Les entreprises déploient des programmes pour améliorer la gestion de la santé mentale des employés
Un article de EHSToday commente les résultats d’une enquête de Mercer – effectuée auprès de 537 organisations comptant 500 employés ou plus – ayant pour objectif de connaître les stratégies de santé et d’avantages sociaux que les entreprises envisagent de mettre en place l’année prochaine.
Apparemment, une des principales préoccupations concerne l’augmentation des coûts à cause des pressions inflationnaires. En effet, le coût total des avantages sociaux par employé aurait augmenté de 52 % en 2023. De surcroît, on pense que cette augmentation devrait se poursuivre à un taux de 5 % en 2024. Pour ce qui est des médicaments sur ordonnance, ils auraient connu une augmentation de 8,6 % en 2023. Cette hausse est due à une augmentation du coût des médicaments spécialisés de 10,2 % par employé.
En outre, les employeurs seraient réticents à transférer une partie de l’augmentation des coûts aux employés. En effet, 37 % des employeurs déclarent qu’il est peu probable qu’ils le fassent à cause de l’état actuel du marché du travail. En revanche, 14 % d’entre eux ont déclaré qu’ils proposeraient de nouveaux plans qui augmenteraient les franchises ou les plafonds au-delà desquels ils doivent payer de leur poche.
En outre, l’enquête révèle la valeur accordée à certains programmes, comme ceux d’aide aux employés. À l’heure actuelle, 45 % des entreprises interrogées proposent cet avantage ou pensent le proposer en 2025. De plus, 29 % des entreprises rendraient disponibles les services de conseillers en personne sur un ou plusieurs sites.
Un domaine clé est celui de la santé mentale. L’article signale que 54 % des répondants ont ajouté des ressources pour améliorer la gestion du stress ou la résilience ou le feront d’ici 2025. De plus, les employeurs mettraient en place de nouveaux outils pour améliorer la santé mentale, notamment la thérapie cognitivo-comportementale numérique.
L’enquête souligne également les efforts déployés par les entreprises pour réduire la stigmatisation entourant la question de la santé mentale. Ainsi, 46 % des entreprises déclarent travailler sur la conception de messages à cet égard. Cela implique, apparemment, la participation de gestionnaires qui font part de leurs histoires personnelles afin de légitimer la recherche de soins pour des problèmes de santé mentale.
L’enquête note que la diminution de la stigmatisation associée aux problèmes de santé mentale se traduit par un plus grand nombre d’employés qui recherchent un traitement. Cependant, dans un contexte de pénurie persistante de prestataires de soins de santé comportementale, les délais d’attente pour obtenir des soins ne feraient que se rallonger. Pour résoudre ce problème, 31 % des entreprises offriraient un réseau complémentaire de prestataires de soins de santé comportementale pour les soins virtuels ou en personne.
Malgré ces progrès, il y aurait des lacunes dans la réduction de la stigmatisation des troubles liés à la consommation d’alcool et de substances psychoactives. En effet, seuls 23 % des employeurs s’engagent dans une démarche de sensibilisation à cet égard.
Un article de EHSToday commente les résultats d’une enquête de Mercer – effectuée auprès de 537 organisations comptant 500 employés ou plus – ayant pour objectif de connaître les stratégies de santé et d’avantages sociaux que les entreprises envisagent de mettre en place l’année prochaine.
Apparemment, une des principales préoccupations concerne l’augmentation des coûts à cause des pressions inflationnaires. En effet, le coût total des avantages sociaux par employé aurait augmenté de 52 % en 2023. De surcroît, on pense que cette augmentation devrait se poursuivre à un taux de 5 % en 2024. Pour ce qui est des médicaments sur ordonnance, ils auraient connu une augmentation de 8,6 % en 2023. Cette hausse est due à une augmentation du coût des médicaments spécialisés de 10,2 % par employé.
En outre, les employeurs seraient réticents à transférer une partie de l’augmentation des coûts aux employés. En effet, 37 % des employeurs déclarent qu’il est peu probable qu’ils le fassent à cause de l’état actuel du marché du travail. En revanche, 14 % d’entre eux ont déclaré qu’ils proposeraient de nouveaux plans qui augmenteraient les franchises ou les plafonds au-delà desquels ils doivent payer de leur poche.
En outre, l’enquête révèle la valeur accordée à certains programmes, comme ceux d’aide aux employés. À l’heure actuelle, 45 % des entreprises interrogées proposent cet avantage ou pensent le proposer en 2025. De plus, 29 % des entreprises rendraient disponibles les services de conseillers en personne sur un ou plusieurs sites.
Un domaine clé est celui de la santé mentale. L’article signale que 54 % des répondants ont ajouté des ressources pour améliorer la gestion du stress ou la résilience ou le feront d’ici 2025. De plus, les employeurs mettraient en place de nouveaux outils pour améliorer la santé mentale, notamment la thérapie cognitivo-comportementale numérique.
L’enquête souligne également les efforts déployés par les entreprises pour réduire la stigmatisation entourant la question de la santé mentale. Ainsi, 46 % des entreprises déclarent travailler sur la conception de messages à cet égard. Cela implique, apparemment, la participation de gestionnaires qui font part de leurs histoires personnelles afin de légitimer la recherche de soins pour des problèmes de santé mentale.
L’enquête note que la diminution de la stigmatisation associée aux problèmes de santé mentale se traduit par un plus grand nombre d’employés qui recherchent un traitement. Cependant, dans un contexte de pénurie persistante de prestataires de soins de santé comportementale, les délais d’attente pour obtenir des soins ne feraient que se rallonger. Pour résoudre ce problème, 31 % des entreprises offriraient un réseau complémentaire de prestataires de soins de santé comportementale pour les soins virtuels ou en personne.
Malgré ces progrès, il y aurait des lacunes dans la réduction de la stigmatisation des troubles liés à la consommation d’alcool et de substances psychoactives. En effet, seuls 23 % des employeurs s’engagent dans une démarche de sensibilisation à cet égard.