Le secteur du bâtiment est essentiel dans la lutte contre le changement climatique
La chaîne de valeur du bâtiment est responsable de 37 % des émissions totales de carbone à l’échelle mondiale, impliquant de nombreux secteurs dont la décarbonisation est plus difficile à réaliser, comme l’acier et le ciment.
Selon un article du Forum économique mondial et du Boston Consulting Group, la transition écologique consistant à créer une chaîne de valeur peut déverrouiller des débouchés commerciaux de 1 800 milliards de dollars US à l’échelle mondiale, ainsi qu’avoir une valeur sociale et environnementale notable.
Pour saisir pleinement les occasions d’affaires présentées par la transition verte des secteurs du bâtiment, les parties prenantes de l’ensemble de la chaîne de valeur doivent adopter une approche stratégique et collaborative, notamment en matière d’établissement de normes, de développement phare, d’élaboration de politiques et d’innovation.
La transition vers des pratiques de construction plus soutenables offre de nombreuses occasions de croissance et de création de valeur tout au long de la chaîne de valeur. Une analyse du Boston Consulting Group (BCG) a révélé que les entreprises présentant les meilleurs indicateurs de développement durable présentaient un risque plus faible en ce qui a trait aux facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG), avec une prime de 10 à 15 % dans leur valorisation. Les bâtiments dotés de certifications liées au développement durable, comme le système de notation LEED (Leadership in Energy & Environmental Design), mondialement reconnu, qui fournit un cadre pour la conception de bâtiments durables et sains, peuvent avoir une valeur d’actif plus élevée en raison de leur efficacité énergétique, de leur valeur locative plus élevée et d’un risque ESG moindre. Ils possèdent également un avantage concurrentiel sur le marché.
La conception de systèmes écoénergétiques peut générer des économies non négligeables pour les acteurs de la chaîne de valeur. La conception de bâtiments passifs, les systèmes de chauffage et de refroidissement à haut rendement et les systèmes avancés de gestion de l’énergie réduisent la consommation d’énergie et de matériaux, ce qui fait diminuer les coûts d’exploitation.
En adoptant des pratiques durables, les acteurs de la chaîne de valeur peuvent également proposer des produits différenciés qui attirent des clients soucieux de l’environnement, et avoir accès aux incitations financières publiques et aux éventuels échanges de carbone pour compenser les coûts d’investissement initiaux, améliorant ainsi leur viabilité financière.
Les bâtiments écologiques intègrent souvent des caractéristiques qui favorisent l’interaction et l’engagement communautaire, comme des espaces verts accessibles et des centres communautaires, améliorant ainsi la qualité de la vie humaine.
Ces bâtiments réduisent également la pollution et protègent et améliorent la biodiversité. En améliorant la qualité de l’air et de l’eau, les bâtiments écologiques créent également des conditions de vie plus saines.
Grâce à une approche en quatre volets, les acteurs publics et privés peuvent travailler ensemble pour relever les défis et assurer une transition verte :
- Adopter des normes et des mesures mondiales;
- Adopter les meilleures pratiques et construire des projets phares;
- Développer des politiques et des incitatifs financiers efficaces;
- Soutenir la recherche et développement et collaborer avec les innovateurs.
La chaîne de valeur du bâtiment est responsable de 37 % des émissions totales de carbone à l’échelle mondiale, impliquant de nombreux secteurs dont la décarbonisation est plus difficile à réaliser, comme l’acier et le ciment.
Selon un article du Forum économique mondial et du Boston Consulting Group, la transition écologique consistant à créer une chaîne de valeur peut déverrouiller des débouchés commerciaux de 1 800 milliards de dollars US à l’échelle mondiale, ainsi qu’avoir une valeur sociale et environnementale notable.
Pour saisir pleinement les occasions d’affaires présentées par la transition verte des secteurs du bâtiment, les parties prenantes de l’ensemble de la chaîne de valeur doivent adopter une approche stratégique et collaborative, notamment en matière d’établissement de normes, de développement phare, d’élaboration de politiques et d’innovation.
La transition vers des pratiques de construction plus soutenables offre de nombreuses occasions de croissance et de création de valeur tout au long de la chaîne de valeur. Une analyse du Boston Consulting Group (BCG) a révélé que les entreprises présentant les meilleurs indicateurs de développement durable présentaient un risque plus faible en ce qui a trait aux facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG), avec une prime de 10 à 15 % dans leur valorisation. Les bâtiments dotés de certifications liées au développement durable, comme le système de notation LEED (Leadership in Energy & Environmental Design), mondialement reconnu, qui fournit un cadre pour la conception de bâtiments durables et sains, peuvent avoir une valeur d’actif plus élevée en raison de leur efficacité énergétique, de leur valeur locative plus élevée et d’un risque ESG moindre. Ils possèdent également un avantage concurrentiel sur le marché.
La conception de systèmes écoénergétiques peut générer des économies non négligeables pour les acteurs de la chaîne de valeur. La conception de bâtiments passifs, les systèmes de chauffage et de refroidissement à haut rendement et les systèmes avancés de gestion de l’énergie réduisent la consommation d’énergie et de matériaux, ce qui fait diminuer les coûts d’exploitation.
En adoptant des pratiques durables, les acteurs de la chaîne de valeur peuvent également proposer des produits différenciés qui attirent des clients soucieux de l’environnement, et avoir accès aux incitations financières publiques et aux éventuels échanges de carbone pour compenser les coûts d’investissement initiaux, améliorant ainsi leur viabilité financière.
Les bâtiments écologiques intègrent souvent des caractéristiques qui favorisent l’interaction et l’engagement communautaire, comme des espaces verts accessibles et des centres communautaires, améliorant ainsi la qualité de la vie humaine.
Ces bâtiments réduisent également la pollution et protègent et améliorent la biodiversité. En améliorant la qualité de l’air et de l’eau, les bâtiments écologiques créent également des conditions de vie plus saines.
Grâce à une approche en quatre volets, les acteurs publics et privés peuvent travailler ensemble pour relever les défis et assurer une transition verte :
- Adopter des normes et des mesures mondiales;
- Adopter les meilleures pratiques et construire des projets phares;
- Développer des politiques et des incitatifs financiers efficaces;
- Soutenir la recherche et développement et collaborer avec les innovateurs.