L’automatisation du secteur de l’énergie permettrait d’atténuer les effets énergivores de l’IA
Un article de CarbonCredits analyse les effets énergétiques associés à l’utilisation croissante de l’intelligence artificielle (IA), dont la puissance de calcul est fournie, en grande partie, par les centres de données. Puisque ces installations consomment énormément d’électricité, il y aurait des inquiétudes quant à leur impact environnemental et leur contribution aux émissions de carbone. Bref, alors que l’on regarde d’un œil favorable la transition vers les sources d’énergie renouvelables, l’énergie consommée par l’IA constitue un défi important pour les efforts de décarbonation.
Il sera nécessaire de promouvoir une plus grande transparence et une responsabilité accrue dans les initiatives des grandes entreprises en matière de développement durable. Cependant, l’article signale également que face à une demande accrue d’énergie pour propulser l’IA, les entreprises risquent de choisir d’utiliser des méthodes conventionnelles basées sur les combustibles fossiles, comme le gaz naturel ou le charbon. Cela compromettrait, dit-on, les progrès vers les objectifs de décarbonation, et perpétuerait la dépendance à l’égard de ressources non renouvelables.
Face à ce dilemme, l’article suggère la pertinence d’équilibrer le potentiel transformationnel de l’IA et d’atténuer son impact environnemental. Concrètement, il y a un appel à combiner les investissements stratégiques dans les infrastructures d’énergie renouvelable avec l’innovation technologique de l’IA pour optimiser l’efficacité énergétique. Cela implique de favoriser la collaboration entre les entreprises technologiques, les fournisseurs d’énergie, les décideurs politiques et les défenseurs de l’environnement.
À vrai dire, selon une analyse de Bloomberg, il y aurait déjà un certain nombre d’entreprises énergétiques traditionnelles – comme PPL Corp., Alliant Energy Corp., WEC Energy Group Inc. ou Entergy Corp. – qui sont confrontées à des pressions pour optimiser leurs opérations en matière d’efficacité, de fiabilité et de durabilité. C’est dans ce contexte que l’on entre, rapidement, à l’ère de l’automatisation dans le secteur de l’énergie. Selon l’article, l’IA sur le marché de l’énergie et de l’électricité devrait connaître un taux de croissance annuel composé de 24,68 %, passant d’une valeur de 3,103 milliards de dollars US en 2021 à 14,527 milliards de dollars US d’ici 2028.
Cette croissance s’expliquerait par les multiples avantages de l’IA, qui aurait les capacités nécessaires pour améliorer la gestion du réseau, prédire la demande avec plus de précision, optimiser la distribution d’énergie et améliorer la planification de l’entretien. De même, les technologies intelligentes permettraient d’explorer des solutions pour répondre aux exigences réglementaires et aux demandes des clients en matière de sources d’énergie plus propres.
Un article de CarbonCredits analyse les effets énergétiques associés à l’utilisation croissante de l’intelligence artificielle (IA), dont la puissance de calcul est fournie, en grande partie, par les centres de données. Puisque ces installations consomment énormément d’électricité, il y aurait des inquiétudes quant à leur impact environnemental et leur contribution aux émissions de carbone. Bref, alors que l’on regarde d’un œil favorable la transition vers les sources d’énergie renouvelables, l’énergie consommée par l’IA constitue un défi important pour les efforts de décarbonation.
Il sera nécessaire de promouvoir une plus grande transparence et une responsabilité accrue dans les initiatives des grandes entreprises en matière de développement durable. Cependant, l’article signale également que face à une demande accrue d’énergie pour propulser l’IA, les entreprises risquent de choisir d’utiliser des méthodes conventionnelles basées sur les combustibles fossiles, comme le gaz naturel ou le charbon. Cela compromettrait, dit-on, les progrès vers les objectifs de décarbonation, et perpétuerait la dépendance à l’égard de ressources non renouvelables.
Face à ce dilemme, l’article suggère la pertinence d’équilibrer le potentiel transformationnel de l’IA et d’atténuer son impact environnemental. Concrètement, il y a un appel à combiner les investissements stratégiques dans les infrastructures d’énergie renouvelable avec l’innovation technologique de l’IA pour optimiser l’efficacité énergétique. Cela implique de favoriser la collaboration entre les entreprises technologiques, les fournisseurs d’énergie, les décideurs politiques et les défenseurs de l’environnement.
À vrai dire, selon une analyse de Bloomberg, il y aurait déjà un certain nombre d’entreprises énergétiques traditionnelles – comme PPL Corp., Alliant Energy Corp., WEC Energy Group Inc. ou Entergy Corp. – qui sont confrontées à des pressions pour optimiser leurs opérations en matière d’efficacité, de fiabilité et de durabilité. C’est dans ce contexte que l’on entre, rapidement, à l’ère de l’automatisation dans le secteur de l’énergie. Selon l’article, l’IA sur le marché de l’énergie et de l’électricité devrait connaître un taux de croissance annuel composé de 24,68 %, passant d’une valeur de 3,103 milliards de dollars US en 2021 à 14,527 milliards de dollars US d’ici 2028.
Cette croissance s’expliquerait par les multiples avantages de l’IA, qui aurait les capacités nécessaires pour améliorer la gestion du réseau, prédire la demande avec plus de précision, optimiser la distribution d’énergie et améliorer la planification de l’entretien. De même, les technologies intelligentes permettraient d’explorer des solutions pour répondre aux exigences réglementaires et aux demandes des clients en matière de sources d’énergie plus propres.