Le rôle de l’IA dans l’amélioration de l’expérience des employés en entreprise
Un article d’IndustryWeek signale qu’un des aspects les plus sous-estimés de l’introduction de l’intelligence artificielle (IA) en milieu de travail est la manière dont cette technologie peut bénéficier aux employés. Cela met en relief les rôles des professionnels des ressources humaines, qui, jusqu’à présent, se seraient concentrés principalement sur la recherche de gains d’efficacité.
En effet, l’IA est utilisée actuellement pour l’embauche, l’élaboration de politiques, l’explication des avantages à l’aide de robots et le travail d’arrière-boutique comme le traitement de la paie. Cependant, les services des ressources humaines semblent avoir donné moins d’importance au développement et à la formation des employés. Ce sont les segments où les entreprises, dit-on, pourraient obtenir les plus gros gains. Cet aspect devient critique alors que quelque 61 % des entreprises prévoient d’investir dans l’IA pour rationaliser leurs processus en 2024, selon une enquête du Conference Board publiée en décembre.
Selon cet article, malgré les craintes suscitées par l’automatisation, la relation d’un travailleur à l’IA est plus susceptible d’être symbiotique qu’antagoniste. Conséquemment, on propose quatre façons dont les entreprises peuvent exploiter l’IA pour améliorer l’expérience des employés :
La libération des tâches répétitives
À mesure que les entreprises automatisent les tâches routinières, les employés pourraient se concentrer sur des activités plus significatives et plus stratégiques. Il y aurait une chance pour les travailleurs de s’engager dans des tâches qui font appel à la créativité humaine, à la pensée critique et aux compétences interpersonnelles – des éléments qui manquent à l’IA.
La création d’un lieu de travail plus inclusif
L’utilisation des outils d’IA dans les processus d’embauche et de promotion permettrait d’optimiser le processus de prise de décisions qui est « naturellement sensible aux préjugés inconscients ». En effet, des algorithmes d’IA pourraient analyser des ensembles de données pour réaliser des évaluations objectives. Il faut toutefois faire preuve de vigilance, car des préjugés fondés sur l’âge, la race, le sexe ou le handicap peuvent être introduits dans les algorithmes d’IA.
L’encouragement du développement professionnel
Les capacités analytiques de l’IA permettraient d’identifier des compétences particulières chez les employés ainsi que les aspects lacunaires qui nécessiteraient une amélioration. L’identification des déficits de compétences presque en temps réel permettrait aux entreprises de mettre en place une formation ciblée susceptible de répondre à des besoins spécifiques qui peuvent évoluer au fil du temps.
La création de parcours d’apprentissage plus efficaces
L’IA permettrait de proposer du contenu en fonction des niveaux de compétences individuels, des styles d’apprentissage et des objectifs de carrière. Cette approche serait plus efficace que l’imposition de modules génériques à tous les employés occupant un certain rôle, comme c’est souvent le cas dans les entreprises américaines.
Un article d’IndustryWeek signale qu’un des aspects les plus sous-estimés de l’introduction de l’intelligence artificielle (IA) en milieu de travail est la manière dont cette technologie peut bénéficier aux employés. Cela met en relief les rôles des professionnels des ressources humaines, qui, jusqu’à présent, se seraient concentrés principalement sur la recherche de gains d’efficacité.
En effet, l’IA est utilisée actuellement pour l’embauche, l’élaboration de politiques, l’explication des avantages à l’aide de robots et le travail d’arrière-boutique comme le traitement de la paie. Cependant, les services des ressources humaines semblent avoir donné moins d’importance au développement et à la formation des employés. Ce sont les segments où les entreprises, dit-on, pourraient obtenir les plus gros gains. Cet aspect devient critique alors que quelque 61 % des entreprises prévoient d’investir dans l’IA pour rationaliser leurs processus en 2024, selon une enquête du Conference Board publiée en décembre.
Selon cet article, malgré les craintes suscitées par l’automatisation, la relation d’un travailleur à l’IA est plus susceptible d’être symbiotique qu’antagoniste. Conséquemment, on propose quatre façons dont les entreprises peuvent exploiter l’IA pour améliorer l’expérience des employés :
La libération des tâches répétitives
À mesure que les entreprises automatisent les tâches routinières, les employés pourraient se concentrer sur des activités plus significatives et plus stratégiques. Il y aurait une chance pour les travailleurs de s’engager dans des tâches qui font appel à la créativité humaine, à la pensée critique et aux compétences interpersonnelles – des éléments qui manquent à l’IA.
La création d’un lieu de travail plus inclusif
L’utilisation des outils d’IA dans les processus d’embauche et de promotion permettrait d’optimiser le processus de prise de décisions qui est « naturellement sensible aux préjugés inconscients ». En effet, des algorithmes d’IA pourraient analyser des ensembles de données pour réaliser des évaluations objectives. Il faut toutefois faire preuve de vigilance, car des préjugés fondés sur l’âge, la race, le sexe ou le handicap peuvent être introduits dans les algorithmes d’IA.
L’encouragement du développement professionnel
Les capacités analytiques de l’IA permettraient d’identifier des compétences particulières chez les employés ainsi que les aspects lacunaires qui nécessiteraient une amélioration. L’identification des déficits de compétences presque en temps réel permettrait aux entreprises de mettre en place une formation ciblée susceptible de répondre à des besoins spécifiques qui peuvent évoluer au fil du temps.
La création de parcours d’apprentissage plus efficaces
L’IA permettrait de proposer du contenu en fonction des niveaux de compétences individuels, des styles d’apprentissage et des objectifs de carrière. Cette approche serait plus efficace que l’imposition de modules génériques à tous les employés occupant un certain rôle, comme c’est souvent le cas dans les entreprises américaines.