Les énergies renouvelables, les puces et les centres de données sont en tête des investissements directs étrangers cette année
Selon un article de fDi Intelligence, les données préliminaires de fDi Markets indiquent que la numérisation et la transition énergétique ont continué de définir les 10 principaux secteurs bénéficiaires des investissements directs étrangers (IDE) au cours de la première moitié de 2024, mais il existe des signes précoces indiquant que les promesses de capitaux dans des industries stratégiques telles que les batteries ont diminué.
Entre janvier et juin 2024, les investisseurs étrangers ont annoncé des projets d’investissement transfrontaliers d’une valeur de plus de 635 milliards de dollars US. Il s’agit du cinquième semestre consécutif au cours duquel les IDE mondiaux ont dépassé les 630 milliards de dollars et de la quatrième dépense d’investissement la plus élevée enregistrée sur une période de six mois depuis le début des relevés en 2003.
La récente vague de mégaprojets – des investissements avec au moins 1 milliard de dollars de promesses de capital – s’est poursuivie au premier semestre de 2024, avec 85 projets de ce type enregistrés jusqu’à présent par fDi Markets. Les deux tiers de ces projets à forte intensité de capital ont été annoncés dans seulement quatre secteurs, avec celui des communications en tête, où l’on a assisté à une forte augmentation des projets d’infrastructures Internet, suivi des énergies renouvelables, des semi-conducteurs et de la fabrication d’équipements d’origine pour l’automobile.
Les énergies renouvelables ont conservé leur première place en tant que principal secteur bénéficiaire, enregistrant des promesses d’IDE entièrement nouveaux d’une valeur de 138 milliards de dollars. Environ la moitié de ce montant a été consacrée à l’hydrogène vert et à d’autres projets émergents de technologies propres, qui n’ont pas encore fait leurs preuves à l’échelle commerciale. Les projets d’énergie solaire ont pris la deuxième part du marché, avec 38,7 milliards de dollars, suivis par l’éolien (27,5 milliards de dollars).
Toutefois, des signes précoces indiquent que les investissements dans l’industrie des composants électroniques, qui est également essentielle à la transition énergétique, ont diminué. Des IDE d’une valeur de 8,4 milliards de dollars ont été promis au sous-secteur très convoité des batteries, soit le niveau le plus bas depuis le premier semestre 2021. Cela reflète l’incertitude quant à la réussite des giga-usines et les inquiétudes concernant une demande plus faible que prévu pour les véhicules électriques.
Entre janvier et juin 2024, le secteur très prisé des semi-conducteurs a reçu plus de 107 milliards de dollars de promesses d’IDE, les États-Unis attirant la majorité de ces investissements.
Plus de 85 % des promesses d’IDE dans le secteur des communications (troisième plus important secteur pour les IDE) étaient consacrés au traitement de données, à l’hébergement et aux services connexes. La ruée vers la construction de cette infrastructure numérique s’est produite dans un contexte de demande croissante de services infonuagiques et d’intelligence artificielle (IA).
Plusieurs autres secteurs traditionnellement à forte intensité de capital sont demeurés en tête, notamment l’équipement automobile, l’immobilier, le transport et l’entreposage et les métaux. Dans le même temps, les logiciels et les services informatiques sont revenus dans le classement des dix plus importants secteurs.
Selon un article de fDi Intelligence, les données préliminaires de fDi Markets indiquent que la numérisation et la transition énergétique ont continué de définir les 10 principaux secteurs bénéficiaires des investissements directs étrangers (IDE) au cours de la première moitié de 2024, mais il existe des signes précoces indiquant que les promesses de capitaux dans des industries stratégiques telles que les batteries ont diminué.
Entre janvier et juin 2024, les investisseurs étrangers ont annoncé des projets d’investissement transfrontaliers d’une valeur de plus de 635 milliards de dollars US. Il s’agit du cinquième semestre consécutif au cours duquel les IDE mondiaux ont dépassé les 630 milliards de dollars et de la quatrième dépense d’investissement la plus élevée enregistrée sur une période de six mois depuis le début des relevés en 2003.
La récente vague de mégaprojets – des investissements avec au moins 1 milliard de dollars de promesses de capital – s’est poursuivie au premier semestre de 2024, avec 85 projets de ce type enregistrés jusqu’à présent par fDi Markets. Les deux tiers de ces projets à forte intensité de capital ont été annoncés dans seulement quatre secteurs, avec celui des communications en tête, où l’on a assisté à une forte augmentation des projets d’infrastructures Internet, suivi des énergies renouvelables, des semi-conducteurs et de la fabrication d’équipements d’origine pour l’automobile.
Les énergies renouvelables ont conservé leur première place en tant que principal secteur bénéficiaire, enregistrant des promesses d’IDE entièrement nouveaux d’une valeur de 138 milliards de dollars. Environ la moitié de ce montant a été consacrée à l’hydrogène vert et à d’autres projets émergents de technologies propres, qui n’ont pas encore fait leurs preuves à l’échelle commerciale. Les projets d’énergie solaire ont pris la deuxième part du marché, avec 38,7 milliards de dollars, suivis par l’éolien (27,5 milliards de dollars).
Toutefois, des signes précoces indiquent que les investissements dans l’industrie des composants électroniques, qui est également essentielle à la transition énergétique, ont diminué. Des IDE d’une valeur de 8,4 milliards de dollars ont été promis au sous-secteur très convoité des batteries, soit le niveau le plus bas depuis le premier semestre 2021. Cela reflète l’incertitude quant à la réussite des giga-usines et les inquiétudes concernant une demande plus faible que prévu pour les véhicules électriques.
Entre janvier et juin 2024, le secteur très prisé des semi-conducteurs a reçu plus de 107 milliards de dollars de promesses d’IDE, les États-Unis attirant la majorité de ces investissements.
Plus de 85 % des promesses d’IDE dans le secteur des communications (troisième plus important secteur pour les IDE) étaient consacrés au traitement de données, à l’hébergement et aux services connexes. La ruée vers la construction de cette infrastructure numérique s’est produite dans un contexte de demande croissante de services infonuagiques et d’intelligence artificielle (IA).
Plusieurs autres secteurs traditionnellement à forte intensité de capital sont demeurés en tête, notamment l’équipement automobile, l’immobilier, le transport et l’entreposage et les métaux. Dans le même temps, les logiciels et les services informatiques sont revenus dans le classement des dix plus importants secteurs.