Le virage numérique de Straumann Group est en train de transformer la dentisterie
CIO commente le virage numérique de Straumann Group, une entreprise suisse spécialisée dans la production d'instruments et de composants pour la chirurgie dentaire. Apparemment, on serait en train de transformer la dentisterie grâce aux données et à l'intelligence artificielle (IA).
Plus précisément, cette société – basée à Bâle, en Suisse, et active dans plus de 100 pays – est déterminée à transformer l'organisation des données et de sa technologie pour devenir un fournisseur de données-service. Cette démarche ne manque pas d'ambition, car cette entreprise est engagée dans la transformation de pétaoctets de toute sorte de données. En effet, on y trouve des données des clients, hautement structurées, des données sur les traitements et les demandes de laboratoire, des données opérationnelles, et un volume massif et croissant de données non structurées, en particulier des données d'imagerie.
En guise d'exemple, l'article de CIO note que l'activité d'orthodontie de l'entreprise fait un usage intensif du traitement d'images, au point où les données non structurées augmentent à un rythme d'environ 20 à 25 % par mois. On note à ce sujet que les progrès de la technologie d'imagerie offriraient à Straumann Group la chance d'offrir de nouvelles capacités à ses clients. Par exemple, les données d'imagerie traitées par l'IA peuvent, dit-on, être utilisées pour montrer aux patients comment un aligneur changera leur apparence au fil du temps.
La transformation numérique de Straumann Group a commencé par l'établissement d'un référentiel de données regroupant autant la gestion des relations avec les clients que la gestion d'entreprise, ce à quoi il faut ajouter les données structurées et non structurés que l'on trouve dans les entrepôts et les lacs de données, respectivement.
C'est à cette étape que les concepteurs et les architectes de données ont établi la gouvernance et l'intégration des données. La prochaine étape est la conception de la couche sémantique par la migration des données vers des minientrepôts spécialisés (data marts) qui fournissent des données aux utilisateurs dans les domaines des finances, des ventes, de la chaîne d'approvisionnement et du marché. L'objectif final est la conception de pipelines d'apprentissage automatique et d'IA dans une couche de diffusion d'informations pouvant soutenir les tâches analytiques prédictives et prescriptives.
Apparemment, la stratégie de Straumann Group repose sur une utilisation des données qui sera autant défensive – ce qui correspond à la gestion traditionnelle des données – qu'offensive. C'est dans cette dernière approche que les analyses avancées offertes par les technologies disruptives devraient aider à générer des revenus grâce au traitement de données historiques et à la prédiction de tendances.
CIO commente le virage numérique de Straumann Group, une entreprise suisse spécialisée dans la production d'instruments et de composants pour la chirurgie dentaire. Apparemment, on serait en train de transformer la dentisterie grâce aux données et à l'intelligence artificielle (IA).
Plus précisément, cette société – basée à Bâle, en Suisse, et active dans plus de 100 pays – est déterminée à transformer l'organisation des données et de sa technologie pour devenir un fournisseur de données-service. Cette démarche ne manque pas d'ambition, car cette entreprise est engagée dans la transformation de pétaoctets de toute sorte de données. En effet, on y trouve des données des clients, hautement structurées, des données sur les traitements et les demandes de laboratoire, des données opérationnelles, et un volume massif et croissant de données non structurées, en particulier des données d'imagerie.
En guise d'exemple, l'article de CIO note que l'activité d'orthodontie de l'entreprise fait un usage intensif du traitement d'images, au point où les données non structurées augmentent à un rythme d'environ 20 à 25 % par mois. On note à ce sujet que les progrès de la technologie d'imagerie offriraient à Straumann Group la chance d'offrir de nouvelles capacités à ses clients. Par exemple, les données d'imagerie traitées par l'IA peuvent, dit-on, être utilisées pour montrer aux patients comment un aligneur changera leur apparence au fil du temps.
La transformation numérique de Straumann Group a commencé par l'établissement d'un référentiel de données regroupant autant la gestion des relations avec les clients que la gestion d'entreprise, ce à quoi il faut ajouter les données structurées et non structurés que l'on trouve dans les entrepôts et les lacs de données, respectivement.
C'est à cette étape que les concepteurs et les architectes de données ont établi la gouvernance et l'intégration des données. La prochaine étape est la conception de la couche sémantique par la migration des données vers des minientrepôts spécialisés (data marts) qui fournissent des données aux utilisateurs dans les domaines des finances, des ventes, de la chaîne d'approvisionnement et du marché. L'objectif final est la conception de pipelines d'apprentissage automatique et d'IA dans une couche de diffusion d'informations pouvant soutenir les tâches analytiques prédictives et prescriptives.
Apparemment, la stratégie de Straumann Group repose sur une utilisation des données qui sera autant défensive – ce qui correspond à la gestion traditionnelle des données – qu'offensive. C'est dans cette dernière approche que les analyses avancées offertes par les technologies disruptives devraient aider à générer des revenus grâce au traitement de données historiques et à la prédiction de tendances.