L’avenir du travail au Canada
Un article publié par Les Affaires rapporte que d’ici la fin des années 2030, le Canada pourrait faire face à près d’un million de postes vacants chaque année, principalement en raison de l’inadéquation entre les compétences des travailleurs et les besoins des employeurs. Ce problème, bien qu’il ne soit pas nouveau, est souligné par Cherin Hamadi et Elise Nelson du Conference Board of Canada dans leur rapport du 2 décembre 2024.
Trois catégories de métiers
- Industries productrices de biens : La technologie et l’automatisation réduiront les besoins en matière de compétences techniques spécifiques, mais augmenteront l’importance des compétences analytiques et de résolution de problèmes.
- Industries de services fondés sur le savoir : L’intelligence artificielle modifiera les besoins en matière de compétences, augmentant l’importance des compétences linguistiques et sociales.
- Industries de services techniques et manuels : Les compétences fondamentales et interpersonnelles telles que la résolution de problèmes et la gestion des ressources seront cruciales.
Les employeurs et les décideurs politiques ont une responsabilité partagée. En effet, ces derniers doivent agir pour éviter une inadéquation des compétences. Les employeurs devraient promouvoir le développement continu des compétences, tandis que les décideurs politiques devraient adapter le système d’éducation de manière à répondre aux besoins du marché du travail et à s’assurer que les compétences des immigrants correspondent aux postes disponibles. En outre, les économistes recommandent un plan stratégique impliquant tous les acteurs économiques pour souligner l’importance de l’apprentissage et des métiers spécialisés.
Selon un article publié par Deloitte, le marché du travail canadien est en constante évolution en raison de facteurs tels que les migrations mondiales, le vieillissement de la population et les changements technologiques rapides. En effet, en 2022, le Canada a connu des pénuries de main-d’œuvre persistantes, avec plus d’un million d’emplois vacants et 59 % des employeurs ayant du mal à trouver des employés qualifiés. Pour pallier cette situation, les gouvernements doivent non seulement réagir, mais aussi repenser activement leurs stratégies, politiques et programmes pour créer un marché du travail inclusif, réactif et attrayant pour les travailleurs. Deloitte propose des recommandations pour renforcer le marché du travail, notamment en promouvant la diversité, l’équité et l’inclusion ainsi qu’en mettant l’accent sur le perfectionnement et la reconversion des travailleurs pour les emplois de demain.
Un article publié par Les Affaires rapporte que d’ici la fin des années 2030, le Canada pourrait faire face à près d’un million de postes vacants chaque année, principalement en raison de l’inadéquation entre les compétences des travailleurs et les besoins des employeurs. Ce problème, bien qu’il ne soit pas nouveau, est souligné par Cherin Hamadi et Elise Nelson du Conference Board of Canada dans leur rapport du 2 décembre 2024.
Trois catégories de métiers
- Industries productrices de biens : La technologie et l’automatisation réduiront les besoins en matière de compétences techniques spécifiques, mais augmenteront l’importance des compétences analytiques et de résolution de problèmes.
- Industries de services fondés sur le savoir : L’intelligence artificielle modifiera les besoins en matière de compétences, augmentant l’importance des compétences linguistiques et sociales.
- Industries de services techniques et manuels : Les compétences fondamentales et interpersonnelles telles que la résolution de problèmes et la gestion des ressources seront cruciales.
Les employeurs et les décideurs politiques ont une responsabilité partagée. En effet, ces derniers doivent agir pour éviter une inadéquation des compétences. Les employeurs devraient promouvoir le développement continu des compétences, tandis que les décideurs politiques devraient adapter le système d’éducation de manière à répondre aux besoins du marché du travail et à s’assurer que les compétences des immigrants correspondent aux postes disponibles. En outre, les économistes recommandent un plan stratégique impliquant tous les acteurs économiques pour souligner l’importance de l’apprentissage et des métiers spécialisés.
Selon un article publié par Deloitte, le marché du travail canadien est en constante évolution en raison de facteurs tels que les migrations mondiales, le vieillissement de la population et les changements technologiques rapides. En effet, en 2022, le Canada a connu des pénuries de main-d’œuvre persistantes, avec plus d’un million d’emplois vacants et 59 % des employeurs ayant du mal à trouver des employés qualifiés. Pour pallier cette situation, les gouvernements doivent non seulement réagir, mais aussi repenser activement leurs stratégies, politiques et programmes pour créer un marché du travail inclusif, réactif et attrayant pour les travailleurs. Deloitte propose des recommandations pour renforcer le marché du travail, notamment en promouvant la diversité, l’équité et l’inclusion ainsi qu’en mettant l’accent sur le perfectionnement et la reconversion des travailleurs pour les emplois de demain.