Le gaz naturel renouvelable et la décarbonisation de l’industrie du camionnage
Alors que la décarbonisation de l’industrie du camionnage se concentre sur les technologies de batteries électriques et de piles à combustible à hydrogène, CleanTrucking attire l’attention sur le potentiel du gaz naturel. Apparemment, ce combustible – en particulier le gaz naturel renouvelable (GNR) – gagne en popularité parmi les gestionnaires de parcs de véhicules.
L’article explique que le GNR, également connu sous le nom de biométhane, est un biogaz obtenu à partir, notamment :
- des décharges municipales de déchets solides;
- du bétail;
- des usines de traitement des eaux usées;
- des installations de production alimentaire.
Ce biogaz aurait une qualité similaire à celle du gaz naturel fossile.
En effet, lors du processus de production, on élimine le dioxyde de carbone du biogaz afin de faire monter la concentration de méthane à un niveau comparable à celui du gaz naturel fossile. Cela rend le GNR susceptible d’être distribué via les gazoducs et les stations-service de gaz naturel déjà en place.
De plus, l’article note que le GNR est également compatible avec les véhicules déjà équipés de moteurs au gaz naturel. Cela apporterait des avantages considérables, car, lorsqu’ils sont produits localement, les véhicules au gaz naturel alimentés au GNR sont plus rentables et répondent aux exigences d’efficacité du plan Clean Trucks de l’agence américaine de protection de l’environnement (EPA).
Il est à noter également que selon les données de 2023 du California Air Resources Board (CARB), l’intensité carbone moyenne du mélange biogaz-gaz naturel comprimé vendu dans l’État à partir du printemps 2023 est tombée à son niveau le plus bas pour « tout carburant ou technologie de transport dans l’État ». Il n’est donc pas surprenant que le GNR soit devenu le gaz naturel de choix dans cet État.
Ian MacDonald, vice-président des ventes nord-américaines d’Hexagon Agility, indique que le GNR pourrait être la solution pour les propriétaires de parcs de véhicules désireux d’entamer immédiatement leur décarbonation. Selon lui, le gaz généré dans une décharge est extrêmement faible en carbone. De ce fait, le GNR serait la stratégie de réduction des émissions de carbone la plus conviviale et la plus convaincante.
Selon le rapport State of Sustainable Fleets(2024), les producteurs de GNR ont ouvert plus de 150 nouvelles installations en 2023. Cela représente « une année record au cours de laquelle 91 % des nouveaux projets de gaz naturel ont généré du GNR, et 175 autres projets devraient être mis en service » d’ici la fin de l’année. À l’échelle nationale, il y aurait 311 installations de production de GNR actuellement en activité, et 489 autres sont en cours de planification ou de construction.
Il est à noter que, selon les données du rapport, moins de la moitié des propriétaires de parcs de véhicules qui utilisent des véhicules propulsés au gaz naturel ont fait le choix de les alimenter au GNR. Cependant, on note que les propriétaires de parcs de véhicules qui ont acheté des véhicules propulsés au GNR en ont utilisé davantage en moyenne en 2023 qu’en 2022. Il s’agit d’une tendance qui, selon l’article, devrait se poursuivre.
Alors que la décarbonisation de l’industrie du camionnage se concentre sur les technologies de batteries électriques et de piles à combustible à hydrogène, CleanTrucking attire l’attention sur le potentiel du gaz naturel. Apparemment, ce combustible – en particulier le gaz naturel renouvelable (GNR) – gagne en popularité parmi les gestionnaires de parcs de véhicules.
L’article explique que le GNR, également connu sous le nom de biométhane, est un biogaz obtenu à partir, notamment :
- des décharges municipales de déchets solides;
- du bétail;
- des usines de traitement des eaux usées;
- des installations de production alimentaire.
Ce biogaz aurait une qualité similaire à celle du gaz naturel fossile.
En effet, lors du processus de production, on élimine le dioxyde de carbone du biogaz afin de faire monter la concentration de méthane à un niveau comparable à celui du gaz naturel fossile. Cela rend le GNR susceptible d’être distribué via les gazoducs et les stations-service de gaz naturel déjà en place.
De plus, l’article note que le GNR est également compatible avec les véhicules déjà équipés de moteurs au gaz naturel. Cela apporterait des avantages considérables, car, lorsqu’ils sont produits localement, les véhicules au gaz naturel alimentés au GNR sont plus rentables et répondent aux exigences d’efficacité du plan Clean Trucks de l’agence américaine de protection de l’environnement (EPA).
Il est à noter également que selon les données de 2023 du California Air Resources Board (CARB), l’intensité carbone moyenne du mélange biogaz-gaz naturel comprimé vendu dans l’État à partir du printemps 2023 est tombée à son niveau le plus bas pour « tout carburant ou technologie de transport dans l’État ». Il n’est donc pas surprenant que le GNR soit devenu le gaz naturel de choix dans cet État.
Ian MacDonald, vice-président des ventes nord-américaines d’Hexagon Agility, indique que le GNR pourrait être la solution pour les propriétaires de parcs de véhicules désireux d’entamer immédiatement leur décarbonation. Selon lui, le gaz généré dans une décharge est extrêmement faible en carbone. De ce fait, le GNR serait la stratégie de réduction des émissions de carbone la plus conviviale et la plus convaincante.
Selon le rapport State of Sustainable Fleets(2024), les producteurs de GNR ont ouvert plus de 150 nouvelles installations en 2023. Cela représente « une année record au cours de laquelle 91 % des nouveaux projets de gaz naturel ont généré du GNR, et 175 autres projets devraient être mis en service » d’ici la fin de l’année. À l’échelle nationale, il y aurait 311 installations de production de GNR actuellement en activité, et 489 autres sont en cours de planification ou de construction.
Il est à noter que, selon les données du rapport, moins de la moitié des propriétaires de parcs de véhicules qui utilisent des véhicules propulsés au gaz naturel ont fait le choix de les alimenter au GNR. Cependant, on note que les propriétaires de parcs de véhicules qui ont acheté des véhicules propulsés au GNR en ont utilisé davantage en moyenne en 2023 qu’en 2022. Il s’agit d’une tendance qui, selon l’article, devrait se poursuivre.