L’écologisation des PME et les multiples liens entre le capital intellectuel vert, la capacité d’absorption, les innovations vertes et la réglementation
Un article publié par Frontiers in Environmental Science (février 2024) analyse l’imbrication dynamique de la durabilité et de l’innovation, une relation de plus en plus présente dans l’évolutivité de l’environnement d’affaires contemporain, où les entreprises sont tenues de relever le défi d’équilibrer les objectifs économiques avec la responsabilité environnementale. En mettant en rapport différents concepts, cet article vise à offrir des pistes de réflexion concernant la compétitivité durable des petites et moyennes entreprises (PME) du secteur manufacturier et l’écologisation de leurs opérations.
Plus précisément, en utilisant la théorie de la vision basée sur les ressources naturelles, cet article montre l’impact du capital intellectuel vert des PME dans le développement de la capacité d’absorption et la vitalité de l’innovation verte ainsi que leurs répercussions ultérieures sur l’avantage compétitif de ces entreprises. Chose intéressante, les réglementations environnementales joueraient un rôle intermédiaire et modérateur incontournable dans la formation du lien entre le capital intellectuel vert et la capacité d’absorption, renforçant ainsi la capacité des PME à atteindre une compétitivité durable.
Le concept de capital intellectuel vert correspond à un réservoir d’actifs incorporels au sein d’une entreprise. Celui-ci comprend non seulement des ressources intellectuelles, mais également une expertise et des innovations qui contribuent à l’adoption et à la mise en œuvre de pratiques et de politiques respectueuses de l’environnement en plus de la création de biens et services innovants et économes en ressources. Bref, le capital intellectuel vert donne aux entreprises un avantage concurrentiel décisif, car elles peuvent rentabiliser plus efficacement les biens et les services verts afin d’améliorer leurs revenus et de pénétrer de nouveaux marchés.
Le capital intellectuel vert exercerait une influence importante, directe et positive sur la performance des activités d’absorption des capacités, sur les entreprises durables et sur les innovations vertes. Dans le premier cas, le capital intellectuel vert permettrait à une organisation d’identifier, d’apprécier, d’assimiler et d’appliquer de nouvelles informations externes relativement aux pratiques écologiquement durables. Cette capacité d’absorption englobe la transformation et l’application des connaissances dans une dynamique qui met l’accent sur le contrôle et la cohérence. Il s’agit de saisir l’ampleur des pressions environnementales dans le but de définir des stratégies efficaces capables de relever les défis liés aux déchets de fabrication et à la promotion de performances écologiques innovantes.
À son tour, l’innovation verte aurait un impact positif, important et direct sur l’avantage concurrentiel d’une entreprise, autrement dit, sur sa capacité à assurer une position de supériorité sur le marché lui permettant de surpasser ses concurrents sur le plan des performances, notamment, la capacité à acquérir de nouveaux clients. L’innovation dans les produits et services verts – comme la découverte de nouveaux marchés pour les produits respectueux de l’environnement, l’amélioration de la productivité et du recyclage des ressources, ainsi que l’amélioration de l’efficacité environnementale et de la qualité des services – est souvent citée dans les études sur les innovations vertes d’entreprises.
Un article publié par Frontiers in Environmental Science (février 2024) analyse l’imbrication dynamique de la durabilité et de l’innovation, une relation de plus en plus présente dans l’évolutivité de l’environnement d’affaires contemporain, où les entreprises sont tenues de relever le défi d’équilibrer les objectifs économiques avec la responsabilité environnementale. En mettant en rapport différents concepts, cet article vise à offrir des pistes de réflexion concernant la compétitivité durable des petites et moyennes entreprises (PME) du secteur manufacturier et l’écologisation de leurs opérations.
Plus précisément, en utilisant la théorie de la vision basée sur les ressources naturelles, cet article montre l’impact du capital intellectuel vert des PME dans le développement de la capacité d’absorption et la vitalité de l’innovation verte ainsi que leurs répercussions ultérieures sur l’avantage compétitif de ces entreprises. Chose intéressante, les réglementations environnementales joueraient un rôle intermédiaire et modérateur incontournable dans la formation du lien entre le capital intellectuel vert et la capacité d’absorption, renforçant ainsi la capacité des PME à atteindre une compétitivité durable.
Le concept de capital intellectuel vert correspond à un réservoir d’actifs incorporels au sein d’une entreprise. Celui-ci comprend non seulement des ressources intellectuelles, mais également une expertise et des innovations qui contribuent à l’adoption et à la mise en œuvre de pratiques et de politiques respectueuses de l’environnement en plus de la création de biens et services innovants et économes en ressources. Bref, le capital intellectuel vert donne aux entreprises un avantage concurrentiel décisif, car elles peuvent rentabiliser plus efficacement les biens et les services verts afin d’améliorer leurs revenus et de pénétrer de nouveaux marchés.
Le capital intellectuel vert exercerait une influence importante, directe et positive sur la performance des activités d’absorption des capacités, sur les entreprises durables et sur les innovations vertes. Dans le premier cas, le capital intellectuel vert permettrait à une organisation d’identifier, d’apprécier, d’assimiler et d’appliquer de nouvelles informations externes relativement aux pratiques écologiquement durables. Cette capacité d’absorption englobe la transformation et l’application des connaissances dans une dynamique qui met l’accent sur le contrôle et la cohérence. Il s’agit de saisir l’ampleur des pressions environnementales dans le but de définir des stratégies efficaces capables de relever les défis liés aux déchets de fabrication et à la promotion de performances écologiques innovantes.
À son tour, l’innovation verte aurait un impact positif, important et direct sur l’avantage concurrentiel d’une entreprise, autrement dit, sur sa capacité à assurer une position de supériorité sur le marché lui permettant de surpasser ses concurrents sur le plan des performances, notamment, la capacité à acquérir de nouveaux clients. L’innovation dans les produits et services verts – comme la découverte de nouveaux marchés pour les produits respectueux de l’environnement, l’amélioration de la productivité et du recyclage des ressources, ainsi que l’amélioration de l’efficacité environnementale et de la qualité des services – est souvent citée dans les études sur les innovations vertes d’entreprises.