Le potentiel des solutions biométriques pour sécuriser les transactions interentreprises
Un article de PYMNTS commente le potentiel des solutions biométriques pour améliorer le processus d’authentification d’identité et sécuriser les transactions, qui deviennent de plus en plus volumineuses et complexes. Ces solutions seraient particulièrement porteuses dans les secteurs de la consommation et du commerce interentreprises (B2B), où les paiements numériques sont en plein essor.
En effet, l’utilisation de caractéristiques biologiques uniques telles que les empreintes digitales, la reconnaissance faciale ou les schémas vocaux pour l’identification et l’authentification émerge comme une solution puissante pour rationaliser les processus de paiement et contourner les menaces de fraude.
L’article souligne que le développement de l’économie numérique demande des systèmes de vérification d’identité sécurisés et fiables. Apparemment, la fraude aux paiements s’expliquerait souvent non pas par des vulnérabilités dans le processus de paiement lui-même, mais plutôt par des faiblesses dans la vérification d’identité.
L’intégration de la biométrie dans le processus de vérification d’identité numérique permettrait aux entreprises, dit-on, de réduire considérablement le risque de prise de contrôle des comptes et de fraude par identité synthétique, où l’identité implicite n’est pas associée à une personne réelle. En effet, les données biométriques fourniraient un marqueur unique et immuable qui relie l’individu au compte. Cela rendrait bien plus difficile pour les fraudeurs de créer de fausses identités ou d’obtenir un accès non autorisé.
L’article indique que l’avenir des technologies novatrices, comme la biométrie et l’analyse comportementale, serait prometteur, alors que les gouvernements et les organismes de réglementation augmentent la pression sur les entreprises pour qu’elles se conforment à des normes plus strictes de connaissance du client et de lutte contre le blanchiment d’argent. De plus, les observateurs constatent que des marchés comme le Brésil et l’Inde, qui adoptent rapidement des solutions mobiles et sont pleinement engagés dans la transformation numérique, offrent également une chance à la vérification d’identité biométrique.
Cependant, alors que l’authentification biométrique fait déjà des percées dans les paiements des consommateurs – la reconnaissance faciale ou l’authentification par empreintes digitales en sont des exemples –, c’est le secteur des paiements interentreprises qui pourrait bénéficier le plus du potentiel de cette technologie.
En effet, selon cet article, l’un des principaux points faibles des transactions interentreprises est précisément la lourdeur du processus de vérification des identités. Il s’agit d’un processus crucial autant dans le secteur de la gestion de la chaîne d’approvisionnement que dans ceux de la fabrication et des services professionnels, où il faut s’assurer que les bonnes parties sont autorisées à approuver ou à conclure des transactions. Puisqu’à l’heure actuelle, ces processus sont effectués de façon manuelle et se révèlent très chronophages, on pense que l’introduction de la vérification d’identité numérique à l’aide de la biométrie pourrait contribuer à réduire les délais.
Un article de PYMNTS commente le potentiel des solutions biométriques pour améliorer le processus d’authentification d’identité et sécuriser les transactions, qui deviennent de plus en plus volumineuses et complexes. Ces solutions seraient particulièrement porteuses dans les secteurs de la consommation et du commerce interentreprises (B2B), où les paiements numériques sont en plein essor.
En effet, l’utilisation de caractéristiques biologiques uniques telles que les empreintes digitales, la reconnaissance faciale ou les schémas vocaux pour l’identification et l’authentification émerge comme une solution puissante pour rationaliser les processus de paiement et contourner les menaces de fraude.
L’article souligne que le développement de l’économie numérique demande des systèmes de vérification d’identité sécurisés et fiables. Apparemment, la fraude aux paiements s’expliquerait souvent non pas par des vulnérabilités dans le processus de paiement lui-même, mais plutôt par des faiblesses dans la vérification d’identité.
L’intégration de la biométrie dans le processus de vérification d’identité numérique permettrait aux entreprises, dit-on, de réduire considérablement le risque de prise de contrôle des comptes et de fraude par identité synthétique, où l’identité implicite n’est pas associée à une personne réelle. En effet, les données biométriques fourniraient un marqueur unique et immuable qui relie l’individu au compte. Cela rendrait bien plus difficile pour les fraudeurs de créer de fausses identités ou d’obtenir un accès non autorisé.
L’article indique que l’avenir des technologies novatrices, comme la biométrie et l’analyse comportementale, serait prometteur, alors que les gouvernements et les organismes de réglementation augmentent la pression sur les entreprises pour qu’elles se conforment à des normes plus strictes de connaissance du client et de lutte contre le blanchiment d’argent. De plus, les observateurs constatent que des marchés comme le Brésil et l’Inde, qui adoptent rapidement des solutions mobiles et sont pleinement engagés dans la transformation numérique, offrent également une chance à la vérification d’identité biométrique.
Cependant, alors que l’authentification biométrique fait déjà des percées dans les paiements des consommateurs – la reconnaissance faciale ou l’authentification par empreintes digitales en sont des exemples –, c’est le secteur des paiements interentreprises qui pourrait bénéficier le plus du potentiel de cette technologie.
En effet, selon cet article, l’un des principaux points faibles des transactions interentreprises est précisément la lourdeur du processus de vérification des identités. Il s’agit d’un processus crucial autant dans le secteur de la gestion de la chaîne d’approvisionnement que dans ceux de la fabrication et des services professionnels, où il faut s’assurer que les bonnes parties sont autorisées à approuver ou à conclure des transactions. Puisqu’à l’heure actuelle, ces processus sont effectués de façon manuelle et se révèlent très chronophages, on pense que l’introduction de la vérification d’identité numérique à l’aide de la biométrie pourrait contribuer à réduire les délais.