Le bien-être numérique des nations : nouvelle mesure des gains de bien-être et des inégalités
L’étude The Digital Welfare of Nations: New Measures of Welfare Gains and Inequality, réalisée par Erik Brynjolfsson et son équipe et publiée sur le site du National Bureau of Economic Research, met en lumière un aspect crucial de l’ère numérique. Dans un monde de plus en plus façonné par la technologie, l’impact des biens numériques sur nos vies et nos économies est profond, mais souvent négligé dans les indicateurs économiques traditionnels comme le PIB.
La recherche explore les avantages largement non mesurés que les biens numériques apportent aux consommateurs. Il est facile d’oublier que bon nombre des outils numériques qui sont utilisés quotidiennement, souvent gratuitement, ont un impact considérable sur le bien-être des personnes. Cette étude adopte une approche globale en menant des expériences massives de choix en ligne impliquant près de 40 000 participants dans 13 pays. Les résultats sont révélateurs.
Les chercheurs estiment que les biens numériques, qui incluent tout, des applications aux services en ligne, contribuent chaque année à hauteur de plus de 2 500 milliards de dollars américains au bien-être des consommateurs dans ces pays. Pour mettre les choses en perspective, cette somme représente environ 6 % de leur PIB collectif. Ces chiffres stupéfiants soulignent l’importance de reconnaître la véritable valeur des interactions numériques.
Ce qui est encore plus intriguant, c’est la manière dont ces bénéfices sont répartis. L’étude indique que les individus et les pays à faible revenu ont tendance à bénéficier de gains de bien-être relativement plus importants grâce à ces biens numériques par rapport à leurs homologues à revenus plus élevés. Cela suggère que les outils numériques ont le potentiel de réduire les inégalités, tant au sein des pays individuels qu’à l’échelle mondiale, en bénéficiant de manière disproportionnée aux groupes à faible revenu.
Cette recherche rappelle que la révolution numérique n’est pas seulement une question de croissance économique; elle permet aussi d’améliorer la qualité de vie de nombreuses personnes, en particulier de celles qui ont toujours été économiquement défavorisées. La recherche souligne également la nécessité pour les décideurs politiques et les économistes de faire évoluer leurs mesures et leur réflexion afin de pleinement comprendre l’impact d’un monde de plus en plus numérique sur le bien-être des nations et de leurs citoyens.
L’étude The Digital Welfare of Nations: New Measures of Welfare Gains and Inequality, réalisée par Erik Brynjolfsson et son équipe et publiée sur le site du National Bureau of Economic Research, met en lumière un aspect crucial de l’ère numérique. Dans un monde de plus en plus façonné par la technologie, l’impact des biens numériques sur nos vies et nos économies est profond, mais souvent négligé dans les indicateurs économiques traditionnels comme le PIB.
La recherche explore les avantages largement non mesurés que les biens numériques apportent aux consommateurs. Il est facile d’oublier que bon nombre des outils numériques qui sont utilisés quotidiennement, souvent gratuitement, ont un impact considérable sur le bien-être des personnes. Cette étude adopte une approche globale en menant des expériences massives de choix en ligne impliquant près de 40 000 participants dans 13 pays. Les résultats sont révélateurs.
Les chercheurs estiment que les biens numériques, qui incluent tout, des applications aux services en ligne, contribuent chaque année à hauteur de plus de 2 500 milliards de dollars américains au bien-être des consommateurs dans ces pays. Pour mettre les choses en perspective, cette somme représente environ 6 % de leur PIB collectif. Ces chiffres stupéfiants soulignent l’importance de reconnaître la véritable valeur des interactions numériques.
Ce qui est encore plus intriguant, c’est la manière dont ces bénéfices sont répartis. L’étude indique que les individus et les pays à faible revenu ont tendance à bénéficier de gains de bien-être relativement plus importants grâce à ces biens numériques par rapport à leurs homologues à revenus plus élevés. Cela suggère que les outils numériques ont le potentiel de réduire les inégalités, tant au sein des pays individuels qu’à l’échelle mondiale, en bénéficiant de manière disproportionnée aux groupes à faible revenu.
Cette recherche rappelle que la révolution numérique n’est pas seulement une question de croissance économique; elle permet aussi d’améliorer la qualité de vie de nombreuses personnes, en particulier de celles qui ont toujours été économiquement défavorisées. La recherche souligne également la nécessité pour les décideurs politiques et les économistes de faire évoluer leurs mesures et leur réflexion afin de pleinement comprendre l’impact d’un monde de plus en plus numérique sur le bien-être des nations et de leurs citoyens.