’en EMEA estiment qu’il leur reste moins de cinq ans pour se préparer. Quelque 28 % aux États-Unis, 21 % dans la région EMEA et 19 % dans la région Asie-Pacifique déclarent avoir déjà mis en place une stratégie pour gérer les implications de sécurité de l’informatique quantique.
Il est à noter que des pays comme Singapour étudient déjà les répercussions de l’informatique quantique sur l’industrie. L’année dernière, ce pays a réservé 17,14 millions de dollars pour soutenir le développement des compétences et des dispositifs quantiques pour faire en sorte que les technologies de cryptage restent robustes.
ZDNet commente les résultats d’une enquête menée par le Ponemon Institute, selon laquelle quelque 61 % des répondants estiment que leur organisation ne serait pas prête à gérer les risques en matière de cybersécurité liés à l’informatique quantique. Plus inquiétant encore, 74 % des entreprises interrogées craignent que leurs données ne soient déjà ciblées en vue d’être décryptées lorsque les cybercriminels seront technologiquement outillés pour ce faire.
Dans le cadre de cette enquête, commandée par DigiCert, 1 426 professionnels de l’informatique et de la cybersécurité qui ont une bonne connaissance de l’approche de leur entreprise en matière de cryptographie post-quantique ont été interrogés. Parmi eux, 605 venaient des États-Unis, 428 de la région EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique), et 393 de la région Asie-Pacifique.
Dans le détail, l’enquête du Ponemon Institute révèle qu’environ 30 % des répondants ont déjà réservé un budget pour préparer leur organisation à l’ère de l’informatique quantique. Un peu plus de la moitié, soit 52 %, seraient déjà en train de faire l’inventaire des caractéristiques des différents types de clés cryptographiques utilisées actuellement.
De plus, ZDNet signale qu’environ 59 % de répondants pensent que leurs gestionnaires sont assez conscients des enjeux que soulève l’informatique quantique pour la sécurité de l’informatique de l’organisation. En revanche, 23 % considèrent que leur équipe de direction n’est pas consciente des risques qu’entraîne cette technologie.
Pour ce qui est des échéanciers, quelque 41 % estiment que leur organisation doit se préparer à l’ère de l’informatique quantique d’ici cinq ans, tandis que 29 % déclarent qu’il leur reste entre cinq et sept ans. Parmi les retardataires, 12 % déclarent que leur organisation sera prête dans huit à dix ans, et 9 % estiment que cela prendra plus d’une décennie.
ZDNet souligne qu’environ 10 % des répondants pensent que leur organisation ne sera pas prête à temps pour faire face aux défis d’un avenir quantique. De plus, 25 % d’entre elles ne disposent pas d’une stratégie centralisée de gestion de la cryptographie, contre 39 % qui disposent d’une stratégie de gestion de la cryptographie à l’échelle de l’entreprise. Enfin, 36 % des répondants indiquent que leur organisation privilégie une stratégie limitée qui gère des cas d’utilisation particuliers.
D’un point de vue régional, 44 % des personnes interrogées aux États-Unis et 39 % en Asie-Pacifique ainsi qu’en EMEA estiment qu’il leur reste moins de cinq ans pour se préparer. Quelque 28 % aux États-Unis, 21 % dans la région EMEA et 19 % dans la région Asie-Pacifique déclarent avoir déjà mis en place une stratégie pour gérer les implications de sécurité de l’informatique quantique.
Il est à noter que des pays comme Singapour étudient déjà les répercussions de l’informatique quantique sur l’industrie. L’année dernière, ce pays a réservé 17,14 millions de dollars pour soutenir le développement des compétences et des dispositifs quantiques pour faire en sorte que les technologies de cryptage restent robustes.