L'avenir de l'énergie propre arrive plus vite que vous ne le pensez
Alors qu'elle est déjà bien engagée en Europe et ailleurs et que les États-Unis rattrapent leur retard, à l'échelle mondiale, la transition énergétique se produit à un rythme qui surprend même les experts qui la suivent de près, soutient un article du New York Times.
Les énergies éolienne et solaire battent des records, et les énergies renouvelables devraient désormais dépasser le charbon d'ici 2025 en tant que plus grande source d'électricité au monde. Les constructeurs automobiles ont placé les véhicules électriques au cœur de leurs stratégies commerciales et parlent ouvertement d'une date d'expiration pour le moteur à combustion interne. La production de chaleur ou de froid, la cuisson des aliments et quelques industries manufacturières passent à l'électricité.
Selon l'Agence internationale de l'énergie, plus de 1 700 milliards de dollars américains devraient être investis dans des technologies telles que l'éolien, l'énergie solaire, les véhicules électriques et les batteries à l'échelle mondiale cette année, contre un peu plus de 1 000 milliards de dollars dans les combustibles fossiles. C'est de loin le montant le plus élevé jamais dépensé en énergie propre en un an.
Ces investissements entraînent une croissance explosive. La Chine, qui est déjà en tête du monde pour la quantité d'électricité produite par l'énergie éolienne et solaire, devrait doubler sa capacité d'ici 2025, soit cinq ans plus tôt que prévu. Aux États-Unis, 23 % de l'électricité devrait provenir de sources renouvelables cette année, une hausse de 10 points de pourcentage par rapport à il y a dix ans.
Même si le rythme du changement aux États-Unis surprend tout le monde, les combustibles fossiles dominent toujours la production d'énergie aux États-Unis et à l'étranger. Les entreprises construisent de nouvelles mines de charbon, des plates-formes pétrolières et des gazoducs. Le gouvernement américain continue d'accorder des baux pour des projets de forage sur les terres publiques et dans les eaux fédérales et de subventionner les industries.
L'ampleur des changements nécessaires pour refaire les systèmes qui alimentent les États-Unis – toute l'infrastructure qui doit être retirée, repensée et remplacée – est ahurissante. Il existe des défis majeurs liés à l'ajout de grandes quantités d'énergie renouvelable aux réseaux électriques désuets et à l'extraction de suffisamment de minéraux pour les technologies propres.
D'autre part, dans un article du Globe and Mail, deux responsables de l'Institut climatique du Canada et de Clean Energy Canada se disent d'avis que les deux annonces récentes du gouvernement fédéral, le Règlement sur l'électricité propre et Propulser le Canada dans l'avenir, aideront à garantir que le Canada navigue avec succès dans cette transition tout en protégeant l'abordabilité et la fiabilité de son réseau électrique.
Selon eux, la bonne nouvelle est que le Canada commence avec une longueur d'avance considérable. Le réseau est déjà à 84 % non émetteur, contre seulement 40 % aux États-Unis. Cela signifie que les produits fabriqués ici, de l'acier aux batteries en passant par l'aluminium, ont déjà une empreinte carbone plus faible. C'est l'une des raisons pour lesquelles General Motors et d'autres ont choisi de fabriquer leurs composants pour les batteries de véhicules électriques au Canada.
Alors qu'elle est déjà bien engagée en Europe et ailleurs et que les États-Unis rattrapent leur retard, à l'échelle mondiale, la transition énergétique se produit à un rythme qui surprend même les experts qui la suivent de près, soutient un article du New York Times.
Les énergies éolienne et solaire battent des records, et les énergies renouvelables devraient désormais dépasser le charbon d'ici 2025 en tant que plus grande source d'électricité au monde. Les constructeurs automobiles ont placé les véhicules électriques au cœur de leurs stratégies commerciales et parlent ouvertement d'une date d'expiration pour le moteur à combustion interne. La production de chaleur ou de froid, la cuisson des aliments et quelques industries manufacturières passent à l'électricité.
Selon l'Agence internationale de l'énergie, plus de 1 700 milliards de dollars américains devraient être investis dans des technologies telles que l'éolien, l'énergie solaire, les véhicules électriques et les batteries à l'échelle mondiale cette année, contre un peu plus de 1 000 milliards de dollars dans les combustibles fossiles. C'est de loin le montant le plus élevé jamais dépensé en énergie propre en un an.
Ces investissements entraînent une croissance explosive. La Chine, qui est déjà en tête du monde pour la quantité d'électricité produite par l'énergie éolienne et solaire, devrait doubler sa capacité d'ici 2025, soit cinq ans plus tôt que prévu. Aux États-Unis, 23 % de l'électricité devrait provenir de sources renouvelables cette année, une hausse de 10 points de pourcentage par rapport à il y a dix ans.
Même si le rythme du changement aux États-Unis surprend tout le monde, les combustibles fossiles dominent toujours la production d'énergie aux États-Unis et à l'étranger. Les entreprises construisent de nouvelles mines de charbon, des plates-formes pétrolières et des gazoducs. Le gouvernement américain continue d'accorder des baux pour des projets de forage sur les terres publiques et dans les eaux fédérales et de subventionner les industries.
L'ampleur des changements nécessaires pour refaire les systèmes qui alimentent les États-Unis – toute l'infrastructure qui doit être retirée, repensée et remplacée – est ahurissante. Il existe des défis majeurs liés à l'ajout de grandes quantités d'énergie renouvelable aux réseaux électriques désuets et à l'extraction de suffisamment de minéraux pour les technologies propres.
D'autre part, dans un article du Globe and Mail, deux responsables de l'Institut climatique du Canada et de Clean Energy Canada se disent d'avis que les deux annonces récentes du gouvernement fédéral, le Règlement sur l'électricité propre et Propulser le Canada dans l'avenir, aideront à garantir que le Canada navigue avec succès dans cette transition tout en protégeant l'abordabilité et la fiabilité de son réseau électrique.
Selon eux, la bonne nouvelle est que le Canada commence avec une longueur d'avance considérable. Le réseau est déjà à 84 % non émetteur, contre seulement 40 % aux États-Unis. Cela signifie que les produits fabriqués ici, de l'acier aux batteries en passant par l'aluminium, ont déjà une empreinte carbone plus faible. C'est l'une des raisons pour lesquelles General Motors et d'autres ont choisi de fabriquer leurs composants pour les batteries de véhicules électriques au Canada.