Le palmarès Technology Fast 50 du Canada célèbre la croissance fulgurante des entreprises technologiques
Le palmarès Technology Fast 50 de Deloitte classe les entreprises canadiennes dans les secteurs de la technologie, des médias et des télécommunications qui connaissent la croissance la plus rapide en fonction du pourcentage de croissance des revenus au cours des quatre dernières années d’activité. Ces entreprises doivent avoir généré au moins 50 000 $ de revenus en 2019 et au moins 5 millions de dollars en 2022. Dans le classement de cette année, 10 entreprises proviennent du Québec.
Selon le sondage annuel de Deloitte Canada auprès des dirigeants du programme Technology Fast 50, attirer et retenir une main-d’œuvre qualifiée demeure le principal défi commercial des entreprises canadiennes à la croissance la plus rapide. Parmi les répondants, environ un sur quatre (24 %) déclare que le marché du travail est le problème le plus important auquel son entreprise est confrontée, suivi par les préoccupations concernant les progrès technologiques (17 %) et la nouvelle concurrence (17 %). Sur une note plus positive, les gagnants du programme Technology Fast 50 de cette année ont une perspective positive sur le fait que le Canada a actuellement le taux d’immigration le plus élevé (en pourcentage de la population existante) de tous les pays du G20. Soixante-trois pour cent des personnes interrogées estiment que cet afflux a un effet positif fort ou modéré sur la disponibilité des talents dans le secteur.
Un article du Globe and Mail, explique comment, depuis plus d’un quart de siècle, le programme Technology Fast 50 de Deloitte honore 50 des meilleures entreprises technologiques canadiennes. Anders McKenzie, associé de Deloitte, a géré et surveillé de près le programme pendant 15 de ces 25 années. Il va sans dire que la technologie évolue à une vitesse fulgurante et que la concurrence est plus rude que jamais.
« Le nombre d’entités technologiques admissibles a augmenté de façon exponentielle. De nombreuses entreprises en démarrage explosent puis s’éteignent. Même si Deloitte n’ignore certainement pas les nouveaux arrivants – en fait, il propose une catégorie spéciale pour les nouveaux venus –, le programme Fast 50 recherche plutôt des entreprises canadiennes à croissance rapide qui prouvent qu’elles sont à la fois viables et durables », dit-il.
Pour être admissible au programme Fast 50, une entreprise doit avoir son siège social ainsi que des équipes de gestion et de R-D au Canada. Après la qualification, les autres étapes sont étonnamment non techniques : comprendre les entreprises, connaître ce qui rend leur technologie unique et exclusive.
Cette année, Deloitte a été quelque peu surprise lorsque près de 100 des plus grandes entreprises canadiennes sont également apparues dans son classement nord-américain des entreprises à la croissance la plus rapide. « Nous nous attendions à peut-être 10 %, mais les résultats ont surpris tout le monde : près de 20 % des plus grandes entreprises nord-américaines sont canadiennes, ce qui est stupéfiant. Cela me montre que les entreprises technologiques canadiennes font bien plus que leur poids », dit Anders McKenzie.
Le palmarès Technology Fast 50 de Deloitte classe les entreprises canadiennes dans les secteurs de la technologie, des médias et des télécommunications qui connaissent la croissance la plus rapide en fonction du pourcentage de croissance des revenus au cours des quatre dernières années d’activité. Ces entreprises doivent avoir généré au moins 50 000 $ de revenus en 2019 et au moins 5 millions de dollars en 2022. Dans le classement de cette année, 10 entreprises proviennent du Québec.
Selon le sondage annuel de Deloitte Canada auprès des dirigeants du programme Technology Fast 50, attirer et retenir une main-d’œuvre qualifiée demeure le principal défi commercial des entreprises canadiennes à la croissance la plus rapide. Parmi les répondants, environ un sur quatre (24 %) déclare que le marché du travail est le problème le plus important auquel son entreprise est confrontée, suivi par les préoccupations concernant les progrès technologiques (17 %) et la nouvelle concurrence (17 %). Sur une note plus positive, les gagnants du programme Technology Fast 50 de cette année ont une perspective positive sur le fait que le Canada a actuellement le taux d’immigration le plus élevé (en pourcentage de la population existante) de tous les pays du G20. Soixante-trois pour cent des personnes interrogées estiment que cet afflux a un effet positif fort ou modéré sur la disponibilité des talents dans le secteur.
Un article du Globe and Mail, explique comment, depuis plus d’un quart de siècle, le programme Technology Fast 50 de Deloitte honore 50 des meilleures entreprises technologiques canadiennes. Anders McKenzie, associé de Deloitte, a géré et surveillé de près le programme pendant 15 de ces 25 années. Il va sans dire que la technologie évolue à une vitesse fulgurante et que la concurrence est plus rude que jamais.
« Le nombre d’entités technologiques admissibles a augmenté de façon exponentielle. De nombreuses entreprises en démarrage explosent puis s’éteignent. Même si Deloitte n’ignore certainement pas les nouveaux arrivants – en fait, il propose une catégorie spéciale pour les nouveaux venus –, le programme Fast 50 recherche plutôt des entreprises canadiennes à croissance rapide qui prouvent qu’elles sont à la fois viables et durables », dit-il.
Pour être admissible au programme Fast 50, une entreprise doit avoir son siège social ainsi que des équipes de gestion et de R-D au Canada. Après la qualification, les autres étapes sont étonnamment non techniques : comprendre les entreprises, connaître ce qui rend leur technologie unique et exclusive.
Cette année, Deloitte a été quelque peu surprise lorsque près de 100 des plus grandes entreprises canadiennes sont également apparues dans son classement nord-américain des entreprises à la croissance la plus rapide. « Nous nous attendions à peut-être 10 %, mais les résultats ont surpris tout le monde : près de 20 % des plus grandes entreprises nord-américaines sont canadiennes, ce qui est stupéfiant. Cela me montre que les entreprises technologiques canadiennes font bien plus que leur poids », dit Anders McKenzie.