Les entreprises doivent promouvoir un taux de roulement sain
De nombreuses entreprises ont du mal à conserver leurs employés et prêtent trop d’attention au taux de roulement. En effet, au cours des entretiens et de l’intégration, les discussions supposent que l’employé restera chez l’employeur indéfiniment, alors que l’ancienneté moyenne d’un travailleur d’aujourd’hui est d’environ quatre ans. Lorsque l’employé s’en va, le processus est perçu comme gênant pour l’employeur, voire comme un échec. Dans ce contexte, la Harvard Business Review a publié un article qui incite les entreprises à normaliser un taux de roulement sain, c’est-à-dire à adopter la notion d’attrition intentionnelle, qui ne suppose qu’une réduction des employés au fil du temps. On peut prendre l’exemple des universités, qui, au moment où les étudiants postulent, savent qu’ils resteront pour une durée limitée. Lorsqu’ils partent, ils font également partie d’une communauté d’anciens élèves qui contribuent à orienter leurs attentes en matière de cheminement de carrière. De la même manière, les employés doivent être conscients dès le début du fait que même s’ils fonctionnent au maximum de leur capacité, ils pourraient ne pas progresser. Avec un nombre limité de postes de direction disponibles, certains employés seront encouragés à partir. Une politique d’attrition procure un sentiment de transparence, et même de sécurité.
Les anciens employés peuvent contribuer à créer une marque employeur directement influencée par leur expérience actuelle et passée. Une marque employeur positive peut contribuer à atténuer les aspects négatifs vécus par certaines personnes qui sont parties. Par ailleurs, lorsque d’anciens employés font l’éloge de l’employeur qu’ils ont quitté, les gens le remarquent. En outre, certaines personnes sont ambitieuses et recherchent un poste qui leur apportera un sentiment d’appartenance. Elles entrent dans une entreprise, donnent le meilleur d’elles-mêmes, obtiennent une promotion et partent en bons termes. D’autres deviennent des employés boomerang, c’est-à-dire qu’elles reviennent au sein de l’entreprise plus tard dans leur carrière. En somme, un taux de roulement sain peut créer une marque employeur plus forte et plus productive.
Il faut donc faire de l’attrition planifiée un processus normal, car un processus organisationnel qui ne pénalise pas les employés qui démissionnent peut créer une culture plus positive qui affectera favorablement la marque employeur de l’entreprise.
De nombreuses entreprises ont du mal à conserver leurs employés et prêtent trop d’attention au taux de roulement. En effet, au cours des entretiens et de l’intégration, les discussions supposent que l’employé restera chez l’employeur indéfiniment, alors que l’ancienneté moyenne d’un travailleur d’aujourd’hui est d’environ quatre ans. Lorsque l’employé s’en va, le processus est perçu comme gênant pour l’employeur, voire comme un échec. Dans ce contexte, la Harvard Business Review a publié un article qui incite les entreprises à normaliser un taux de roulement sain, c’est-à-dire à adopter la notion d’attrition intentionnelle, qui ne suppose qu’une réduction des employés au fil du temps. On peut prendre l’exemple des universités, qui, au moment où les étudiants postulent, savent qu’ils resteront pour une durée limitée. Lorsqu’ils partent, ils font également partie d’une communauté d’anciens élèves qui contribuent à orienter leurs attentes en matière de cheminement de carrière. De la même manière, les employés doivent être conscients dès le début du fait que même s’ils fonctionnent au maximum de leur capacité, ils pourraient ne pas progresser. Avec un nombre limité de postes de direction disponibles, certains employés seront encouragés à partir. Une politique d’attrition procure un sentiment de transparence, et même de sécurité.
Les anciens employés peuvent contribuer à créer une marque employeur directement influencée par leur expérience actuelle et passée. Une marque employeur positive peut contribuer à atténuer les aspects négatifs vécus par certaines personnes qui sont parties. Par ailleurs, lorsque d’anciens employés font l’éloge de l’employeur qu’ils ont quitté, les gens le remarquent. En outre, certaines personnes sont ambitieuses et recherchent un poste qui leur apportera un sentiment d’appartenance. Elles entrent dans une entreprise, donnent le meilleur d’elles-mêmes, obtiennent une promotion et partent en bons termes. D’autres deviennent des employés boomerang, c’est-à-dire qu’elles reviennent au sein de l’entreprise plus tard dans leur carrière. En somme, un taux de roulement sain peut créer une marque employeur plus forte et plus productive.
Il faut donc faire de l’attrition planifiée un processus normal, car un processus organisationnel qui ne pénalise pas les employés qui démissionnent peut créer une culture plus positive qui affectera favorablement la marque employeur de l’entreprise.